Le Contrat Social Hobbes Locke Rousseau

d'un auteur antique, "associer les intérêts des citoyens et les maintenir sous une même justice". Pour leur seule fonction d'organisation sociale, les lois vaudraient d'être respectées en ce qu'elles évitent la dissolution de la Cité que ne manquerait pas d'entraîner le mouvement incontrôlé des passions individuelles. Mais ce but élevé d'unité et d'ordre social, présent dès les origines, est loin d'expliquer à lui seul l'obéissance due aux lois. Qu'on leur attribue une origine sacrée ou qu'elles apparaissent

alors à une réformation qui est la mise en œuvre de la correction d'une évolution négative, mais au fil des siècles la situation se dégrade et la mission du roi était de remettre les choses en état. Par la suite, la conception de la loi change et Hobbes dans « Le Léviathan » oppose le droit à la loi, car le droit est une liberté alors que la loi est un commandement qui oblige à agir. L'individu doit se soumettre à la loi. Suarez vient dire que la loi éclairait, guidait les Hommes vers l'harmonie

selon Hobbes. C’est donc l’ensemble des pouvoirs dont dispose l’Etat, on peut alors la répartir entre diverses autorités, que le peuple a choisi. Ainsi on est dans le cas de la souveraineté populaire, chaque résidants sur le territoire français est détenteur à part égal de la souveraineté, mais il ne peut l’exercer seul de fait il le remet entre les mains d’Hommes, mais « le peuple se réserve toujours le pouvoir souverain d’abolir le gouvernement ou de le changer » comme l’explique J. Locke. Toute

galité parmi les hommes (1755) Rousseau Courts faits sur Rousseau Né en 1712 à Genève, sa mère mourut à la naissance. Il est issu d’une famille d’origine française et fut élevé dans la tradition protestante. Après avoir pris goût à la lecture et une fois à Paris, il se lia avec DIDEROT et collabora à l’ENCYCLOPEDIE. Il écrivit une thèse paradoxale soutenue dans le DISCOURS SUR LES SCIENCES ET LES ARTS (1750), puis le DISCOURS SUR L’ORIGINE DE L ’INEGALITE en 1755. Rousseau rejeta les raffinements de

I. L’empirisme anglo-saxon : John LOCKE (1632-1704) L’EMPIRISME Philosophie empiriste = philosophie qui place l’origine de la connaissance dans l’expérience. Ce courant philosophique reprend une notion (l’expérience) et lui accorde depuis la fin de la Renaissance une fonction particulière dans l’économie de la pensée. La connaissance est en effet envisagée en tant que telle, sans liaison forte avec une ontologie, une étude de l’être en tant qu’être. Est qualifié d’empirique : ce

la constitution c’est la norme supreme qui régit l’exercice du pouvoir politique de l’ETAT lois fondamentale qui deviennent synonyme de la constitution . Pourquoi a ton besoin d’une constitituion Pour eviter lanarchie c’est l’idée du contrat social de rousseau , deuxieme raison pour etre libre la liberté c’est le droit de faire tous ce que les lois permettent de MONTESQUIEU , on a donner un peu de notre liberté Les differences entre droit constitt et science po Le droit constitutionnel s’interesse

l’amitié et la justice. Epicure, Lettre à Ménécée. Epictète, Manuel. Sénèque, De la tranquillité de l’âme ; De la brièveté de la vie. Machiavel : Le Prince. Descartes : Discours de la méthode ; Méditations métaphysiques ; Correspondance avec Elisabeth. Hobbes : Léviathan ; Le citoyen. Pascal : Pensées : une défense de la religion chrétienne qui jette une lumière philosophique sur tous les aspects de la condition humaine. De l’esprit géométrique ; Entretien avec M. de Sacy : deux textes brefs et fondamentaux

Révolution va sacraliser la Loi = Religion = Arche sainte. La loi est sacrée et représente la vérité ; les législateurs révèlent la vérité. §1 – La majesté de la Loi A) La loi, acte de commandement Le législateur ordonne, commande ou interdit. Hobbes : la loi contraint, limite la Liberté. C’est un ordre, non un conseil. Mais il envisage une liberté contractuelle, une absence de la loi dans le choix de la résidence, éducation des enfants ou choix du métier. La loi implique une sanction : nullité

légalité ou de ce qui est bon et moral ? Ceci ne dépend -il pas des différents points de vue entre les souverains et ceux qui sont gouvernés ? De plus les citoyens n’ont-ils pas eux aussi, selon différents facteurs comme leur environnement, niveau social ou encore leurs expériences, des visions différentes de la justice ? Alors comment savoir si un jugement, ou une sanction et juste, et si un crime ou un délit ne l’est pas ? Existe-t-il une justice universelle possible ? Ces questions semblent avoir

la pensée philosophique. Le XVIIIème siècle, dit siècle des Lumières, est pour la France un siècle marqué par plusieurs crises de tous genres : économique, sociale, financière, morale, et politique. Des idées nouvelles se diffusent partout dans les clubs, les salons, les sociétés littéraires, les cafés. Les philosophes tels que Rousseau, Montesquieu, Voltaire ou Descartes sont lus et leur nouvelle façon de penser le Monde, l'Homme et la connaissance se propage dans l'élite bourgeoise. C'est aussi