Le Combat Homérique

L'Odysée s'ouvre sur l'invocation des Muses. => Inspiration divine du poète le transformant en voyant Le poète reçois directement le chant des muses. Il va être l'intermédiaire entre les hommes et les Muses: c'est son rôle. On parle d'adjectif Homérique: polu métisse (l'homme aux mille tours) C'est l'aventure de l'inventif: référence à la guerre de Troie; Homère y a souffert et il en revient seul. Ulysse invente le cheval de Troie. C'est un héros capable d'établir des stratagèmes. => un poète

Ce récit fictif a pour but de présenter d’une manière indirecte une vérité morale et instructive en provoquant une émotion chez le lecteur. La fable de La Fontaine évoque une querelle de basse-cour en faisant référence à  la mythologie antique. Le combat qui oppose les deux coqs fait l’objet d’une narration parodique et burlesque dont le fabuliste nous invite à tirer une leçon. Le burlesque consiste à transformer l’épopée antique en une vulgaire querelle de poulailler. L’auteur utilise par ailleurs

fin du VIII eme siècle avant Jésus Christ. Originaire de Chios, il était représenté comme un vieil homme aveugle voyageant de ville en ville en déclamant ses vers. À part L'Illiade et l'Odyssée, on lui a attribué d'autre œuvres comme les Hymnes homériques, l'Epigramme, la Batrachomyomachie et le Margitès. IV/ La guerre de Troie : 1-la véritable guerre de Troie : guerre légendaire entre les Grecs et la cité de Troie, en Asie mineure. L'archéologie montre que la ville a été détruite par un incendie

sorciers grecs : pratiques ésotérique en marge de la religion officielle exemple de pratique : charme d'amour, et de haine, manuel d'envoutement, amulettes en tout genre, recours au spectre de condamnés à mort, de suicidés, de soldats tués au combat, lamelle d'or pythagoricienne mis dans les cercueils servant de "carte routière" aux defunts... les sorciers sont souvent issus des exclus du corps social : femme, esclave, adolescents.. ils sont tolérés jusqu'à ce qu'ils aient trop d'influence

Les jeunes Spartiates ne doivent plus rechercher, comme aux siècles antérieurs, leur gloire personnelle (idéal homérique), mais la gloire collective, la victoire de la cité. Le poète Tyrtée symbolise bien cette nouvelle éthique : « il est beau de mourir, au premier rang, en brave qui combat pour la patrie. » L’éducation archaïque conserve néanmoins des traits de l’éducation homérique : l’athlétisme et les sports hippiques conservent une grande importance. Aux Jeux Olympiques, de 720 à 576, sur

Correspond au combat d'un homme ou d'un groupe confrontés à un défi exceptionnel qui les poussent à se dépasser. * L'épopée: long récit, le plus souvent en vers et destiné à être lu à haute voix devant une communauté pour narrer les aventures extraordinaires de personnages hors du commun, héros ou dieux; un grossissement de la réalité, une idée d'éloge... * Procédés: amplifications, champ lexical de combat, symboles, symétrie et opposition, gradation, énumération, hyperbole, épithète homérique.

ou encore qu'elle suivit Paris, car la déesse Aphrodite lui avait donné les traits de Ménélas. Le mariage s'accomplit dans île de Cranae ou à Salamine, et l'épouse infidèle arriva après une longue navigation, au palais de Priam. Tel est le récit homérique. Mais ici encore il existe de nombreuses variantes. Au lieu de faire errer les amants sur les mers, les poètes cypriotes les faisaient arriver en trois jours de Sparte à Ilion. La tradition générale adoptée par les poètes qui n'appartiennent pas

Arès, Hébè, IlithyeZeus + Métis : AthénaZeus + Léto : Apollon, ArtémisZeus + Maia : HermèsZeus + Alcèmene : HéraclèsZeus + Sémélè : DionysosZeus + Déméter : PerséphoneEt beaucoup d'autresThème de la gigantomachie : représenter les combats des dieux(métaphore du combat de la victoire de la civilisation sur les forces obscurs)Arès : dieu de la guerre au sens négatif, au sens de la colère, du sang versé et des horreurs - il est assez peu apprécié et peu représentéAthéna :

Manuscrit français 99, folio 143 Combat de Tristan et Palamède Le manuscrit qui présente le combat de Tristan et Palamède a comme source d’inspiration le Tristan en prose (XIIIe siècle) qui, pour la première fois, relie l’histoire de Tristan au cycle arthurien. Le personnage Palamède apparaît, d’ailleurs, dans le Tristan en prose, étant repris dans le cycle Post-Vulgate et, plus tard, dans la variante de Malory, La Morte d’Arthur. Toutefois, le Palamède médiéval, figure de Sarrasin christianisé

Troie : il fut gravement blessé par Diomède, mais sa mère Aphrodite le sauva. Elle fut blessé par Diomède à son tour et s'enfuit sur le Mont Olympe. Apollon dissimula Enée dans un nuage et le transporta à Pergame où Artémis le soigna. De retour au combat, Enée s'illustre comme l'un des meilleurs guerriers troyens, il abat notamment Orsiloque, Créthon, Aphareus, Jase et Médon. En passe d'être blessé par Achille, il fut à nouveau sauvé par un dieu, Poséidon. A la mort d'Hector, il devient le principal