La Méchanceté

réflexes humains, il se lève en voyant le gamin arriver & ne commence qu’à brouter lorsqu’il s’en va. Il sent la méchanceté du garçon (« la bête inquiète le regardait »).Donc éprouve des sentiments .Auparavant, c’est un cheval qui a été élevé, chose rare. Sa faiblesse et sa vieillesse le rend extrêmement émouvant :il ne peut se défendre contre le « goujat » dont il est conscient de la méchanceté .La description de ses souffrances sont atroces . A la fin , on a l’impression que le cheval donne vie à la

Mal, car il y a 'haine' dans son nom => connotation - certaine méchanceté sans merci : souligné par l'Aigle - attribut de Tiphaine caractérisés par trois verbes juxtaposés au présent : cela donne de la rapidité et insiste sur la violence de Tiphaine - comparaison avec un loup : à cause du côté bestial avec une certaine cruauté gratuite et perverse - action dégradante pour l'adversaire : action symbolique - marque de méchanceté - comparaison avec un monstre - adversaire = un enfant innocent

qui l’animalisent : « quadrupède »v25, « 3 pattes »v25 * Comparaison a une démarche lourde, pat trainant : « comme s’il écrasait… »V27 * Agressivité et méchanceté du personnage : * Comparaison avec « Judas »v20 traitre dans la bible * Métaphore de la lumière pour qualifier la méchanceté de son regard INTENSITE * Métaphore « aiguisait »v18 + comparaison de la barbe à une « épée »v19 DANGER * « prunelle trempée dans le fiel »v17-18

Cependant le philosophe rappelle bien que ce dernier « a pour fonction d’intimider en humiliant ». 3- Au fond, il repose sur de la méchanceté Doc 2 : La Bruyère évoque le fanfaron « mauvais plaisant qui domine et qui est comme le héros de la société». Celui-ci donne le ton en se choisissant des boucs émissaires pour exercer son rire. « Cela va jusques au mépris («). » La méchanceté est montrée comme un trait proprement humain, répandu dans les « diverses sociétés » composant la ville. Doc 1 : Bergson considère

motivations et des fondements négatifs. Elle est avant tout fondée sur la violence : - abondant recours au champ lexical de la violence : nuire/ audacieux bien armés/ tués/ les armes/ les complices de ses cruautés/ rapines/ méchant/ méchanceté/ fassent tant de mal - cette violence est donnée à entendre par certaines allitérations : en [P] , en dentales et en [s] Il y règne une grande insécurité, notamment pour le tyran : - ses gardes ne garantissent pas sa sécurité

Mal, car il y a 'haine' dans son nom => connotation - certaine méchanceté sans merci : souligné par l'Aigle - attribut de Tiphaine caractérisés par trois verbes juxtaposés au présent : cela donne de la rapidité et insiste sur la violence de Tiphaine - comparaison avec un loup : à cause du côté bestial avec une certaine cruauté gratuite et perverse - action dégradante pour l'adversaire : action symbolique - marque de méchanceté - comparaison avec un monstre - adversaire = un enfant innocent

soutient l'idée de la bonté naturelle de l'homme. Il ne nit pas que l'homme peut être méchant, cependant, il maintient le fait que la méchanceté humaine est le produit historique des sociétés inégalitaires. En bref, Marx considère que si l'homme ne travaillait plus seulement que pour lui même, mais bien en communauté et vers le même but, il n'y aurait plus de méchanceté. La liberté n'est pas une propriété naturelle, mais l'objet d'une conquête[9]. En fait, Marx poursuit l'idée de Rousseau qui croit

le début d’une société, le début de la relation entre les hommes, le début de la moralité, le début des idées et des comparaisons et le début de la justice imposée par l’homme. 6.-Quel est le lien entre la richesse et la méchanceté ? Le lien entre la richesse et la méchanceté est l’inégalité des biens et l’injustice. 7.-Comment la comparaison entre les êtres humains se développe dans la société civile ? Les êtres humains dans la société civile cherchent à se comparer les uns entres

Mal, car il y a 'haine' dans son nom => connotation - Certaine méchanceté sans merci : soulignée par l'Aigle - Attributs de Tiphaine caractérisés par trois verbes juxtaposés au présent : cela donne de la rapidité et insiste sur la violence de Tiphaine. - Comparaison avec un loup : à cause du côté bestial avec une certaine cruauté gratuite et perverse. - Action dégradante pour l'adversaire : action symbolique - Marque de méchanceté - Comparaison avec un monstre - Adversaire = un enfant innocent

Dissertation polémique sur le rire qui s'interroge sur les limites du rire et se demande à quel moment il devient un acte de mechanceté. Ecrit en 2008; 1150 mots; 0 sources; 3,95 € Résumé: Le rire joue sur des paradoxes, il peut blesser ou guérir, il peut offenser ou séduire, il peut nous séparer ou nous réunir, il peut être cause de disputes ou d'amitié, il peut être apaisant ou irritant … Le rire bien sûr, ce couteau à double tranchant ! En premier lieu, cette étude expoe le point de vue