Leibniz Les Petites Perceptions

fait souvent une image de quelqu’un ou de quelque chose mais celle-ci ne réflette pas forcément la réalité .On peut voir par exemple la guerre entre les physiciens, sur la perception de la terre. Nous ne voyons pas la terre tourner autour du soleil, mais nous y croyons. Le soleil semble une petite boule de feu, c’est la perception que nous en avons, alors que la réalité est tout autre. C’est à cause de ces illusions d’optiques que la science moderne du XVIIème siècle débute avec Copernic et Galilée

Cs” → Penser=Cs. IV. Le problème de l'ICs Descartes pose l'égalité de la Cs et de la pensée. L'idée de l'activité psychique inconsciente se fait connaître. Leibniz analyse notre faculté de perception et il montre qu'il y a toute une activité psychique consciente. L'ICs psychanalytique (Freud) s'oppose à l'ICs Classique (Leibniz). Dans l'ICs classique tout n'est pas présent à la Cs, sans pour autant manquer. Au XIXème va apparaître une théorie nouvelle, mise en place par Freud: c'est la

doute cartésien, appelé aussi doute méthodologique car il s'effectuait par étapes. D'abord, le préjugé et la précipitation qui empêchaient de bien juger, il fallait donc ne plus juger. Puis, vinrent les connaissances nées de l'éducation et de la perception du réel de nos sens. Quelle preuve avions-nous que nos sens ne nous trompe pas en permanence comme c'est le cas pour les mirages ? Ensuite, on douta des vérités produites par les sciences exactes. Les mathématiques, aussi évidentes semblent-elles

de balles (en prendre de différents poids). Grace à cette petite expériementation Galilée est capable de montrer plusieurs choses : premièrement que seule la hauteur de chute influe sur la vitesse de chute et donc sur le temps qu'un corps met à tomber (La masse ne change rien). Deuxièmement, il est capable de modéliser ce plan incliné sous la forme d'un triangle rectangle et de calculer les petits degré d'accélération sur chaque petit espace parcouru par la balle. Galilée par cette expérience met

philosophie classique. On sait que Descartes en identifiant la conscience et la pensée n’a pas reconnu l’existence de ce qui serait autre que la conscience et l’a au contraire exclu. Par contre nous trouvons dans la philosophie de Leibniz l’idée de petites perceptions qui ne sont pas stricto-sensu conscientes et qu’il appelle des changements de l’âme qui ne sont pas voyantes. Le terme d’inconscient prend son sens avec Freud : il n’est plus définit négativement comme une absence de conscience ou une

Pascal). 57. « La méthode déductive est une méthode infaillible » Descartes, Règles pour la direction de l’esprit. 58. « Veritas est index sui » Ethique, Baruch Spinoza. 59. « Les perceptions pures de l’entendement » Discours de la méthode, Descartes [évidence non sensible]. 60. « Ex nihilo nihil fiit » Leibniz, Essais de Théodicée. 61. « Si tu sais que c’est là une main alors nous t’accordons tous le reste » Wittgenstein, Tractatus. 62. « J’en sais qui ne peuvent comprendre que de zéro ôte

c’est que ce n’est pas directement le réel, qui est l’objet de sa réflexion mais notre rapport au réel, la diversité de ses formes et ses fondements. Cette leçon aborde notamment les notions suivantes du programme : Le sujet. La conscience. La perception. L’inconscient. Autrui. La culture. Le langage. La technique. La religion. La raison et le réel. Théorie et expérience. La démonstration. La matière et l’esprit. La politique. La société. La justice et le droit. La morale. La liberté. La morale

comparé à un théâtre sans murs et sans plateau. Les perceptions passent, se succèdent, et rien ne les réunit. L’esprit n’est que ses perceptions. C‘est « un faisceau ou une collection de perceptions différentes, qui se succèdent avec une rapidité inconcevable et sont dans un flux et un mouvement perpétuel ». > Exemple (citation): « Pour moi, quand je pénètre le plus intimement dans ce que j’appelle « moi-même », je tombe toujours sur une perception particulière ou sur une autre, de chaleur ou de froid

opérations de la volonté, de l’entendement, de l’imagination et des sens » (Réponses aux deuxièmes objections). Il parait évident qu’on ne peut  penser autre chose que nos propres pensées, puisque c’est une notion qui se constitue par des éléments, des perceptions, des ressentis tout à fait personnels. En effet, je n’ai jamais des réflexions strictement identiques à celles de ma voisine, et vice versa. L’unicité de chaque être humain, génétiquement ou psychologiquement, est la preuve de nos divergences,

ou bien procèdent-elles d’une activité de l’esprit humain, indépendante des sens ? Selon Kant : “toute connaissance débute avec l’expérience”; au sens commun du terme, l’expérience est une accumulation de vécus fondés sur une perception répétées des choses. La perception semble transmettre dans notre esprit des faits extérieurs par le biais des sens; elle est passive. C’est ainsi que l’on acquiert des connaissances pratiques, par exemple : lorsqu’il y a un grand soleil dehors, je vais m’habiller