Le Porte Glaive

poétique de Boileau ou les tragédies de Racine. Surtout, le poète refuse une littérature trop abstraite qui n’est pas en prise directe sur la vie. Cette volonté de parvenir à une pratique vivante de l’écriture explique la violence des insultes portées à l’encontre des partisans du classicisme (Grimauds hideux qui n’ont, tant leur tête est vidée/ Jamais eu de maîtresse et jamais eu d’idées ) ainsi que le ton moqueur que le poète adopte dès qu’il s’agit de railler le désarroi de tel ou tel vieillard

pris l’autobus à deux heures. Il faisait très chaud. J’ai mangé au restaurant, chez Céleste, comme d’habitude. Ils avaient tous beaucoup de peine pour moi et Céleste m’a dit : « On n’a qu’une mère. » Quand je suis parti, ils m’ont accompagné à la porte. J’étais un peu étourdi parce qu’il a fallu que je monte chez Emmanuel pour lui emprunter une cravate noire et un brassard. Il a perdu son oncle, il y a quelques mois. J’ai couru pour ne pas manquer le départ. Cette hâte, cette course, c’est à cause

la protection de l’épée (et du soldat), ils suivirent inévitablement son évolution (il en existe de splendides, décorés “en suite” avec leur propre lame) en s’ornant d’émaux, d’incrustations, de métaux précieux... L’épée était destinée à être portée à cheval, accrochée à l’arçon, ou bien à pied, à l’aide d’une bande passée en bandoulière appelée “baudrier”, ou d’une “ceinture”. Ces différents usages influencèrent les fourreaux ou, mieux encore, leur système de suspension, de même que la forme

mes sourcils a coulé d'un coup sur les paupières et les a recouvertes d'un voile tiède et épais. Mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau de larmes et de sel. Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front et, indistinctement, le glaive éclatant jailli du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. C'est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m'a semblé que le ciel s'ouvrait sur toute

procession de l'inquisition représenté sur la troisième gravure. On peut voir au premier plan, à l'entré de l'église ou vont être lu les sentences, l' ordre dominicain portant l'étendard de l'inquisition de Goa. Derrière, un deuxième dominicain porte un crucifix tourné vers les membres de l'ordre, dont la marche est fermé par un autre crucifix tourné vers les condamnés qui ont évité le feu par confession avant ou après condamnation. Ils sont tous accompagné de leur parrain. La marche de ces condamnés

les a recouvertes d'un voile allitération tiède et épais. Mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau de larmes et de sel. Métaphore Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front et, indistinctement, Allitérations : S+L, métaphore le glaive éclatant jailli du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante deux métaphore rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. C'est alors que tout a métaphore vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m'a semblé que le

: 1- les rimes a) richesse ou qualité des rimes : Rime pauvre : un seul son commun ( ex : chanté/retiré , couteau/troupeau ) Rime suffisante : deux sons communs (ex : air/ clair, maudit/dit ) Rime riche : toirs sons commuuns ou plus ( ex : glaives/lèves , prunelles/Fraternelles) b) genre : Traditionnellement, on fait alterner rimes féminines ( terminées par un e muet : ex - silence/vigilance) et rimes masculines ( les autres : placés / glacés ) c) la disposition des rimes : aabb : rimes

structure de bois spécialement conçue. LA GUERRE Un corbillard tiré par des chevaux de guerres caparaçonnés et hacharnés,est conduit par un etre cornu qui fait penser au diable avec sa corne sur la tete, il est armé d’un poignard ensanglantés. Il porte sur le dos une sorte de hotte ou sont entassés des cadavres humains, dans sa main droite il tient un écu ou des insectes s’y en échappe . D’autres personnage apparaissent en onbres chinoise se tuant les uns les autres, les trois chevaux démoniaque

et de Petain, par exemple par le biais de documents de propagande. Robert Aron parle lui d’une sorte de complémentarité entre Pétain et De Gaulle : ce dernier résiste et lutte contre les nazis, et Pétain protège les français. C’est la théorie du glaive et du bouclier. Cette pensée est assez majoritairement partagée jusqu’au milieu des années 1970. La mémoire de Vichy est donc une mémoire complexe (oubli, nostalgie…) liée au résistancialisme. D)Importance de la mémoire de la déportation politique

derniers vers du deuxième quatrain nous font comprendre que «La voix» est en réalité Victor Hugo.Le mot «rêve», vers 7, vient donner une signification positive à cette voix. L'opposition entre «dans l'ombre» et «tout haut», vers 8, renforce le message porté par la voix de Victor Hugo.Dans les deux premiers quatrains, Victor Hugo se présente comme la voix de la raison, allant jusqu'à l'inconscient des individus avec la comparaison «Comme ceux que l'on entend en rêve».Le dernier vers du deuxième quatrain