La Chose d'un autre monde

L'art ne dévoile que les sentiments de l'artiste qui ne sont pas reçus comme des vérités, que l'art ne présente que des copies de la réalité et des illusions qui nous détournent du Vrai III/ L'art peut également voiler la vérité pour en dévoiler une autre en prenant l'exemple de la propagande, de l'impressionnisme et pour finir celui des biopics Extrait du document: L'art c'est l'expression de l'artiste, c'est une extériorisation de ce qu'est l'artiste. Puisque l'artiste existe, il est vrai et

rapport aux choses. Cette expérience implique la conscience, l'affectivité entre autre. Faire une expérience c'est être transformé par quelque chose , au contact et à l'altérité. Dans une expérience il y a quelque choses qui se donne à nous. On reçoit, il y a donc une notion de réceptivité. Malraux se demandait qu'était une existence pleine. Il estimait que c'était transformer une expérience. Ce qu'on appel le monde est extérieur à nous mais commun à tous. Ce n'est pas simplement un rêve subjectif

t'emmène à l'hôpital ou au cimetière. C'est souvent causé par la politique des pays qui veulent être de plus en plus puissants, avoir de plus en plus de terre, montrer qu'ils sont les plus forts. Et moi, je me demande si ce n'est pas un peu la même chose dans les bagarres. Moi, je pense qu'il y aura toujours des guerres car il y aura toujours des hommes qui ne seront pas d'accord entre-eux et qui voudront imposer leurs idées aux autres, qui ne penseront qu'à ça : gagner, être les plus forts. Et c'est

------------------------------------------------- Les enjeux de la notion – une première définition Si l’on désirait placer en exergue une question essentielle à propos de l’existence, sans aucun doute devrait-ce être la suivante, posée par Leibniz : « Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? ». Néanmoins, cette question n’est pas sans présupposés majeurs ; elle naît dans le contexte chrétien du problème de la création et sous-entend que l’existence est supérieure à la non-existence, qu’elle est une « perfection ». De

son humanité, sa culture d’un certain régime symbolique, ou signifiant. Il cite Beaudelaire, pour expliquer que nous vivons moins parmi les choses que parmi une «forêt de symboles» et ces symboles nous donne une impression de monde familier en interprétant entre nous et le monde un ordre de signes. Pour lui, «l’empire des signes double notre monde naturel». L’empire des signes c’est à dire la sémiosphère, qui englobe la culture en général, contient la biosphère ( nature, monde animal ...). De plus avec

« Pensez-vous que les poètes doivent témoigner, dans leurs œuvres, d’une réalité autre, d’un monde qui n’est pas celui, largement identifiable, du lecteur ? » E.Delapillière La poésie est l’un des aspects de la littérature qui reste un domaine vaste. Il est difficile de lui trouver une définition propre à elle, car même en remontant à l’étymologie de celle-ci, on apprend que la poésie signifie, en grec antique, tout type de création, manuelle ou intellectuelle. La poésie a pris différentes formes

esthétique.  3. Ensemble d'oeuvres caractéristiques d'une époque, d'un pays, d'un style.  4. Ensemble de connaissances, de techniques nécessaires pour maîtriser une pratique donnée.  5. Ce qui est l'oeuvre de l'homme, ce qui est artificiel.  6. Manière de faire quelque chose, talent.""  Brève analyse: En premier lieu, "art" renvoie au grec techné, qui signifie "savoir-faire", "technique"; l'art renvoie ainsi à la "production" de quelque chose (="toute forme d'activité manifestant ou impliquant une maîtrise

Intro : La conscience comme distance au monde et à soi-même L’homme, dans la mesure où il est conscient, n’est plus simplement dans le monde, comme une simple chose, un simple vivant. Il est au contraire devant le monde, et le monde se constitue pour lui comme monde à connaitre, à comprendre, à juger ou à transformer. Le monde est ainsi mis à distance et tout l’effort de penser ou d’agir naît de cette expérience originelle de la séparation de l’homme et du monde, instaurée par la conscience (texte

Commentaire composé semi-rédigé : Consacré à l'œuvre « Le monde comme volonté et comme représentation » de Schopenhauer. L'esprit philosophique (2nde partie, chap. 17) Schopenhauer, Le monde comme volonté et comme représentation : l'esprit philosophique Le texte du commentaire : « Avoir l'esprit philosophique, c'est être capable de s'étonner des événements habituels et des choses de tous les jours, de se poser comme sujet d'étude ce qu'il y a de plus général et de plus ordinaire ; tandis que

l’événement e, qu'est-ce qui fait sa vérité ? Car on se base certes sur nos sens pour reconnaître qu'un événement a lieu ou non (je vois avec mes sens que le soleil est levé), mais il semble que la vérité d'un événement soit d'une autre nature que celle des représentations sensibles. Autre problème que souligne Frege page 174 : si dire "il est vrai que e" est semblable à dire "e" au sens où la valeur de vérité n'a pas été modifiée ou ajoutée, où réside la vérité de cet événement, si ce n'est