Furie

une tourelle et une mitrailleuse lourde qui pivote lentement à la recherche d’hypothétiques cibles. Derrière, une autre jeep, bourrée de soldats armés jusqu’aux dents, avec des bandes de cartouches en travers du torse et des mines de bulldogs en furie. Soudain, c’est l’éclair blanc, le véhicule qui les précède semble décoller de la route, retombant sur le flanc, percutant brutalement la montagne avant de pivoter sur lui-même. Au même instant un feu nourrit provient de l’autre côté de la vallée

progression. - structure particulière qui donne un effet chronologique. En effet, la répétition du mot « quand » dans les 3 première strophes produit du suspense, l’attente puis le premier vers de la 4ème strophe «  les cloches tout à coup sautent avec furie » et une sorte de dénouement qui produit une action soudaine.- 5 alexandrins constitués de 4 vers chacun.B) Dégradations.- Les impressions que ressent la victime du spleen sont pesantes, douloureuses, de plus en plus malsaines et de plus en plus inquiétantes

(proche, et étendue – on y reviendra). L’épisode de la hache est un des moments porteurs du cas, quoiqu’il ne décrive pas un événement traumatisant en soi. Personellement, étant de nature rebelle, et aimant le tennis, un tel geste m’aurait mis en furie contre mon père. Pourtant, et c’est assez étonnant, la description de la scène est vidée de toute violence : l’adulte Jean Coutu raconte qu’il a suspendu soigneusement la hache à son endroit (il a du en fait la garrocher), et que la leçon lui avait

silence carcéral des strophes précédentes et le cri de douleur intérieur qui résonne ds le lexique : ''cloches''v.13 et ''affreux hurlement'' v.14 = hiatus imposé par le H inspiré(pas de liaison),antéposi° d'affreux. Mouvements soudaibs (''sautent ac furie'' et ''lancent''). Rythme saccadé v.13 par accumula° de mots monosyllabiques et dissyllabiques. On passe des cloches aux esprits = déspérance sans échappatoire,voyelles nasales (''sans'',''ainsi'',''geindre'',''errants'',''opiniatrement''), diérèse

avec lui il aurait mitraillé les bêtes pour dégager le chemin. Bref, ceux qui attendaient patiemment étaient sages car si la locomotive avait déraillée, le train serait resté en détresse. Si cela s’était produit Passepartout passerait d’un état de furie à un état d’hystérie. Enfin, Jules Verne a voué sa vie à écrire des romans d’aventure et de science-fiction. C’est à l’aide des quêtes autour du monde que des personnages intrigants et drôles vont entreprendre; ainsi qu’en introduisant

pourris; Quand la pluie étalant ses immenses traînées D'une vaste prison imite les barreaux, Et qu'un peuple muet d'infâmes araignées Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux, Des cloches tout à coup sautent avec furie Et lancent vers le ciel un affreux hurlement, Ainsi que des esprits errants et sans patrie Qui se mettent à geindre opiniâtrement. Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, Défilent lentement dans mon âme;

la droite, et s'était mis à courir. » à « comme s'il n'y avait plus d'os sous la chair. &raquo. Relever et commenter les points communs décelables dans ces deux meurtres. - les deux meurtriers agissent sous l'effet d'une folie furieuse, d'une furie meurtrière - les corps des victimes sont décrits. Les résultats sont semblables : écrasement, sang : ils sont méconnaissables, désarticulés, désossés - les victimes sont prises au piège, ne peuvent pas s'échapper : la chienne est attachée, les amoureux

27 « ô mon unique reine » Le jeu sur les sonorités appuy la sublimation de la laideur. Dans Spleen l’allitération de consonnes dures en [t] et [c] marque l’affolement de l’esprit tourmenté du poète v. 13 « Des cloches tout à coup sautent avec furie » Dans « Hymne à la Beauté » l’allitération de consonnes douces en [b] révèle le regard séduit du poète dans les 4èmes et 5èmes quatrains.

cognant la tête à des plafonds pourris ; Quand la pluie étalant ses immenses traînées D’une vaste prison imite les barreaux, Et qu’un peuple muet d’infâmes araignées Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux, Des cloches tout à coup sautent avec furie Et lancent vers le ciel un affreux hurlement, Ainsi que des esprits errants et sans patrie Qui se mettent à geindre opiniâtrement. - Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, Défilent lentement dans mon âme ; l’Espoir, Vaincu, pleure, et

mauvais caractère.Une nuit, revenant chez moi, très soûl, de l’un de mes repaires en ville, j’imaginai que le chat évitait ma présence. Je l’attrapai, lorsque, effrayé par ma violence, il m’infligea une légère blessure sur la main avec ses dents. La furie d’un démon s’empara aussitôt de moi. Je ne me contrôlai plus. Mon âme originelle sembla, tout d’un coup, s’envoler de mon corps; et une cruauté diabolique et imbibée de gin fit trembler chaque fibre de mon corps. Je sortis mon canif de la poche de