La Méchanceté

c’est toujours l’autre. Introduction : L’autre se caractérise de manière évidente comme l’individu différent de nous, l’étranger. La méchanceté, elle, est définit par un penchant qu’à l’homme à faire le mal, c’est-à dire à s’opposer, plus ou moins fortement, à ce qui lui est contradictoire. Ces deux notions semblent alors très liées : en effet, la méchanceté est dépendante de la société, sans l’autre, comment pourrais-je ressentir le mal ? Ainsi on remarque que l’homme à tendance à accuser constamment

Lorsqu’il agit, l’homme commet parfois des actes qui étonnent par leur méchanceté comme ces soldats d’Amérique latine qui fracassaient la tête des bébés indiens dans les villages qu’ils attaquaient au début des années 1980. Et pourtant, une vieille tradition dont témoigne une maxime selon laquelle « Nul n’est volontairement pervers » qu’Aristote cite pour la critiquer dans l’Éthique à Nicomaque, veut que la méchanceté ne soit pas volontaire. Il faut comprendre par là que même si l’action dépend

instincts. Les hommes sont de nature mauvaise et pour qu’ils fassent preuve de bonté, ils doivent y être contraint par la force, la ruse, les lois ou bien la pression sociale. En effet, si nos sociétés n’interdisaient pas les actes de violence et de méchanceté, il y aurait évidemment beaucoup de ces actes dans nos sociétés, puisque malgré l’usage de la force et de lois contres ses actes, ils se produisent tout de même. En plus, si les humains vivent en société, c’est simplement par peur et par désir de

affirme l’inverse d’ Épictète en écrivant dans une lettre à Landois en 1756 que « le malfaisant est un homme qu'il faut détruire et non punir » On voit donc que ce thème a été tout au long de l’histoire sujet à débat. Ainsi Épictète présente la méchanceté comme l’erreur d’un humain étant perdu sa vie, ne pouvant distinguer « le bien du mal ». De plus, Épictète explique qu’avant de faire des reproches il est important de s’assurer de ne pas être dans l’erreur également. Le stoïcien renchérit

cauchemar, je ne séparais plus qu'avec difficulté les menaces qu'il fallait prendre au sérieux, du chantage gratuit. — (Henri Alleg, La Question, 1957) Supposition gratuite : Qui n’a aucun motif sérieux. Insulte gratuite, méchanceté gratuite etc. Antonymes payant Étymologie : Du latin gratuitus. Adjectif Que l’on donne sans y être tenu. Consultations gratuites. Leçons gratuites. Enseignement gratuit. Cette libéralité

la caverne auraient eu une éducation égale au montreur de marionnette, ils ne se seraient point poser de questions lorsqu’il auraient vu pour la première fois les objets hors de la caverne. Par contre, l’éducation ne pourraient pas régler la méchanceté qui est l’un des maux de l’humanité parce que plus les gens auraient de l’éducation plus ils verraient les gens sous leur vrai nature ce qui créait des conflits que l’éducation ne pourraient pas régler. Comme le dit Platon dans son allégorie de

paragraphe, trop profond pour qu'elle ne puisse retenir ses larmes qui finissent par couler le long de ses joues dans le paragraphe suivant. Ce sont les dernières lignes qui sonnent comme un glas et mettent un point final éclatant au mépris et à la méchanceté humaine. Le texte s'ouvre sur la description d'un déjeuner. La précarité et la hâte de ces personnages à "dévorer leur repas fait entrer le lecteur dans une atmosphère étrange et ces personnages ne lui sont pas d'emblée sympathiques mais grossiers

politique en s’imposant comme une forme de contre-pouvoir, par l’expression de la voix du peuple. Mais ce contre-pouvoir, s’il s’exerce souvent en vue de corriger et de dénoncer, s’attaque parfois aux défauts humains en utilisant la moquerie, voire la méchanceté. Ainsi, nous sommes amenés à nous demander : quelle est la fonction socio-politique du bouffon et comment joue-t-il un rôle primordial dans la société ? Pour répondre à cette problématique, nous verrons dans un premier temps quelles sont les

comportements, au départ, pourraient se traduire en des comportements méchants ultérieurement et cela pose la question de la responsabilité devant ces actes de méchanceté. Le problème de la responsabilité n’est alors pas de trouver un coupable, mais bien de comprendre les motifs par lesquels l’homme devient peu à peu méchant. Cet état de méchanceté découlerait d’abord d’un choix effectué par l’individu et par conséquent, ce dernier serait responsable, puisque son amour propre prendrait le dessus et prendrait

(avilissement + dégradation) ne peut laver, absoudre. S’il n’y a plus d’essence du juif, il n’y a plus de crime, il disparaît avec l’être => « insulte purement gratuite. » - «  l’extermination des juifs est le produit de la méchanceté pure et de la méchanceté ontologique, de la méchanceté la plus diabolique et la plus gratuite que l’Histoire ait connue ». (p.25) ← Crime sans motif, DONC « métaphysique » qui fait des bourreaux des « monstres » => « Lorsqu’un acte nie l’essence de l’homme en tant qu’homme