Les Paroles Rapportées

secours du 1er : c’est une conversation banale. Le lecteur est jeté dans la conversation, il a peu de repère et on distingue mal les personnages. Les seuls indices sont la présence des guillemets qui font la différence entre les paroles dites et les pensées. Les paroles sont directement insérées et on n’a pas de proposition incise normalement utilisées. Pour faire comprendre qu’on alterne les points de vue, l’auteur emploie des pronoms personnels et utilise des paragraphes. Malgré ces repères, les

fin : "Sétoc vit le moment où la table allait être ensanglantée." Il y a discréditation des convives. - Ils sont sûr d’eux : → Le grec : paroles rapportées au style direct, Question rhétorique : "Est-ce que vous ne savez…" Il reprend l’ancienneté des choses : "le Chaos est le père de tout…" Il parla longtemps (bavard) → Le celte : paroles rapportées au style indirect,  "se crut alors plus savant que les autres…" Assemblement de "que" dans une même phrase. Mais saoul ! Prop. conjonctives:

établi chef et juge sur nous?» Cette parole qui fait enfuir Moise lui a été prononcée par l’un de ses frères et non pas par un Égyptien. Sa réjection n’est pas venue de l’extérieur, mais des siens. Pour Jésus, il en a été de même. Le chapitre 2 de l’Exode ne nous parle pas de la renommée et de la puissance de Moïse à la fin des quarante premières années de sa vie dans les termes du verset 22 de notre chapitre. Il était un homme instruit, puissant dans ses paroles et dans ses actions lorsqu’il lui

veut avoir des pages. Les paroles des personnages sont le plus souvent rapportées avec le discours direct comme par exemple dans Le chêne et le roseau. ( « (…)La nature envers vous me semble bien injuste. _Votre compassion, lui répondit l arbuste (…) » vers 17 et 18. ) Il y a tout de même quelques exceptions comme par exemple dans la fable intitulée la Mort et le bucheron. Dans cette fable, les paroles sont rapportées au discours indirect libre : Il appelle

puis il généralise avec le “dites” (L45) - La Bruyère prend des exemples simple et répétitif pour montrer a Acis que l’on peut s'exprimer simplement (de la L42 a la L47) - Il y a l’objection de Acis avec le “mais” (L47) - On a les paroles rapportées de Acis, ce qui montre que Acis n’est qu’un prétexte pour La Bruyère de donner une leçon de morale à tous les courtisans. - L’objection de Acis consiste à dire que tout le monde parle de façon simple, unie et claire alors que lui non

être de papier qui n’a d’autre existence que celle que lui donne l’auteur. Il est déterminé par son nom, prénom, surnom, son portrait physique et moral, sa condition sociale, ses actions qui peuvent traduire son caractère et sa vision du monde, ses paroles qui indiquent son milieu social, sa culture et ses relations avec les autres, sa fonction dans le récit ; [On appelle schéma actanciel la combinaison des différentes fonctions des personnages : Destinateur (celui qui est à l’origine de la quête)

La fonction principale du subjonctif I en allemand est de rapporter les paroles de quelqu'un d'autre. I) La formation A) La règle générale Schéma de formation : Radical de l'infinitif + e + terminaisons Exemple avec « leben » (vivre) Leben Ich lebe° Du lebest Er/sie/es lebe° Wir leben Ihr lebet Sie leben B) Sein et les modaux Comme nous l'avons abordé dans le cours sur l'impératif

secours du 1er : c’est une conversation banale. Le lecteur est jeté dans la conversation, il a peu de repère et on distingue mal les personnages. Les seuls indices sont la présence des guillemets qui font la différence entre les paroles dites et les pensées. Les paroles sont directement insérées et on n’a pas de proposition incise normalement utilisées. Pour faire comprendre qu’on alterne les points de vue, l’auteur emploie des pronoms personnels et utilise des paragraphes. Malgré ces repères, les

« au fond d’une dépense », « la pomme était trop grosse ». En plus d’une bonne description, ces trois auteurs nous disent/écrivent des paroles rapportées, comme « « C’est ta faute si ton père s’est fait mal ! » » pour Vallès, «  «  Viens, mon petit coco ! On va jouer à faire la cuisine. » » pour Leiris et «  « Courage ! … » » pour Rousseau. Toutes ces paroles rapportées donnent un côté encore plus réel, plus intense du souvenir et nous permettent d’avoir entre autre une réaction en direct des autres

- a) Mise en perspective par rapport à « Voir » et « Apercevoir » ; Problématisation. - b) Simplicité et complexité du « Percevoir » : la théorie de John Locke - c) Aspects conscients et inconscients du « Percevoir » : une expérience d’hypnose rapportée par Freud a) « Percevoir » recouvre une signification à la fois vague et vaste. D’une manière générale, cela signifie « recevoir » quelque chose. Le dictionnaire recense l’expression « percevoir un impôt », au sens de « collecter ». Il différencie