Le Salon De Mme Geoffrin

France des Lumières, c'est dans les salons parisiens qu'il faut se rendre plutôt qu'à Versailles, avec pour guide Antoine Lilti qui répond à toutes nos questions sur cette «société» pour reprendre le mot jadis le plus employé, car "salon" est le terme que le XIXè siècle préféra, plutôt que "cercle", "coterie", "bureau d'esprit" (par dérision), ou "compagnie".     Notre Histoire s'est persuadée depuis longtemps d'un double paradigme : il y a un lien causal entre salon et Lumières, et un autre entre

Les salons au XVIIIe siècle Intro : Les salons littéraires, un nouveau lieu d'échange, naissent en France au XVIème siècle et uniquement en France, dans la région de Paris. Ils sont tenus par des femmes cultivées qui mettaient en avant l'éducation pour les filles. Elles deviendront au XVIIIème siècle, les salonnières. Bien qu'ils soient appelés salons littéraires ou philosophiques à l'époque, on préférera les appeler « cercles », « bureaux d'esprit », « coteries » ou encore « compagnie ». C'est

veut donner une portée à la fois sublime et morale, et qui, comme chez Hogarth Outre-Manche, évoquent un théâtre peint. Le drame muet s’y transcrit dans les gestes et les expressions ; les détails multiples et soignés relancent l’attention . Dans ses Salons, Denis Diderot qui voit dans les tableaux de Greuze de louables exemples de vertu, fait de cet artiste le repoussoir des nus libertins de Boucher. Greuze, Le Fils puni, 1778 Gainsborough (1727- 1788) Gainsborough, Autoportrait

Les salons parisiens au XVIIIe siècle. Bibliographie : - Livre et société dans la France du XVIIIe siècle, de G. Bolleme, J. Ehrard et F. Furet. - L'Esprit de société : Cercles et "salons" parisiens au XVIIIe siècle, de H. Jacqueline. Introduction : Le deux documents sont deux textes tirés des Mémoires de Jean-François Marmontel qui était un encyclopédiste, romancier et philosophe français du XVIIIe siècle qui fut considéré comme un proche de Voltaire mais un ennemi de Rousseau. Il connut une

Salons et cafés au 18ème siècle Introduction -Les salons apparaissent au XVIème siècle, connaissent un essor au XVIIème avec les salons précieux puis atteignent leurs apogées au XVIIIème celui des Lumières -Mort de Louis XVI entraine un sentiment de liberté et les secrets s’éloignent pour la première fois de Versailles. Impression que la censure connait une période de faiblesse. -Siècle des Lumières: mouvement de pensée, éclairer par la raison et défense d’idées nouvelles : liberté, égalité

Salons Le phénomène des salons commence à la fin du xviie siècle, dans un contexte prospère. On s'adonne à l'art de la conversation, il s'agit là d'un phénomène parisien et plutôt français. Les salons sont tenus essentiellement par des femmes, souvent issues de la bourgeoisie et ayant des connaissances (Madame du Deffand, Madame Lambert,Claudine Guérin de Tencin, Marie-Thérèse Geoffrin, etc.) Pour que son salon connaisse le succès, la maîtresse du lieu doit s'attacher les services d'un philosophe

Les Salons Intro : Sur internet, un site qui leur est dédié pousse l’idéalisation jusqu'à en faire une figure éternelle de l’avant-garde : des dizaines de « salons », de l’antiquité à nos jours, sont répertorié et regroupés sous une citation de Margaret Mead qui proclame : « Un petit groupe d’Hommes engagé et réfléchit est capable de changer le monde. D’ailleurs rien d’autre n’y est jamais parvenu. » Ce document est un texte non officiel tiré des mémoires de l’abbé André Morollet : Mémoires

gfhggggggggggggggggggggggggggggggggggggggggggggggggggggggggg gggggggggggggggggggggggggggggggggggggggggggggggggggggggggggg ggggggggggggggggggggggggggggggggggggggggggieux "pédagogiques" au XVIIe siècle, les Salons deviennent au XVIIIe siècle (Mme Geoffrin, Mme du Deffand, Julie de Lespinasse, Mme Necker...) des "caisses de résonance" pour les auteurs, savants et artistes. Ils sont caractérisés par la mixité intellectuelle ; des femmes s'y expriment, y trouvent une occasion de satisfaire leur soif de

Histoire Des Arts : Anicet Lemonnier est né le 6 juin 1743 à Rouen et est mort en 1824 à Paris. Une soirée chez Mme Geoffrin en 1755, est un tableau datant de 1814, dont les dimensions sont 1,29 x 1,96 m. Anicet Lemonnier a voulu reconstitué le salon de Mme Geoffrin dans son imaginaire. Au premier plan, on peut voir un tapis dont les couleurs sont plutôt chaudes : rouge, bleu, vert… Au deuxième plan, on voit une quarantaine de personnes installées sur sièges de velours rouge et ornés de dorures

représentation du "Frontispice" -corpus numéro 2 revendications des lumières -biographie, bibliographie et mots clefs résument sa vie -corpus numéro 3 l'importance de la sensibilité au XVIIIème siècle -représentation et commentaires sur "Une soirée chez Mme Geoffrin" -sources multiples et diverses Sommaire: Page 1: page de présentation avec auteurs, thème et plan du dossier Page 2: sommaire paginé Page 3: représentation du Frontispice de l'Encyclopédie Page 4: sommaire du premier corpus et premier