Le Pater Familias

viager, mais pas héréditaire. ATTENTION : il y avait une hérédité de fait, étant donné que le roi était choisi dans un groupe restreint. Filiation matrilinéaire. - En théorie, le choix du roi se fait par les chefs des grandes familles (patres familiae). - puis période d’interrex, entre 2 rois, où les Patres exercent le pouvoir royal. - ratification du choix des Patres par acclamation des citoyens romains réunis dans des comices curiates (association de citoyens en état de porter

modèle du gouvernement de la République". La République serait alors un gouvernement de plusieurs ménages sous l’autorité d’un prince. Il montre que la souveraineté n'est pas une construction artificielle. Elle est à l'État ce que l'autorité du pater familias est à la famille. Bodin va inclure sa théorie sur la souveraineté en disant que "ce n'est pas la ville ni les personnes qui font la Cité, mais l'union d'un peuple sous une seigneurie souveraine". Le concept de souveraineté permet de cerner

chef de famille prévoyant, qui assure ordre et civisme au sein de la cellule familiale. La cellule familiale doit être le reflet de la nation, un ensemble ordonné aspirant aux valeurs de la République. Le bon père de famille, du latin, bonus pater familias. Dans le Code civil de 1804 la question du père en tant que bon père de famille a largement été mise en avant, et, relevait une question qui portait très à cœur à Napoléon. En effet le père était la figure prépondérante au sein de la cellule famille

droit romain Le droit romain révèle la pré dominance d’une conception patriarcale de la famille qu’on appelle la gens : tous les descendants d’un ancêtre commun, y compris les enfants majeurs et leur conjoint demeuraient placé sous l’autorité du pater familias qui pouvait aller jusqu’au droit de vie et de mort dans les temps primitifs. Le culte des ancêtres donne à cette famille étendue un caractère religieux tandis qu’elle joue dans une société agraire, un rôle économique essentiel. De plus, son poids

auteur commun. Au fil des siècles, la famille a beaucoup évolué. En droit romain prédominait une conception patriarcale de la famille : la gens car les pouvoirs du père étaient exorbitant tant sur les enfants que sur l’épouse. A l’époque le pater familias faisait l’objet d’un véritable culte. L’Ancien droit avait une conception quasiment similaire de la famille : l’autorité du mari et du père en qualité de chef de famille était très forte. C’est le droit intermédiaire (révolutionnaire) qui a

spectacle, de la toute puissance de l’image qui rend le spectateur passif, on est pris dans l’image. 2) Remodelage de l’autorité : - La figure de la mère : cela serait le renouveau de l’autorité. La figure du père c’est dieu le père, le roi et le pater familias, autorité extrêmement hiérarchisée, cette autorité est complètement déligitimée ex : proposition de loi sur la fin de la fessé. En fait l’autorité n’a pas disparu mais a changé de visage, c’est une autorité sentimentale de la proximité et du dialogue

sur des valeurs qui avaient été fixées par le Code Napoléon. La famille était dite légitime que lorsqu’elle résultait d’une union conjugale fondée autour du mariage. Elle était également patriarcale en ce qu’elle était placée sous l’autorité du pater familias (le mari et le père). L’homme prenait ainsi seul les décisions concernant le couple, gérait seul les biens communs et même ceux privés de sa femme, et enfin exerçait seul l’autorité et l’éducation des enfants à qui ces derniers devaient respect

concernent toutes les classes sociales. Ce texte présente alors un réel intérêt dans le sens ou il montre l’évolution qui intervient au cours des siècles et permet de mettre en relief un retournement de situation en ce qui concerne la figure du « pater familias ». En effet, si au cours des siècles précédents l’autorité paternelle était éminente aujourd’hui les comportements sont tout autre au sein du groupe de parenté. Les valeurs qui priment sont l’amour à l’égard des enfants et du conjoint, la compassion

 » « adversus hostem aeterna auctoritas . Contre un ennemi, le droit de propriété est toujours valide. » Table IV « cito necatus insignis ad deformitatem puer esto. Que soit tué l'enfant atteint d'une difformité manifeste. » « si pater filium ter venum duit, filius a patre liber esto. Si le père vend trois fois son fils, que le fils soit libéré de son père. » « illam suam suas res sibi habere iussit claves ademit, exegit. Qu'il ordonne à sa femme d'emmener ses frusques

d’établissement et de dissolution des liens familiaux. Au cours du temps il a profondément évolué dans son ensemble. Dans l’ancien régime le droit de la famille était celui hérité du droit romain, la famille était fondée sur le mariage sacramentel, et le pater familias seul détenteur de l’autorité. La Révolution va bouleverser ce droit avec notamment la laïcisation du mariage, et la mise en avant de l’égalité et de la liberté. Le Code Napoléon en voulant promouvoir la famille légitime, a restreint une partie