Le Patre Est Le Lion

autres formes d'argumentation. Cependbnt des écrivains comme La Fontaine et Voltaire savent le parti que l'on peut tirer d'un récit. Pour La Fontaine : « Une morale nue apporte de l'ennui / Leconte fait passer le précepte avec lui » (in « Le pâtre et le Lion », VI, 1) On s'intéresse aux personnages, aux rebondissements, à l'action. Les personnages bien que schématisés servent d'exemples, les actions sont simples. Le conte philosophique et l'utopie permette l'évasion du lecteur: on visite de nouveaux

.. p. 8 Le renard...................................................................................................... p. 12 Le chien........................................................................................................ p. 16 Le lion.......................................................................................................... p. 20 L’âne............................................................................................................. p. 24 Le rat........

façon plaisante. Car l’apologue s’adresse à un public large et populaire, désireux de se divertir.« Une morale nue apporte l’ennuiLe conte fait passer le précepte avec luiEn ces sortes de feintes, il faut s’instruire et plaire. »La Fontaine, Le pâtre et le Lion.  Il est porteur d'un enseignement, a une visée didactique (on apprend quelque chose), d'une morale, qui nous fait réfléchir3/ Il critique de manière fine1/ Il séduit un public + large (récit imagé, donc la morale passe + vite),

Rochefoucauld) les portraits (La Bruyère) ou les fables qui constituent souvent des sortes de petites comédies. La Fontaine affirme à propos des fables : « Une morale nue apporte de l’ennui ; / Le conte fait passer le précepte avec lui. » in « Le pâtre et le lion ». • Le théâtre. Racine, qui s’inspire d’Aristote (philosophe grec du IV° siècle av. J.C) déclare: « La principale règle est de toucher. Toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première » (préface de Bérénice) Molière (préface

seul trait de caractère ou de personnalité, qui leur est le plus adapté. Dans la fable de La Fontaine ‘‘Les Animaux malades de la Peste’’, par exemple, l’auteur emploie des figures animales déjà associées à une caractéristique générale : ainsi le Lion est décrit comme le plus puissant, le Renard comme le plus malin et le plus flatteur et l’Ane comme le plus stupide. En jouant sur la persuasion, on fait appel aux traits les plus profonds du lecteur, c’est une approche purement pédagogique, presque

Rochefoucauld) les portraits (La Bruyère) ou les fables qui constituent souvent des sortes de petites comédies. La Fontaine affirme à propos des fables : « Une morale nue apporte de l’ennui ; / Le conte fait passer le précepte avec lui. » in « Le pâtre et le lion ». • Le théâtre. Racine, qui s’inspire d’Aristote (philosophe grec du IV° siècle av. J.C) déclare: « La principale règle est de toucher. Toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première » (préface de Bérénice) Molière (préface

animal nous y tient lieu de maître. /Une morale nue apporte de l'ennui : /Le conte fait passer le précepte avec lui. /En ces sortes de feinte il faut instruire et plaire, /Et conter pour conter me semble peu d'affaire. » (VI, 1-2, « Le Pâtre et le lion - Le Lion et le Chasseur). 2.b.2 Le poète ne se pers pas en paroles inutiles, « conter pour conter me semble peu d'affaire ». Son art est aussi une pédagogie dont le secret est précisément de « fai(re) passer le précepte » par le biais d’un conte

premier bilan d'ordre lexicométrique :   Livres | Animaux seuls | Hommes seuls | Animaux et hommes | Discours |  VII | I. Les Animaux malades de la peste III. Le Rat qui s'est retiré du monde IV. Le Héron VI. La cour du Lion VII. Les Vautours et les Pigeons XII. Les deux Coqs XV. Le Chat, la Belette et le petit Lapin XVI. La tête et la queue du Serpent | II. Le Mal MariéIV. La Fille V. Les souhaits IX. La Laitière et le Pot au lait X. Le Curé et le Mort XI. L'Homme

fable sont considérés comme un genre mineur ne s’adressant qu’aux enfants et à un public populaire. Cela s’explique à première vue par un récit simpliste et court qui ne lassera pas le lecteur peu expérimenté. Comme on peut le voir dans « Le pâtre et le Lion » où la Fontaine dit en parlant des fabulistes : « Tous ont fui l’ornement et le trop d’étendue. On ne voit point chez eux de parole perdue ». On le voit également avec l’utilisation d’animaux dans les fables comme dans « Le Loup et l’Agneau »

Rochefoucauld) les portraits (La Bruyère) ou les fables qui constituent souvent des sortes de petites comédies. La Fontaine affirme à propos des fables : « Une morale nue apporte de l’ennui ; / Le conte fait passer le précepte avec lui. » (Le pâtre et le lion ) Le théâtre. Racine, qui s’inspire d’Aristote (philosophe grec du IV° siècle av. J.C) déclare: « La principale règle est de toucher. Toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première » (préface de Bérénice) Molière