Le Desir Destructeur

de port, le temps n’a point de rive; Il coule, et nous passons!» (vers 35-36) prouve le côté imperturbable du temps. Le poète décrit, ainsi donc, son impuissance face au temps. D’une troisième part, ce même temps est décrit comme étant destructeur. Ainsi, la présence du champs lexical de la destruction comprenant des éléments comme «efface» (vers 43), «ne les rendra plus» (vers 44), «engloutissez» (vers 46), «brisais» (vers 10), vient exprimer la puissance du temps qui a tous les pouvoirs

le monologue du moine-artiste portait sur une révélation apocalyptique, supprimée lors de la deuxième rédaction. Il y a bien sûr une certaine naïveté dans cette profession de foi, qui refuse à l'oeuvre d'art toute ambiguïté. Ainsi, les effets destructeurs du fameux portrait ne sont pas considérés comme un risque inhérent à l'activité artistique, mais attribués à l'intervention d'une puissance maléfique extérieure : " un pareil désarroi n'est point un effet de l’art, car l'art respire la paix jusque

III. L’origine de la guerre : l.76 à 81 Première partie : L.62/65 : Dans la première phrase, La Bruyère insiste sur le caractère immémorial de la guerre avec “tous les siècles”, “l’Antiquité” et “toujours”. La guerre est personnifiée à un monstre destructeur. On repère une énumération de verbes hyperboliques à l’infinitif “remplir”, “épuiser”, “périr”. La guerre est décrite comme un fléau. Il met aussi en évidence les victimes de cette guerre avec “familles d’héritiers”, “veuves”, “orphelins”. L.66

va exploser, se détruire d'amour et d'espoir. J'ai l'impression que ma tête va exploser, que mon souffle va se couper. C'est à partir de ce moment-là que j'ai commencé à te détester, à te haïr. C'est ce qu'on appelle l'amour haineux, l'amour destructeur, l'amour sans amour. -Pourquoi tu mens quand je te demande si tu penses à lui ? -Pourquoi je mentirais ? C'est la vérité.. -Non non, tu peux peut être essayé de mentir aux autres, mais ça ne marche pas avec moi. Tes yeux me

L’Etre et le Néant Il arrive qu'un asservissement total de l'être aimé tue l'amour de l'amant. Le but est dépassé : l'amant se retrouve seul si l'aimé s'est transformé en automate. Ainsi l'amant ne désire-t-il pas posséder l'aimé comme on possède une chose : il réclame un type spécial d'appropriation. Il veut posséder une liberté comme liberté. Mais, d'autre part, il ne saurait se satisfaire de cette forme éminente de la liberté qu'est l'engagement libre et volontaire. Qui se contenterait d'un amour

la passion commune pour la sécurité et le bien-être en sont les deux caractéristiques les plus notables. De telles convictions ont leur revers : la valorisation des ambsecuritéersonneles et des jouissances matérielles debouchement sur un égoisme destructeur de tout lien social comme de toute autorité. Tocqueville remet en cause l'individualisme en société, les termes « isolément » et « seul » insiste bien sur cette notion. « L'individualisme est une expression récente qu'une idée nouvelle a fait naitre

pour une maison plus grande après sa promotion, elle réplique qu’elle préfèrerait avoir un 2 écran plasma « beaucoup plus grand » que celui qu’ils possèdent actuellement. Ceci nous démontre que l’usage de ces technologies, continue à créer un désir sans cesse grandissant ; ce qui accentue à la tendance de l’Homme à n’être jamais satisfait. Adonnée à des séries télé dépourvues de sens, Mildred se sépare de la réalité et ignore ses émotions véritables, ce qui la conduit à une tentative de suicide

beauté ni de ses aspirations. L’image flatteuse et l’avenir de jouissance que LH lui propose ne peuvent que séduire un tel héros, et trouver des résonances en lui. Dès lors, il s’abandonne à cette représentation de lui-mm qui devient l’objet de son désir (peu après notre passage, il déclare qu’il est amoureux de son portrait). Abandon métaphorisé par la fleur ds laquelle entre une abeille qui la fait « frissonner » et lui imprime par ses mvts un doux balancement (l 130-131). II La philosophie de LH

moi mon plus precieux desir, sinon il me faudra fatalement mourir. ici l’amour est caractérisé par la douleur, une douleur curable seulement par la source (Cameron 62). L’amour est comme la mort et la vie, il n’y a pas quelque chose entre les deux. Elle concentre sur la douleur et angoisse cause par l’amour dans ce sonnet. Elle veut éliminer la douleur d’amour, mais à la fin, elle avoue qu’elle ne peut pas vivre sans le désir qui cause la douleur. Sans le sentiment de désir on ne pourrait pas connaître

cache cette sacralisation du travail ? Le philosophe affirme d’un ton ferme que le travail pénible et incessant tient l’individu prisonnier et l’aliène. Il dit aussi que ce travail occupent tellement l’homme qu’il n’a pas le temps pour réfléchir, désirer et être libre ; c’est-à-dire qu’il conditionne l’individu et l’oblige à penser collectivement. Il rétorque également que le travail pénible épuise la force nerveuse. Nietzsche s’attachera tout d’abord à désigner ce qu’on entend par la « glorification