Le Quotidien Joseph Rouzel

rebondir devant un sentiment tel que la tristesse ou le trop d’empathie ? Pour mener au mieux ce travail je choisirai des ouvrages en rapport avec l’image du handicap et à quoi celle-ci peut se rapporter. Actuellement je m’oriente sur un ouvrage de Joseph Rouzel « Le transfert dans la relation éducative ». J’espère y trouver des éléments pour m’aider à comprendre cette situation qui me touche autant. La rencontre La première rencontre avec Estelle s’est faite peu de temps après mon arrivée au service

pas aux réunions de fonctionnement, ou d’analyse clinique[10], ils ne peuvent donc pas être dans l’élaboration d’une analyse commune. Et sans doute ont-ils l'impression d'être en dehors de l'équipe. Pourtant ils interviennent sur un temps de vie quotidienne où ils jouent un rôle éducatif et/ou l’équipe pluridisciplinaire attend d’eux une action commune à la leur. Je pense donc qu’il est difficile pour les veilleurs de nuit, de s’inscrire dans des actions éducatives communes. En effet, ils ont le sentiment

................................................ 15 1. Sur sa santé. ............................................................................................................................................................... 16 2. Sur son quotidien. ................................................................................................................................................... 18 3. Michel, son rapport à l’argent. .........................................................

violence peut-elle être le signe d’une bienveillance ? Je t’autorise à avoir ma confiance « La nature humaine par-ci, la nature humaine par-là, La nature humaine demande avant tout qu’on lui fasse violence. » La violence au sein du groupe est quotidienne. Je parle ici de violence amicale que l’on pourrait facilement nommé bagarre ou câlin masculin d’adolescent. J’ai pu remarquer que les jeunes émettent comme un besoin de venir se bagarrer contre moi tout comme contre certains éducateurs. Je me suis

ainsi qu’apparu l’idée d’une structure accueillant des jeunes majeurs et proposant un accompagnement social, professionnel et éducatif. Le FAE s’inscrit dans un projet dont le jeune doit être partie prenante. En effet, le fonctionnement quotidien de la maison repose sur l’implication des jeunes. Les repas, le ménage des parties communes ainsi que des chambres (toutes individuelles) sont ainsi assurés par chaque habitant de la maison. De même, les jeunes sont invités à participer aux décisions

L'équipe pluriprofessionnelle (ses fonctions)...................................P2 4- Le projet du service..........................................................................P2 II- Le quotidien 1- Définition et caractéristique du quotidien.........................................P3 2- Sens du quotidien pour la population accueillie...............................P3 III- Présentation d'une situation 1- Connaissance de la personne a- Description physique et histoire de vie........

(éducateurs spécialisés, moniteurs d’atelier, psychologue, psychiatre, médecin généraliste, psychomotricien, infirmières, assistante sociale), ainsi que de l’équipe technique (restauration, entretien des locaux et du linge), sont donc investis au quotidien dans le travail auprès des usagers. A la Maison Verte, vivent huit hommes et six femmes, âgés de 29 à 55 ans. Ils souffrent de troubles très divers (schizophrénie, trisomie, retard mental avec troubles du comportement, etc.) mais ont comme point

demandeurs. Ils orientent les personnes sur les Dispositifs d’Accueil d’Urgence et reste référents dans l’accompagnement social. A partir de 17h et les week-ends, le SAMU social prend le relais. Les travailleurs sociaux accompagnent les résidents au quotidien sur plusieurs points : - La médiation et la gestion des conflits, le rappel au règlement. - L’évaluation sociale, le suivi de leurs différentes démarches administratives, la liaison avec les partenaires sociaux. Sont mis en place des entretiens

de ce stage était de faire le lien entre la théorie et la pratique. Une meilleure connaissance du public déficient intellectuel et de l’Institution elle-même, me paraissait indispensable pour accompagner, animer et organiser la vie quotidienne de ces usagers. Ensuite, m’intégrer à une équipe pluridisciplinaire devait me permettre de prendre progressivement des responsabilités, de participer aux projets collectifs et individuels. A travers les activités que j’ai mises en place, j’ai pu

minis tournois de football en salle que j'organisais une après midi dans une commune environnante. Petit a petit des liens commencèrent a se créer entre eux et moi et l'on pouvait évoquer ensemble ce moment de partage et de nouveauté dans leur quotidien. Des comportements hostiles a l'égard d'une activité étaient mêmes a noter pour l'un des membres du groupe qui, observant les joueurs,le directeur et moi-même participer,alors que monsieur G plutôt seul,faisant les cents pas quotidiennement dans