Les Forces Du Taylorisme

Gestion de l’individu au travail Partie 2 : Les problématiques autour des hommes L’environnement au travail a beaucoup évolué durant le 20ème siècle, nous sommes passé du Taylorisme/Fordisme qui était répétitif et aliénant, à un travail qui demande plus de réflexion et de participation. Cependant, malgré ces évolutions les problèmes liés au milieu du travail sont toujours présent. Parmis les problèmes liées à l’activité professionnel, on retrouve principalement le «stress». Le stress

 l’organisation  survive.   Dans  la  vie,  les  situations  sont  très  diverses  (plus  ou  moins  rigides)   On  peut  considérer  qu’il  y  a  deux  fondateurs  du  Taylorisme  :  Taylor  (praticien,  cherche  un   modèle  qui  peut  être  pratiqué)  et  Weber  (conceptualise  ce  qu’il  observe).     B. L’ORGANISATION  ET  SES  CARACTÉRISTIQUES

plus en plus mondialisé. I ) Une suprématie étatsunienne absolue… A ) Une puissance héritée Capitalisme ( libéralisme économique ) hérité du RU et perfectionné par les USA. Par ex, dans les techniques de production industrielle ( taylorisme, fordisme… ). Avant 1914, des entreprises US sont fortement exportatrices et leaders dans leur domaine ( ex Ford automobile ou Standard Oil Compagnie pétrole, qui a fait la fortune du milliardaire Rockfeller ). Enfin, les USA st déjà une puissance

déqualification, entraînent des réactions négatives : conflits, absentéisme.. ex : Qualité totale nécessite l’implication ! On parle de post-taylorisme Mais : - la division du travail perdure - les TIC permettent de faire faire un travail complexe à du personnel peu qualifié - Les TIC permettent de contrôler les salariées dans les services et tâches de bureau On parle de neo-taylorisme THEORIES ORGANISATIONS 2- L’homme au centre des relations A- Mayo : Ecole des relations humaines : importance du facteur

l’on ne peut pas comprendre le travail sans tenir compte des motivations des travailleurs, et ils mettront en lumière la centralité du travail dans nos sociétés industrielles. La sociologie du travail française va se constitué sur une critique du taylorisme. La sociologie française du travail La sociologie du travail est née en France après la seconde guerre mondiale, et constitue un moment clé de la fondation de la sociologie française. J .M CHAPOULIE d’une nouvelle fondation, et souligne l’importance

exigences, parfois contradictoires : - une exigence de stabilité reposant par exemple sur des structures formalisées, des règles et des procédures clairement définies ; - une exigence d'adaptabilité afin qu'elles puissent s'accommoder des multiples forces de changement auxquelles les mutations de leur environnement les confrontent. PROBLÉMATIQUE: Les théories traditionnelles du changement organisationnel renvoient à un changement par la crise imposée par les incompatibilités flagrantes entre

nécessite une organisation des individus entre eux → Si l’entreprise a un objectif économique, elle cherchera alors à gagner en efficacité, en mettant notamment en place des moyens pour gagner en productivité, avec la mise en place d’OST comme le taylorisme, mais aussi une division hiérarchique du travail. → L’ « effet Hawthorne » par Elton MAYO → montre que les individus seront plus productifs avec de meilleures conditions psychologiques (ne sont plus traités comme des objets) → met en lumière l’importance

travail industriel, réalisant la première mesure du temps d'exécution d'une tâche (voir Taylorisme[i]). Taylor parle toujours de l’homme au travail comme d’un individu isolé, jamais au sein d’un groupe. Il pense que sa seule motivation est l’argent. Cette théorie est donc pour l’auteur, l’antithèse de la collaboration (principe pourtant que Taylor ne cesse d’affirmer) dans l’organisation. L’effet pervers du Taylorisme a été de donner tout pouvoir à la direction, en la qualifiant de « scientifique »,

simplement en tant que chômeur rêvant d’un travail et d’un domicile. Nous pouvons aussi nous demander si un tel système aurait pu perdurer et vivre encore au XXIème siècle ? Humainement parlant, je serais tentée de penser que ce mélange de l’école du Taylorisme (les uns dirigent et forment et les seconds produisent, dans une structure où chacun a sa place et n’en bouge pas), et de celle du Saint-Simonienne, reposant sur l’affectif, la confiance, une spiritualité dont les gérants sont les garants (« (…)

Ouvrier puis ingénieur et s’intéresse a l’évolution de la production en usine, à l’organisation de la production. Il y a des grèves contre la machination des ouvriers. En 1917 -> Effort de guerre et application des méthodes de Taylor. 2.1 Le Taylorisme : 1) Il a la certitude que la science peut résoudre tous les problèmes. Il expérimente différente forme de travail. M.Dewey : classification des choses pour améliorer l’organisation Gilbreth : décomposition des mouvements Classifier, ordonner