Les Apports Du Fordisme

les États-Unis deviennent la puissance économique numéro un. Bien que leur capitalisme étant déjà un impérialisme, ils prévoient avoir une influence particulière sur l’Amérique latine et le Canada. De plus, le développement du taylorisme et du fordisme donne un nouvel essor à la classe ouvrière et à la productivité, qui ralentira par la suite et permettra au New Deal de s’imposer. Ce dernier sera bénéfique, mais ne relancera pas l’économie comme la Deuxième Guerre mondiale le fera. La prospérité

syndicats acceptèrent les méthodes de production tayloriennes et ils obtinrent une part des augmentations de salaire. Ce compromis fut accepté par une minorité d’employeurs puis devint la règle après la fin de la seconde guerre mondiale avec le Fordisme. L'argument principal contre les idées de Taylor est la vision réductionniste du travail qui le déshumanise. L'allocation du travail selon ce système précise non seulement ce qui doit être fait, mais aussi comment cela doit être fait et le temps

plan «On a perdu le sens du plan depuis cent ans.» On ne doit pas subir l’architecture. Il faut être despote, faire des choix, dessiner un plan, avant la construction de la ville. «Lorsqu’on aura compris l’indispensable grandeur de vue qu’il faut apporter au tracé des villes, on entrera dans une période que nulle époque n’a encore connue. Les villes devront être conçues et tracées dans leur étendue comme furent tracés les temples de l’Orient et comme furent ordonnés les Invalides ou le Versailles

coller au mieux à ces besoins et ainsi conquérir de nouveaux marchés, tout en continuant à vendre aux clients réguliers. Différentes stratégies de production ont donc été imaginées, du Fordisme aux systèmes actuels complexes. Ainsi, quelles révolutions ou évolutions chacune de ces stratégies a-t-elle pu apporter ? Pour y répondre, il est nécessaire de les traiter dans leur ordre d’apparition ; nous étudierons ainsi en premier lieu la voie initiée par Henri Ford (I), puis celle choisie par Alfred

travail et apparaît avant la Première Guerre Mondiale aux Etats-Unis - enfin, par le fordisme (organisation du travail industriel, mise au point par Henry Ford, qui associe le travail à la chaîne à une politique de hauts salaires afin d'encourager la consommation) : les salariés profitent en partie de la hausse de la productivité ; le fordisme est typique des Trente Glorieuses ; le décalage entre taylorisme et fordisme explique en partie la crise de 1929. D'où provenait le capital des entreprises ?

Japonais, sort des 4x4, des vans, des modèle très hautes gammes avec Aston Martin, Land Rover etc. Ford dépasse General Motors. Attention ne pas confondre le fordisme avec le cercle vertueux macroéconomique du fordisme. A- Une remise en cause pratique 1. Les deux crises du fordisme La première crise a lieu fin des années 1960. Le fordisme connaît une contestation salariale. Le salarié subis la cadence, la répétitivité. Les ouvriers réagissent non ouvertement. La manifestation de refus se traduit

directeur des usines Ford à Detroit aux USA et inventeur des premiers modèles d’automobiles dans le monde, a appliqué les principes tayloriens afin d’éviter les gaspillages et d’assurer un niveau maximum de productivité. Le principe du fordisme est qu’il faut « apporter le travail à l’ouvrier, au lieu d’amener l’ouvrier au travail ». L’ouvrier ne fait que réaliser automatiquement une même tâche simple le long de la chaîne de montage de sorte à être le plus habile possible à réaliser la qualité requise

mise en œuvre de celle-ci. Chacun est libre de transacter sous un effet d’asymétrie du pouvoir (pour une pme par rapport aux multinationales concernant le prix). La division du travail a apporté plusieurs effets, elle permet une hausse de la production et de la productivité exemple notamment avec le Fordisme, la révolution industrielle repose sur un processus de travail avec des usines équipées en machines-outils (qui contrôlent le travailleur). L’ouvrier devient une machine, ceci est alors une

du travail à  la chaîne va pousser à  l'extrême la division technique du travail, encore plus parcellisé, chaque tâche étant contrôlée, chronométrée, la vitesse d'exécution étant imposée par le rythme de la chaîne de montage. Le taylorisme et le fordisme se développent aux Etats-Unis dès les années 1920, puis dans les pays industrialisés (surtout en Europe) après les années 1945. Dans les années 60, cette division technique du travail va être remise en cause par les travailleurs et provoquer un

croissance qui s’est faite au rythme moyen de 5,2 points. [pic] Résidu = PIB – Contribution du facteur Capital et Travail. Lorsque l’on mesure l’apport des facteurs de production, on observe qu’il reste une partie qui ne s’explique pas par les apports direct du Travail et du Capital, c’est le Résidu. On voit pourtant avec les études empiriques que cela correspond à une partie importante de la croissance. Il faut l’expliquer vu son importance : Dans les modèles néo-classiques de la croissance, le