Les Arguments De Socrate

Philosophie La cité grecque * La Grèce n’est pas un pays, car ce n’est pas une unité politique. * Constituée d’un ensemble de cités inde qui partage la même langue et religion Alcibiade 1. Socrate pose 3 conditions avant d’accepter de s’expliquer auprès d’Alcibiade. Identifiez-les. * Écouter de bonne grâce * La participation * Répondre aux questions 2. Quels sont les domaines qu’Alcibiade connait? * Lire * Écrire * La cithare * La lutte 3. Quelle

sciences comme étant une sorte de raison universelle superieure aux hommes. La raison et le tort occupent une place primordiale dans notre société. En effet, si l’on considère quelqu’un comme ayant tort, ses arguments paraîtront plus faibles aux yeux de l’opinion publique que les arguments d’une personne à qui l’on donne raison. Là est l’importance de la raison et du tort dans notre société. Avoir tort est donc un concept purement subjectif qui peut pourtant, s’il est partagé par l’opinion publique

argumentatif s’appuie sur des prémisses vraisemblables (probables et controversables), tandis que la démonstration est fondée sur des prémisses vraies (nécessaires et permanentes). Raisonnement ← Raisonnement = le schéma d’organisation des arguments, présentés sous forme de propositions enchaînées et ordonnées d’après des règles bien établies, en plein accord avec le plan du discours. ← Prémisse majeure – contient le prédicat de la conclusion ← Prémisse mineure – suggère le sujet de

Le Gorgias, Platon Platon : Athènes, ~423-348 av JC. Contemporain de la démocratie athénienne. Reprend travail de Socrate, Parménide, Héraclite et Pythagore entre autres. Philosophie politique : la cité doit être construite selon le modèle du Bien en soi. Le Gorgias : Organisation de la réflexion : définition débat politique réflexion morale. 3 étapes : Dialogue avec Gorgias :  « Qu’est ce que la rhétorique ? » Réponse décevante : contradictions, formules creuses (grandeur / beauté

distance ironique et de la double énonciation. Certes le XVIIIème siècle n’a pas inventé le dialogue d’idées. Il remonte à l’antiquité : Platon (on peut d’ailleurs remarquer qu’une des premières œuvres de Diderot est une traduction de L’Apologie de Socrate), Cicéron. Il est également repris au cours du XVIème siècle et du XVIIème siècle, mais sous la forme d’une juxtaposition de discours héritée de la pratique de la disputatio. Il s’agit le plus souvent de répliques longues, d’une juxtaposition de discours

discours de Béralde : « Ce ne sont point les médecins que [Molière] joue 1 , mais le ridicule de la médecine »… Cela nous invite à considérer de plus près la nature des arguments échangés. 3°) La nature des arguments Le dialogue est également déséquilibré si l’on prend en compte de part et d’autre la qualité des arguments échangés. a) De son côté, Argan ne peut guère qu’opposer la singularité du jugement de Béralde (« Pourquoi ne voulez-vous pas…à votre compte…dans votre tête… ») à l’unanimité

Pendant ce temps~ dans un registre de plus en plus strident~ les quelques rares défen­ seurs de la métaphysique nous ont avertis du danger de nihilisme inhérent à cette évolution; et si toutefois ils ne l'évoquent pas souvent, ils ont en leur faveur un argument important: il est bien vrai qu'une fois le supra-sensible abandonné, son opposé, le monde des apparences tel qu'on l'entendait depuis tant de siècles, est lui aussi annihilé. Le sensible, tel que le comprennent encore les positivistes, ne peut survivre

dans ce que l'on fait. Deuxièmement, il va falloir expliquer et définir ce que c'est que la vertu donc selon le Larousse c'est la disposition spirituelle à agir avec persévérance en accord avec la loi divine. Pour les explications, tout comme Socrate et Platon il y a des gens que la chose la plus importante de leur vie c'est de devenir quelqu'un de vertueux moralement. Cela veut dire que tu n'as jamais fait de mal et tu n'en feras jamais, tu ne feras que du bien autour de toi. D'un autre côté

se défendre. Les rares arguments qu’il propose sont immédiatement démolis par Jean. Nous pouvons relever l’exemple de la théorie de Béranger sur les morts plus nombreux, selon lui que les vivants. Jean réplique immédiatement et accompagné d’un gros rire : « les morts n’existent pas. ». Béranger ne conteste pas, il remet même en question sa propre existence « Je demande moi-même si j’existe ». Il reconnaît donc lui-même, la supériorité de Jean, la précision de ses arguments et du fait son droit de

Phèdre (Platon) Aller à : Navigation, rechercher Pour les articles homonymes, voir Phèdre. Début du Phèdre de Platon sur le parchemin Codex Clarkianus 39, bibliothèque Bodléienne Phèdre est un dialogue écrit par Platon. Il met en scène Socrate (personnage historique) et Phèdre (personnage fictif) et se divise en deux parties : l’une centrée sur le thème de la beauté et de l’amour, l’autre sur la dialectique et la rhétorique. Il est considéré par certains comme l'un des derniers dialogues de