La Réforme Grégorienne

ici juridiques pour se référer au jus gentium (le Droit des gens, universel), fondé sur des valeurs philosophiques. De nombreux romains veulent acquérir la citoyenneté (voies d'accès insuffisantes), ce qui mène à une impasse au III° AC, d'où la réforme de la citoyenneté de 212 par l'empereur Caracalla : « L'empereur donne à tous les pérégrins [les non citoyens romains] qui sont sur terre le Droit de la citoyenneté romaine, tout en conservant le Droit des cités, à l'exception des deditices [non

médiation de l'Église entre Dieu et les hommes, les reliques, les sacrements, critiquent le clergé pour sa richesse. Les critiques contre l'Église vont parfois très loin et entraîne une opposition vive envers les institutions chrétiennes. La réforme grégorienne permet de renforcer le clergé et de conforter l'autorité du pape sur les rois et les empereurs. Le recours à l'Inquisition permet de réduire la contestation. Conclusion Problématique En quoi le christianisme est-il au centre de la société médiévale

la société est devenue impitoyable et invivable. Dès l’An Mil l’histoire qui s’étiolait, redémarrait. La vie terrestre commençait à être vue comme le début du chemin vers le Dieu. Ainsi la carotte était le purgatoire, qui est nait avec la reforme grégorienne. Quant à l’usurier, avec l’apparition du purgatoire sa situation pitoyable est améliorée. Il y avait encore quelques circonstances favorables aux usuriers, notamment la modération dans sa pratique et l’apparition de nouvelles valeurs dans

au moins 10 hommes sages pour l’examiner. Et la réponse donnée par ces hommes est mise par écrit donc elle peut servir ultérieurement si le cas se présente à nouveau. Ce système de l’enquête par turbe persiste pendant 4 siècles car il ne sera pas réformé avant 1667. Le caractère oral de la coutume est donc un problème pour son application en justice mais c’est loin d’être le seul problème du système judiciaire entre le 11ème et le 15ème siècle. Le principal problème = son morcellement extrême.

(urbain) L'évêque est un entrepreneur, il a aussi une mission judiciaire (officialités). C/ Réformes et ordres monastiques Ordre de bénédictin de Cluny (Règle de St Benoit), prône la pauvreté, axé sur la prière. A partir du Xe s = culture monastique (bâtiments en vile onéreux, devoir des scriptoria, les monastères sont aussi des écoles). A partir du XIIe s = réforme disciplinaire, réforme Grégorienne (Grégoire 7) II/ L' Église conquérante et dynamique Comment l'Église participe t-elle

peste, qui durera 15 ans. En 284, s’arrête l’incessante instabilité institutionnelle : un officier dalmate devient empereur. Cet officier est Dioclétien. Il entretient de grandes réformes pour faire face aux menaces d’effondrement de l’empire. Des réformes monétaires pour stabiliser le cours de la monnaie, des réformes politiques pour permettre à l’empire de faire face aux difficultés. 1- La tétrarchie En 285, Maximien reçoit le titre de César. En plus de ce titre, il reçoit pour responsabilité

dates des fêtes religieuses. Basés sur des observations astronomiques très anciennes. On observe un décalage entre ce qui est prévu et ce qui se produit (entre les dates du calendrier et le mouvement réel de la planète). Reforme, passage du calendrier Julien au calendrier Grégorien. C’est une question astronomique, ça se base sur la révolution astronomique, mais aussi religieuse. Le Pape décide de la modification du calendrier. Ce sont les principaux Etats catholiques qui modifient le calendrier et

gouvernements civils). Le pape, successeur de l’apôtre Pierre, 1er évêque de Rome, se perçoit comme le seul chef de l’Église, suite au déclin des patriarches de Jérusalem, Antioche et Alexandrie, terres conquises par les musulmans. Au XIe siècle, la réforme grégorienne (pape Grégoire VII) vise à améliorer le niveau du clergé. Lutte contre le développement du Nicolaïsme (concubinage des prêtres) et la simonie (achat d’une charge ecclésiastique). II- Être chrétien en Occident (XIe-XIIIe). A) L’Église est

comparée à la gigantesque et impressionnante cathédrale de Marseille avec ses hautes tours, symbole de puissance, que d’ailleurs, certaines villes comme Bruges va plagier en installant un Beffroi en haut de son hôtel de ville. Après, suite aux réformes grégoriennes, le clergé est séparé en deux parties. Une première appelée le Clergé Séculier, il est composé au plus haut d’un archevêque, homme élu par le pape, en charge d’une région (comme par exemple, l’archevêque de Aix-Arles est aujourd’hui mon seigneur

la fin du IIIème siècle, la création juridique, est sous la main de l’empereur. La consécration du droit de l’empereur Fin du IIIème siècle, changement institutionnelle important, passage du principat au dominat. Dioclésien met. En place une réforme politique, qui consacre le changement de nature du pouvoir impériale, l’empereur est plus considéré comme princeps, il est désormais le dominus, le maître le seigneur à la tête de l’empire, désormais l’empire s’étend tout autour de la Méditerranée