Le Salon De Mme Geoffrin

C’était un peintre français, un des plus célèbres du XVIIIe siècle. Il est surtout connu pour ses natures mortes, ses peintures de genre et ses pastels. Son œuvre la plus connue : « La Raie » peinte en 1727. Mme Du Châtelet Émilie Du Châtelet est née le 17 décembre 1706 à Paris et morte le 10 septembre 1749 à Lunéville. C’était une mathématicienne et physicienne lorraine. Son œuvre la plus connue : « Institutions de Physique, Discours sur le bonheur » traduction

sein de cette atmosphère fantastique, ils ressemblaient vaguement à des spectres mal enveloppés de leurs linceuls, image gigantesque de la fameuse danse des morts. Puis, en me retournant de l’autre côté, je pouvais admirer la danse des vivants! un salon splendide, aux parois d’argent et d’or, aux lustres étincelants, brillant de bougies. Là, fourmillaient, s’agitaient et papillonnaient les plus jolies femmes de Paris, les plus riches, les mieux titrées, éclatantes, pompeuses, éblouissantes de diamants

direction est donnée à d’Alembert et Diderot (octobre 1747). a) Jean-le-Rond d’Alembert (1717-1783) Il est le fils naturel de Mme de Tencin (ancienne religieuse, maîtresse du Régent, femme de lettres qui tient un salon) et du chevalier Destouches. La mère fait exposer l’enfant sur le parvis de l’église Saint Jean-leRond, près de Notre-Dame. Il est recueilli par la femme d’un vitrier, Mme Rousseau (le père servira une pension). Il manifeste une intelligence précoce et brillante. Il fait des études de droit

sein de cette atmosphère fantastique, ils ressemblaient vaguement à des spectres mal enveloppés de leurs linceuls, image gigantesque de la fameuse danse des morts. Puis, en me retournant de l’autre côté, je pouvais admirer la danse des vivants ! un salon splendide, aux parois d’argent et d’or, aux lustres étincelants, brillant de bougies. Là, fourmillaient, s’agitaient et papillonnaient les plus jolies femmes de Paris, les plus riches, les mieux titrées, éclatantes, pompeuses éblouissantes de diamants

plus dynamique, que se manifeste l'opposition la plus vive à la société d'Ancien Régime. La bourgeoisie est une pépinière de techniciens qui s'intéressent à la construction des routes ou à la rénovation de l'agriculture. Ils fréquentent et animent salons et académies. Là se retrouvent tous ceux qui, issus des différents milieux de la bourgeoisie, forment la "bourgeoisie à talents": avocats, médecins, jeunes intellectuels, disciples des "Philosophes", tous passionnés de politique. Quelle que soit leur

aristocratique. Appatait aussi des quartiers nobiliaire montre une ségrégation de l'espace. Comme à Paris et à Londre. Artisanat de Luxe qui se diffuse. Developpement d'une vuie de loisir en ville qui est l'un des caractère de la ville au 18e avec les salons,théatres, musées, spectacles. Cette multiplication des lieux de cultures et d'échange culturelle est très net en Angleterre. LA ville devient aussi un llieu de contacte entre les élites. Ville lieux de loisirs sous l'impulsion de l'aristocratie.

MAIS ne réclament pas une meilleure répartition des richesses. c. La diffusion et l’impact de la philosophie des Lumières Faire une distinction entre les milieux cultivés (qui prennent connaissance de la philosophie des Lumières par la lecture et salons) et les milieux non-instruits (par l’exemple de l’Angleterre et des Etats Unis). Milieux cultivés : o Lecture : devient principal vecteur de la pensée. Plein essor, nouvelles techniques d’impression…Livres moins chers. Traités politiques : un certain

autres. Ils reven-diquent les libertés de pensée, d’expression, d’opinion et luttent pour la tolérance religieuse. Parmi les plus grandes figures des Lumières, on retrouve Montesquieu, Voltaire, Diderot et enfin Rousseau. Le salon littéraire de madame Geoffrin qui recevait écrivains et philosophes des Lumières, peinture de Lemonnier, 1812 La rédaction de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne a surtout été

hérités de l’Antiquité : la fable, la satire, les lettres, les maximes et les portraits. La Fontaine illustre magnifiquement le premier dans ses Fables (1668-1678). Boileau, émule d’Horace, écrit des Satires (1666-1668) qui trouvent un grand succès. Mme de Sévigné (1626-1696) mêle dans ses Lettres les « potins » de la Cour et des réflexions morales. Les Maximes de La Rochefoucauld (1664) et Les Caractères de La Bruyère (1688) donnent à la critique sociale une pulsion nouvelle et la transforment en satire

les salons de la marquise de Lambert à l’hôtel de Nevers et celui de madame de Tencin. Autres exemple, le club de l’Entresol ou le marquis d’Argenson échange à propos de politique à la mode des clubs à l’anglaise. Les membres peuvent y échanger sans craindre d’être compromis car tous se connaissent. Autre forme de sociabilité plus traditionnelle, les salons ou diners, sont l’occasion de rencontres philosophiques. D’Alembert, Buffon, Montesquieu font partie des habitués du salon de Mme Geoffrin. L’art