Le Pater Familias

générale de l’article 1382 le pouvoir de décider eux mêmes de l’illicéité d’un acte. En général, les juges utilisent un standard, ils vont comparer le comportement de la personne considérée au comportement d’un « bon père de famille » (bonus pater familias). Aujourd’hui on considère que même un enfant en bas âge peut être responsable tant le domaine de la responsabilité civile s’est étendu. C’est pourquoi l’on a affiné le standard du « bon père de famille » en comparant plutôt le comportement

Section 3 : Les restrictions à la liberté et les incapacités La mancipation La mancipation concerne tous les membres sous l’autorité du pater familias (femmes, fils et filles). Ces personnes ont un statut proche de celui des esclaves car elles n’ont pas de D propres mais ne sont pas esclaves car elles exercent des D civil et politique. Le pater familias peut émanciper des personnes des personnes sous son autorité. Les autres statuts restrictifs L’exemple des addictis ou débiteurs

PROTECTION DE LA PERSONNE. Réalisée par l'autorité parentale qui constitue un ensemble de règles et l'art 371-1 du CC prévoit que « l'autorité parentale est un ensemble de droits et de devoirs qui ont pour finalité l'intérêt de l'enfant. » Autorité du pater familias : chef de la famille, il a sur ses enfants voire petits-enfants le droit de vie et de mort, il a le droit de les vendre, de les abandonner. Sur le plan du patrimoine en droit romain on considérait que l'enfant n'avait le droit de rien avoir qui

par un acte solennel d’aliénation. La liste est peu exhaustive : les bêtes de somme ou de trait, les servitudes rustiques et l’esclave. Les autres biens étaient accessibles aux étrangers et aux personnes soumises à la puissance patriarcale du pater familias. L’esclave Romain est donc littéralement considéré comme un objet d’un point de vu juridique. Cependant la situation de l’esclave va « s’améliorer » au cours du temps, en effet un certains nombre de droits vont lui être accordé, il va pouvoir

Dieu. Une autre personne voue aux œuvres de Dieu, c’est Anne Vercors, le père de Violaine et Mara. Il contribue à l’image de la société en montrant une société patriarcale où la volonté du père doit être respectée. Il se présente comme un vrai "pater familias" qui décide tout concernant le destin de la famille. Il décide de partir en croisade à Jérusalem chez le Roi des Rois, mené par la foi pour la renfermer. Un ange sonnant de la trompette l’appelle : "La trompette sans aucun son que tous

France et exclurons les autres pays. Le sujet des droits avant la naissance était présent dans le droit romain. Ce qui importait les romains à cette époque était de garder l’unité familiale sous l’autorité du « pater familias ». Ainsi, lors de l’ouverture d’une succession si un potentiel héritier n’était pas encore né, il fallait qu’il soit considéré comme tel pour en bénéficier et assurer la continuité de cet héritage. De nos jours, ce droit est retranscrit

Les membres des familles ont un ancêtre commun, un culte commun et portent le même nom : le gentilice. Les Romains ont trois noms : d’abord le prénom, puis le gentilice puis le nom de famille étroite. Chaque gens à un chef (pater, les patres) et une organisation. Le pater familias a un pouvoir absolu, la patria potestas, avec, sans doute dès l’origine, le droit de vie et de mort. Cette organisation regroupe également les clients (du verbe cluere, obéir), qui sont des hommes libres mais placés sous la

1) Le droit romain Il révèle la prédominance d’une conception patriarcale de la famille que l’on appelle la gênes. Tout les descendants d’un ancêtre commun y compris les enfants majeurs et leurs conjoints demeurés placés sous l’autorité du pater familias qui pouvait aller jusqu’au droit de vie et de mort dans les temps primitif, il avait une autorité absolu sur les membres de la famille et leur patrimoine. Le culte des ancêtre donne à cette famille étendue un caractère religieux. Tandis qu’elle

du mariage puisque celle ci dépend de la volonté du paterfamilias qui est le seul capable (sui iuris) = juridiquement capable de contracter. En outre pour les romains, le mariage illégitime est consensuel. C’est le consentement des époux et du pater familias qui fait le mariage. Les fiançailles exister a Rome, (paroles du futurs : verba de futuro). Elle précède l’union n’ont pas de formes juridique romaine et n’ont pas d’effet juridique car le mariage doit émaner d’une volonté libre et passé par l’échange

siégeant dans l’atrium. La femme est liée à la propriété notamment à l’époque féodale puisqu’elle est vassale du suzerain qui la possède et lui choisit un mari, mais surtout car, elle est annexée par le groupe de son époux par le mariage. Le pater familias perse a d’ailleurs droit de tuer sa femme infidèle pour éviter d’introduire un bâtard dans la famille et de dilapider l’héritage. C’est donc dans les rares sociétés communautaires où la femme est la plus libre, puisqu’au nom de l’eugénisme, la