La Chose d'un autre monde

l’autre personne comme « autre ». Il se passe là quelque chose qui n’a aucun rapport avec la vision des autres parties de son corps. De fait regarder quelqu’un, ce n’est pas fixer ses pieds. Nous portons spontanément nos yeux vers son visage. Pourquoi après tout ? C’est une évidence du protocole de la rencontre. Par le terme « éthique », Levinas veut dire que le rapport à l’autre personne n’est pas une rencontre physique dés que nous rencontrons son visage. Quelque chose de cette expérience nous

Nous allons voir si cet art nous éloigne de la réalité. Tout d'abord en définissant le terme s'éloigner qui veut dire en d'autres thermes se détourner d'un but par exemple et peut aussi se définir par la prise de recul sur une chose. On peut ainsi se demander si l'art nous éloigne du réel, mais nous pouvons aussi nous demander si l'art n'est-il pas plus réel que la réalité qui est. Et enfin si l'art est donc une forme de

qui serait complètement expurgée de tout ce qui ne peut être qu'empirique et qui appartient à l'Anthropologie? Car qu'il doive y avoir une telle philosophie, cela résulte en toute évidence de l'idée commune du devoir et des lois morales, Tout le monde doit convenir que pour avoir une valeur morale, c'est-à-dire pour fonder une obligation, il faut qu'une loi implique en elle une absolue nécessité, qu'il faut que ce commandement : “ Tu ne dois pas mentir ", ne se trouve pas valable pour les hommes

pure qui serait complètement expurgée de tout ce qui ne peut être qu'empirique et qui appartient à l'Anthropologie? Car qu'il doive y avoir une telle philosophie, cela résulte en toute évidence de l'idée commune du devoir et des lois morales, Tout le monde doit convenir que pour avoir une valeur morale, c'est-à-dire pour fonder une obligation, il faut qu'une loi implique en elle une absolue nécessité, qu'il faut que ce commandement : “ Tu ne dois pas mentir ", ne se trouve pas valable pour les hommes

incongrus les uns que les autres, ou bien l’amener à oublier la morosité de son quotidien. En effet, la littérature, à travers ses différents genres comme le théâtre, le roman, le conte, la poésie a pour but de favoriser l’évasion du lecteur dans un autre monde : le public voyage, se met à rêver. En effet, cette diversion est notamment mise en valeur dans le conte philosophique de Voltaire s’intitulant Candide ou l’Optimisme. Voltaire met en scène un personnage naïf sous le nom de Candide, un jeune

Sujet :      La réflexion philosophique nous détourne-t-elle du monde ?   | | Il est fréquent d’entendre que la philosophie nous détache du monde. Aristophane, dans les premiers temps de cette doctrine, se moquait bien de Socrate, en le caricaturant dans les nuages, et donc en démontrant qu’il était mentalement

discursive, s'appellent dans la langue de la philosophie ancienne δοξάζειν et λογίζεσθαι. La δόξα des Grecs est à peu près le jugement des modernes, sous ce rappot qu'elle reste en deçà du raisonnement; mais elle n'a rien à voir avec ces jugemenτs d'un tout autre ordre qui, loin d'être au-dessous de la portée du raisonnement, le surpassent et atteignent la vérité par une intuition à la fois immédiate et absolue. Ce qui sépare essentiellement cette dernière classe de jugemenτs de la première, c'est qu'ils

dans le monde intellectuel de l’Europe vers la fin du 16e siècle, un philosophe nommé René Descartes tenta d’ériger une méthode pour contrer ce manque de clarté intellectuel. Descartes érigea donc un argument nommé «Cogito Ergo Sum» qui veut plus simplement dire : Je pense donc, je suis. Cela représente la conscience que l’humain a de lui-même. Pour commencer, Descartes voulu partir sur des bases nouvelles. Il feignit donc de douter de tout ce qui nous entoure pour bâtir quelque chose de véritable

LA VÉRITÉ | | Introduction : la vérité apparaît comme un idéal pour bien des domaines, ainsi, si l’on revient sur la notion de philosophie c’est l’amour du savoir or savoir quelque chose c’est être sur qu’on détient à son sujet la vérité. Le philosophe est donc un amoureux de la vérité, c’est elle par exemple que Socrate poursuit sans relâche. De plus, avec la notion d’amour, on comprend que l’homme prend plaisir à chercher la vérité. Contrairement à ce qu’on pense en général, la vérité n’est

conscient qui peut se déterminer. Elle touche la possibilité de l’action et de sa coordination : comment doit-on concevoir cette liberté ? Être libre revient-il à n’obéir qu’à soi-même ? La liberté n’engage-t-elle que soi ou est-elle déterminée par autre chose qui nous serait extérieur ? A. Si tout d’abord la liberté n’apparaît que subjectivement, en moi, peut-on la limiter au seul sujet ? On reste dans l’autosuffisance solipsiste, le repli dans le silence intérieur. Si, par contre, la liberté est