Jankelevitch

rigides, formulés dans des statuts. - (Traité de Sociologie, op. cit., t. 1, p. 207.) 4. Il était « obsédé par la sexualité ». R. Thurnwald, L'Esprit humain, trad. franç., Paris, 1953, p. 244. Cf. aussi les livres traduits par le docteur S. Jankélévitch : B. Malinowski, La Sexualité et sa Répression dans les sociétés primitives (Paris, 1932), et La Vie sexuelle des sauvages (Paris, 1930). 24 Les Argonautes du Pacifique occidental plutôt allergique au social n'est pas sans

vie bien remplie, ce qui explique l’absence d’icône symbolisant la mort. Psychologie et philosophie de la mort La mort, inéluctable finalité, est évocatrice de divers sentiments chez le genre humain. Comme l’a écrit le philosophe Vladimir Jankélévitch : « La mort nous fait douter de la raison d’être de l’être, et tôt ou tard chuchote à l’oreille de l’homme : À quoi bon? » En effet, pourquoi persister à vivre si tout ce qu’une personne construit en vient à disparaître fatalement de son univers

traduit par Dr. A. A. Brill, The Modern Library, New-York 1950, 477 p. - "Délires et rêves dans la "Gravida" de Jensen, coll. Idées, Gallimard 1949. - "Cinq psychanalyses, P.U.F. 1954, 422 p. - "Introduction à la psychanalyse, traduit par Dr. S. Jankélévitch, Payot 1966, 496 p. - "Névrose, psychose et perversion, P.U.F. 1978, 306 p. Girard René, La violence et le sacré, éd. Grasset 1972, 451 p. - "Des choses cachées depuis la fondation du monde, éd. Grasset et Fasquelle 1978, 492 p. Goncourt Edmond

traduit par Dr. A. A. Brill, The Modern Library, New-York 1950, 477 p. - "Délires et rêves dans la "Gravida" de Jensen, coll. Idées, Gallimard 1949. - "Cinq psychanalyses, P.U.F. 1954, 422 p. - "Introduction à la psychanalyse, traduit par Dr. S. Jankélévitch, Payot 1966, 496 p. - "Névrose, psychose et perversion, P.U.F. 1978, 306 p. Girard René, La violence et le sacré, éd. Grasset 1972, 451 p. - "Des choses cachées depuis la fondation du monde, éd. Grasset et Fasquelle 1978, 492 p. Goncourt Edmond

concilier les règles et buts de son domaine (y compris, pour une entreprise, l'épanouissement des salariés, le service des clients, l'efficacité et la rentabilité) avec les directives de sa conscience. Or, le «monisme du paradis et de l'enfer» (W. Jankélévitch), qui serait bien commode, se rencontre rarement (cf. supra, n° 2) : «dans le tragique de l'action», rien n'est jamais vraiment blanc ou noir ; force est parfois de s'accommoder d'une «éthique du gris». Ciel et terre, idéalisme et empirisme, se

de communier avec Dieu, qui fonde ultimement ces valeurs en tant que représentant suprême d’une autorité que me dépasse. C’est-à-dire qu’elle est posée comme absolu, fondée sur une autorité supérieure qui me jugera après ma mort (cf le texte de Jankélévitch sur le bien et le mal). Or, si je reconnais que « dieu est mort », donc que je ne suis pas vraiment croyant, ces valeurs n’ont plus aucune légitimité pour moi. Je m’y plie seulement par habitude ou parce qu’aucune autre valeur ne vaudrait plus

sacrifice ? (Mal) L'enfer social. (Mal) La morale est-elle le produit de l'instinct? (Morale) Peut-on etre sur de bien agir ? Suffit-il de faire son devoir ? (Le devoir) Suffit-il de faire son devoir ? (Le devoir) Quelle est la conception du mal selon Jankélévitch, Kant et Platon ? (Mal) Qu'est ce que promettre ? (Morale) Le pardon est- il un acte politique? La pitié est-elle un mal? Peut-on dire d'un acte qu'il est inhumain? Moralité et sensibilité A-t-on le droit de justifier de l'existence du mal ? Y

du pathos où s'enlisaient maints romantiques de second ordre. Joignant le "précis" à "l'imprécis", il permet à la poésie de retrouver ce singulier pouvoir de la musique qu'est le charme  qui se caractérise, pour reprendre un propos de Vladimir Jankélevitch dans La Musique  et l'Ineffable, par "quelque chose  de  nostalgique et de précaire, je ne sais quoi d'insuffisant et d'inachevé qui s'exalte par l'effet du temps."  Or, sous la plume de Verlaine le temps se distend: le passé sans cesse semble

bon nombre de nos valeurs morales n'auraient plus aucun sens. Être voué à la mort est-il la condition de nos pensées ? Une vie sans mort serait comparable à une vie sans sommeil → la conscience a besoin du sommeil, en son absence elle s'effondre. Jankélévitch va nous rappeler que le sommeil et la vie sans la mort serait insupportable, une existence indéfinie serait peut être la pire des tortures → « l'enfer c'est l'impossibilité de mourir ». Deux positions philosophiques s'affrontent : •La mort comme

favorable à l’objet ; dans l’aveuglement amoureux, on devient criminel sans remords. Toute la situation peut être résumée dans cette formule : l’objet a pris la place de ce qui était l’idéal du moi. Sigmund FREUD, Essais de psychanalyse, trad. S. Jankélévitch, Petite Bibliothèque Payot, 1973, pp. 136-137. – 29 – Pour mieux comprendre le texte Freud identifie dans un premier temps la logique de l’illusion passionnelle propre à l’« amour véritable » (c’està-dire à une synthèse d’amour spirituel