Le Porte Glaive

constitué d'un casque, d'une cuirasse, d'un bouclier en cuir, d'une cote de maille et de sandales. Il utilise le javelot, le glaive, le poignard, le dard plombé et le pilum. Un centurion est l'enseigne principale de la légion romaine représentant un aigle aux ailes tendues en bronze ou en argent. Un aquilifer est l'aigle doré. Un signifer est est celui qui porte l'emblème du centurion qui est une hampe ornée de disques en métal et qui indique le numéro. Au sommet de la hampe se trouve

l'irréparable. Mais son dernier souffle est un souffle de repentir. Dans cette pièce, qui porte son nom, Phèdre est analysée avec grand art par ce maître de la tragédie qu'est Racine.Et c'est là sans doute la grande innovation du dramaturge français. Le mythe de Phèdre a inspiré, du moins d'après les oeuvres qui nous restent, deux grandes tragédies dans l'Antiquité, une grecque et une romaine. Il s'agit de l'Hippolyte porte-couronne d'Euripide et de la Phèdre de Sénèque. La première a ceci de particulier

honneur). Le rituel de table était centré sur ces "honneurs". Les Rites Français et Anglais ont conservé certains de ces usages qui comportent une gestuelle particulière pour la manœuvre des "canons" (rythmes ou figures) et parfois aussi des "glaives" (couteaux). Dans certains cas, à la suite de ces "Honneurs", les convives faisaient le signe pénal d'Apprenti, puis exécutaient avec les mains une Batterie particulière appelée "Batterie de Table", qui différait selon la dignité de ceux à qui

sous votre robe convoité la luxure du fourvoiement et ce sera à ce moment là contre votre corps, que je me sentirai presque mort tel votre beauté est meurtrière » « Perdez-vous la tête ou êtes-vous tous simplement aviné jusqu'au bout de votre glaive ? Je n’eus à peine l'occasion de vous présenter mon enchantement de cette rencontre que vous me faites une déclaration des plus burlesques ou que sais-je. » « Mon cœur chante mon amour pour vous tel une chanson sicilienne, mais je comprends

En prison, il dit qu’il était heureux dans sa vie. Le meurtre I. Un décor grandiose, symbolique et tragique : 1) Le soleil : Il est omniprésent. Il n’arrive pas à se débarrasser du soleil. Il est représenté d’une manière agressive « glaive, lames, épée brûlante ». Le soleil brûle : « à cause de cette brûlure », « pour laisser pleuvoir du feu ». L’éblouissement et aveuglement : « mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau de larmes ». Il a une grande souffrance : « rongeait, fouillait

scène de la Piéta (La piéta est la scène ou la vierge Marie pleure son fils Jésus après la crucifixion) cette figure donne une dimension religieuse au tableau et elle témoigne aussi de l’innocence des victimes. Un soldat mort qui tient dans sa main glaive brisée. Ce soldat démontre l’inégalité des forces lors du bombardement de la ville de Guernica. Une jument qui d’après Picasso représente le peuple espagnol se faisant brutaliser par le taureau qui lui représente la force qui est Franco. Au fond

« Vichy bouclier » qui, sous la houlette tutélaire du maréchal PÉTAIN, le vainqueur de Verdun, aurait permis de protéger les Français, de leur éviter le pire, et qui aurait constitué à sa façon une autre résistance, venant compléter celle, qu'armé du « glaive », incarnait le général DE GAULLE à Londres. Cette thèse à laquelle se raccroche encore aujourd'hui les nostalgiques de Vichy, a été énoncée par Robert ARON  dès les années 1950. Le ralliement à cette thèse dans le contexte de la guerre froide, de

être partout à la fois. Il y eut un moment de flottement chez les Troyens, hésitant entre le combat et la fuite. C'est alors que la haute silhouette de troyen Cycnos (fils de Poséidon), parcourut leur rangs, montrant l'exemple en brandissant un glaive avec une ardeur sans égale. Achille comprit qu'avec un tel chef , la bataille serait coûteuse. Il lança à toute volée son javelot en direction du grand Troyen. Comme il était fils de dieux, Cycnos ne pouvait être tué par un mortel. Bien que la pointe

devant mes yeux » ; « mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau de larmes et de sel » ). La luminosité n'éclaire pas, au contraire, elle est source de confusion : « il avait l'air de rire ». Ce qui conduit le couteau à devenir une « épée » et un « glaive », ce qui fait croire à Meursault qu'il est agressé. L'image de l'épée marque la confusion de Meursault entre l'agression des éléments naturels et celle du couteau. L'expression « la lumière a giclé » met en évidence un mélange eau et lumière que

mes sourcils a coulé d'un coup sur les paupières et les a recouvertes d'un voile tiède et épais. Mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau de larmes et de sel. Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front et, indistinctement, le glaive éclatant jailli du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. C'est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m'a semblé que le ciel s'ouvrait sur toute