Kant Et Obéissance

Pour une solution: Il suffirait peut-être pour sortir du contradictoire de distinguer deux formes de liberté et deux formes du bonheur: - La liberté naturelle de faire tout ce qu'on veut si on le peut et la liberté morale comme autonomie, obéissance à la loi qu'on s'est prescrite. Toute loi donne la priorité à l'universel sur les appétits particuliers. - Si le bonheur désigne la jouissance, il est clair que la liberté morale ne produit rien de tel. Mais, si le bonheur est dans le sentiment

devoirs au sens d'obligations ; nous devons exécuter des ordres pour préserver le bien de l'humanité et notre liberté. L'Homme a une aptitude à la morale, mais n'étant pas pur esprit, il a à répondre à un impératif : celui de la loi morale. Cette obéissance à la loi morale est le seul moyen d'obéir par devoir, car la morale est l'horizon de devoir, au sens où un sujet qui accomplit son devoir est qualifié de moral, et vice-versa. La reconnaissance sociale d'une liberté et sa préservation ne peut donc

possibilités. Le but étant l’obtention de plus de pouvoir, et la norme en possédant un certain, à l’image de celui créé par la peur de la perte du rapport au collectif, puisque même le souhait de se démarquer se réalise par rapport à celui-ci. Ce que Kant appela « l’insociable sociabilité ». Laissant alors place à un cercle vertueux pour les uns possédant le pouvoir, ou vicieux pour les autres. Le pouvoir de la norme se manifestant en tant que repère, remède à la peur de l’inconnu. Puisque sinon, « où

causes des conséquences. LEIBNIZ : « rien n’est sans raison ». La Raison se base sur un enchaînement de questions, permettant aux idées de se lier afin de d’atteindre une vérité claire et qui ne puisse être contredite. Ce raisonnement a été défini par KANT, grâce aux questions fondamentales : * que puis-je connaitre ? (comment aller à la vérité & quelles en sont les limites) * que dois-je faire ? (mon devoir est mon devoir, et je dois faire mon devoir) * que suis en droit d’espérer ?

travail peut-être également de maniaire abstraite. Un travail, une réflexion. 3)Sur base du texte hominisation vs. Humanisation,présentez la différence entre ces deux notions.Expliquez ensuite le lien qui pourrait être fait entre les concepts de kant vus dans ce texte à ceux de bataille. L’Hominisation est le passage par l’évolution des grands singes à l’homme. (devenir homme = physique) L’humanisation, c’est à dire le devenir humain d’un point de vue éthique (devenir humain = morale) » De

marmite, un linge, des couverts, une miche de pain) en les plaçant sous une lumière qui en fait jaillir la singularité : ils sont uniques et irréductibles à ceux qu’on a coutume de voir. Parce qu’elle se situe par-delà tout concept ou idée générale (Kant), l’œuvre d’art nous apprend à percevoir ce qu’aucune éducation d’ordre intellectuel (savante) ou empirique (sensibilité ordinaire) nous eût appris. Daniel Arasse peut ainsi faire remarquer que les grandes œuvres se définissent par leur capacité à

n’est pas responsable de ses actes, si il ne les choisit pas, ils n’ont aucune moralité, si il n’agit que sous la contrainte, tous ses actes sont ‘temporaires’, et l’autorité fondée sur cette contrainte ne vaut rien. Ce qui se rapproche de a morale de Kant : pour être moral, un acte doit être effectué en connaissance de cause et dans le but de faire le bien : il n’y a aucune moralité dans un acte si celui qui l’accomplit n’a aucune liberté... Il n’y aurait donc aucune moralité à obéir pour l’esclave

parvenir à maitriser ses instincts. L’enfant , comme l’animal est esclave de ses instincts. Il lui faut apprendre, par exemple, le respect de la liberté d’autrui, par la maîtrise de ses instincts naturels. On devient libre par autodiscipline, par obéissance volontaire à une loi rationnelle, qu’on appelle autonomie. C’est le point de vue que défend Rousseau, lorsqu’il écrit : « L’obéissance à la loi que l’on s’est prescrite est liberté ». En effet, comme dit précédemment l’Homme qui a le choix est

comme contentement de soit viendrait de l'estime de soit établit par le sujet dans l'exercice de sa raison, dans la façon dont il suit les exigences de cette dernière, c'est pourquoi on parle d'un bonheur vertu car cette dernière est pensé comme obéissance a la raison (ce qui s'oppose évidement au désir). Il s'agit alors de savoir de qu'elle manière les deux versants de la raison conduise au bonheur. Bonheur et connaissance. Lié le bonheur à l'exercice de la raison dans une compréhension de

a pas d'harmonie préétablie entre les sujets, il n'en demeure pas moins qu'un ordre se met en place, une sorte d'orchestration subtile. Chacun est situé à une place et dispose des moyens inhérents à cette localisation dans la hiérarchie sociale. Obéissance à des codes qui ne sont pas perçus mais qui opèrent en profondeur : exemple du concept d'habitus en sociologie. Elias, Bourdieu. L'habitus = disposition acquise, d'origine sociale mais qui est effacée, le sujet croyant agir naturellement, spontanément