Kant Impératif Hypothétique

II. 2. L’universalisation. : Les utilitaristes pensent qu’on peut déterminer les moyens d’atteindre le bonheur. Toutefois, est-ce vraiment le cas ? Peut-on s’assurer que le bonheur qu’on prétend atteindre ou procurer se réalisera ? Chez Kant, le concept de bonheur est indéterminé [Rappelez-vous] La conception selon laquelle agir moralement c’est agir selon des principes déterminés mais non pas agir selon les conséquences de nos actes s’appelle le « déontologisme

distinction entre état de nature et état civil mais cet état de nature hypothétique n’est alors qu’un concept opératoire, un instrument d’analyse méthodologique dans lequel serait l’homme si on lui retirait tout ce que la société lui a apporté. Il découvre ainsi la perfectibilité, qualité première de l’homme, qui fit rompre l’harmonie primitive avec la nature. 3. Y a-t-il une nature humaine ? L’ethnologie a repris cet outil hypothétique pour mieux analyser la variété des formes culturelles de l’homme

Selon l’éthique kantienne, l’avortement est un acte inacceptable, car elle est immorale. En effet, si nous prenons en exemple, une jeune femme qui a eu une grossesse non planifiée avec son ancien copain et qui a perdu contact avec lui désire avorter. Kant dirait que l’acte est injustifiable, peu importe la situation de la femme à cause du principe d’universalisation. Ce principe consiste à se poser la question suivante : puis-je vouloir que tous les humains agissent comme je projette de le faire? Si

Comme le proverbe « l’union fait la force » nous le prescrit, Kant va tenter l’établissement d’une forme d’union de tous les hommes, et même de tous les êtres raisonnables. Mais comment unir ces êtres si distincts les uns des autres ? Où leur trouver un point fondamentalement commun ? La réponse du philosophe allemand réside dans son système moral visant une universalité absolue dans sa nécessité, a priori dans sa conception. Emmanuel Kant vise donc à établir une morale valable pour tout être raisonnable

morale? Voir: http://www.philagora.net/philo-poche/devoir-kant.php Demandez-vous pourquoi on ne peut fonder la morale sur la simple utilité , sur un intérêt(impératif hypothétique). Insistez sur le rôle de la liberté pour qu'il y ait responsabilité. Voir aussi l'aide N°72. La morale a-t-elle sa place dans l'économie? II. Utiliser Kant. Voir la page: L'impératif catégorique Quel est le but de l'éducation? "Qu'est-ce qu'une éducation réussie ?" La République de PLATON, en particulier les

Protagoras dans Théétète de Platon). Par définition, une vérité est ce qui vaut pour tous, ce sur quoi tout le monde peut être d’accord. Le dialogue est pour Platon la forme par excellence de la philosophie. On ne peut pas philosopher seul. Citation de Kant : Penserions-nous beaucoup, et penserions-nous bien, si nous ne pensions pas pour ainsi dire en commun avec d’autres, qui nous font part de leurs pensées et auxquelles nous communiquons les nôtres ? ». Pour connaître le sujet de la connaissance, pour

seulement établir la justice et maintenir l’ordre au sein de la société. Le citoyen obéit aux lois sans aucune aliénation, nous l’avons compris, mais par «impératif hypothétique» selon Kant. C’est à dire qu’il obéit par intérêt uniquement, agissant par crainte de la punition, ou par amour de la récompense, ce sont les deux pôles du bâton et de la carotte. Kant, dans sa « Recherche de la paix perpétuelle» nous montre qu’e d’après lui, la meilleure des sociétés serait la « société des nations» où l’ordre juridique

consiste à se servir dans le raisonnement de ce que l'on cherche à prouver. Descartes a utilisé la logique pour prouver la logique. -Kant sur le fond. Kant va montrer que Dieu ne peut en aucun cas être un objet de preuve. Kant montre tout d'abord qu'il est faux de dire qu'il y a plus dans une chose qui existe que dans l'idée de cette chose (ex: billet de 10$). De plus Kant va montrer qu'on ne peut connaître que des choses dont on peut faire l'expérience sensible. Les autres peuvent être pensées, on peut

infortunes, angoissés par l'incertitude de l'avenir, nous aspirons en effet tout naturellement à un état de sérénité de plénitude que tous nomment le bonheur : « Une prospérité constante, une vie satisfaite, un parfait contentement de son état » pour Kant[4] ; « une immense joie inébranlable et constante » qui apporte à l'âme « apaisement, accord, grandeur, alliée à la douceur » pour Sénèque, qui l'identifie au souverain bien. Le souverain bien c'est-à-dire à la fois le bien suprême, celui qui n'est

après les animaux ne modifie pas sa constitution, il est naturel comme tout ce qui l’entoure ou du moins l’était. L'homme n'est pas entièrement un être naturel, car son essence dépasse toute naturalité possible, c’est la perspective kantienne. Selon Kant, l'homme appartient à deux mondes : l'un, déterminé, est celui des phénomènes ; l'autre, indéterminé, est celui des choses en soi. La nature, c'est l'ensemble des phénomènes qui s'offrent à notre pouvoir subjectif de représentation. Le sujet de cette