Le Porte Glaive

III Un cauchemar universel A- un art de l'évocation des sensations désagréables (atmosphère sombre, bruit, couleur comme gravure, le froid et la brume) → effroi, angoisse, aucune porte de sortie, rien echappe, dégoût fascination repoussant mais droit « manteau » fier « air de gloire » B- Usage de l'allégorie « glaive » symbole de la puissance , trancher et à sanctionner « sablier » (fuite du temps) le temps qui passe squelette « 36 dents » symbole du temps « torse d'ombre et d'ivoire » (côtes)

Je suis Platon, je vois ; je suis Newton, je trouve. Du hibou je fais naître Athènes, et de la louve Rome ; et l'aigle m'a dit : Toi, marche le premier ! J'ai Christ dans mon sépulcre et Job sur mon fumier. Je vis ! dans mes deux mains je porte en équilibre L'âme et la chair ; je suis l'homme, enfin maître et libre ! Je suis l'antique Adam ! j'aime, je sais, je sens ; J'ai pris l'arbre de vie entre mes poings puissants ; Joyeux, je le secoue au-dessus de ma tête, Et, comme si j'étais

mort de Cléopâtre et celle de son amour Marc-Antoine face à l’humiliation de la défaite. Ier plan : Marc-Antoine, vêtu d’une toge bleue, est allongé, le visage dans l’ombre, le bras près du glaive rougi au bout, avec laquelle il s’est tué. Sa poitrine livide laisse apparaître le coup qu’il s’est porté. La couleur des soldats sont vert, ocre et rouge ce qui fait ressortir la peau blanche d’Antoine, un de ses soldats à gauche, enveloppe le corps du mort d’un drap blanc.

rituels qu’il doit connaître parfaitement, il est chargé de les faire respecter. C’est lui qui ordonne la composition du tableau de Loge en fonction du degré de travaux tenus. C’est également lui qui, au deux premiers degrés, détruit de la pointe de son glaive, l’ordonnance du tableau de Loge. A ce titre, c’est lui qui allume et éteint les étoiles des piliers, les lumières des officiers, ainsi que le chandelier du plateau du V(M(O(. Appelé également «Frère Terrible» lors des cérémonies d’initiation qu’il

à dire qu’elle a toujours existée, et que le régime de Vichy n’a aucune existence légale. La France peut alors se présenter comment une puissance victorieuse de la SG mondiale. Après 1950 se pose la question de l’amnistie pour les condamnations portées après la guerre. - On souhaite que Pétain malgré ses 95 ans soit maintenue en prison. (donner l’exemple). - En 1947(51,53), loi de l’amnistie pour réduire les emprisonnements, mais le procès d’Oradour-sur-Glane pose la question des « malgré-nous »

le coup fatal qu'il s'est lui même porté. Le bras droit de ce dernier touche le sol, sa main droite est près du glaive rougi. Un soldat enveloppe dans le linceul le corps d'Antoine et regarde un militaire aux mains jointes. Les cuirasses des soldats sont faites de couleurs chaudes, le bord d'or du lit de parade sur lequel est étendu Antoine apporte un contraste par rapport à la lividité du torse, à la blancheur du linceul, à l'éclat métallique de la lame du glaive et au bleu dur de la tunique. Cléopâtre est

des camps. La mémoire maréchaliste : elle l’œuvre d’anciens collaborateurs et met en avant l’idée que Pétain aurait évité le pire à la France en la protégeant pendant que de Gaulle combattait à l’extérieur. C’est la thèse « du glaive et du bouclier » Qui est le glaive ? Le bouclier ? Cette thèse est totalement fausse et contredite par le travail des historiens. II LE RETOURNEMENT DE LA MEMOIRE A PARTIR DU DEBUT DES ANNEES 1970 1 Les raisons Elles sont multiples : Arrivée à l’âge adulte

développée, on parle de métaphore filée. L’allégorie est la représentation imagée d’une idée abstraite, sous la forme d’un tableau concret. L’allégorie de la justice est ainsi une femme qui a les yeux bandés (elle est impartiale) et qui porte une balance (elle juge) et un glaive (elle punit). La personnification attribue à un animal, un objet ou une abstraction les propriétés d’un être humain.« Rome à ne vous plus voir m’a-t-elle condamnée ? » (Racine) 2 Les figures de substitution La périphrase remplace

coquillage ou d’un débris de verre est ainsi évoqué comme une « épée de lumière jaillie du sable » (l.7), le reflet de la lumière sur le couteau de l’Arabe est assimilé à une « longue lame étincelante qui [l’] atteignait au front » (l.34), à un « glaive éclatant » ou une « épée brûlante » (l.38). Souvent personnifiés, comme c’est le cas dès la première phrase avec l’évocation de la mer qui « haletait de toute [sa] respiration rapide et étouffée », les éléments sont également la plupart du temps

la balance » mais sans jamais y arriver Que l’on nous mette tous dans le même panier ou plateaux, nous les êtres humain les hommes qui n’attendons de salut que de la balance Le salut de la balance B tapi l’a cherché Jadis Porté au nu, la balance s’est vite rééquilibrée au profit d’ hommes politiques enragés Quel qu’il soit, l’homme reste au centre d’intérêt de la balance comme je vous l’ai ci dessus énoncé La balance est l’objet de l’homme Mais