Furie

sur les récifs. Quelquefois il avait l’espoir de l’aborder, car la mer, dans ses mouvements irréguliers, laissait le vaisseau presque à sec, de manière qu’on eût pu en faire le tour à pied ; mais bientôt après, revenant sur ses pas avec une nouvelle furie, elle le couvrait d’énormes voûtes d’eau qui soulevaient tout l’avant de sa carène, et rejetaient bien loin sur le rivage le malheureux Paul les jambes en sang, la poitrine meurtrie, et à demi noyé. A peine ce jeune homme avait-il repris l’usage de

l'évocation du train dans une sorte de rêve, un rêve qui devient plutôt cauchemard par la suite, et enfin l'idée présente du "partir loin". Le train est décrit dans une sorte de rêve ou simplement un songe : "dans les déchirures du ciel, les locomotives en furie". Ici les locomotives sont presques accusées de troubler les rêves, "d'abimer le ciel". On pourrait d'abord croir que la modernité fait partie du rêve mais ce rêve se transforme très vite en cauchemar..Les adjectifs qualificatifs le montrent : "gares

paraître. Ce voyage en train est d'abord décrit comme un doux rêve, dans lequel nos deux personnages s'évadent et où les locomotives sont presque accusées de troubler ce rêve, « d'abimer le ciel » avec « dans les déchirures du ciel, les locomotives en furie s'enfuit » (v.20 à 21). Seulement, ce rêve va très vite se transformer en cauchemar. En effet les expressions : « gares lézardées obliques (v.16) ; poteaux grimaçant (v.18) ; les roues vertigineuses les bouches les voix (v.23) ; les démons déchaînés

horizon qui est réduit à un « cercle », « la terre » réduit au « cachot » et qui se ferme par les côtés « murs » et par le haut « plafond » - Le poète est passif : « gémissant » - Eclatement : champ lexical de la violence « sautent », « furie », « lancent », « affreux hurlement » - « tout à coup » = le poète n'est plus passif face à ce spleen, il est attaqué par lui = paroxysme. - Hallucinations sonores violentes > assonances « t » et sonorités violentes en « que » « Et des cloches

Il sort. Le coryphée lui souhaite bonne chance et annonce la troisième tempête sur le palais d’Argos (1. Les enfants dévorés- 2. L’assassinat d’Agamemnon Ŕ 3. La malédiction d’Oreste). « Où donc va s’accomplir, où va cesser et s’endormir enfin la furie de la ruine ? » (58) 

séidon Poséidon (en grec ancien en crétois et en béotien) est le dieu grec des mers et des océans en furie et l'ébranleur du sol, dieu des tremblements de terre et des sources donc dieu de la terre en sa globalité. Il est aussi un dompteur de chevaux. Son symbole principal est le trident, qu'il reçoit des Cyclopes pendant la Titanomachie ; il est aussi symbolisé par le taureau et le cheval. Les Romains l'assimilent à Neptune. Mythe Poséidon est le fils de Cronos et de Rhéa et le frère de Zeus

liaisons vers treize et seize ce qui crée un effet de rupture avec les trois premières strophes. Mettant en valeur l'effet de panique par l’absence de ponctuations, et de pause). Nous distinguons le vocabulaire du cri avec « hurlement » vers quatorze, « furie » vers treize, « geindre » vers seize, ce qui donne l'impression d'un combat contre le Spleen. II – L’explosion de la crise et la fin du combat L'explosion de la crise est aussi visible à travers les verbes de mouvement, ayant un sens vertical comment

révèle ; c’est-à-dire le poète est touché intérieurement, il s’agit d’une crise très brutale, donc ça se voit, tout d’abord, par une accélération des faits : « tout à coup », « sautent » (v.13), « lancent » (v.14), et après par leur violence : « avec furie » (v.13), « un affreux hurlement » (v.14), fortifiée par l’adverbe « opiniâtrement » (v.16). « Ainsi que » (v.15) est une expression de comparaison : cloches ↔ esprits

personnifiés : Ils parlent, ils ont des émotions ; “Souffrir” (13), “Compassion” (18), “Souci” (19). Ils ont des attribus qui renvois au corps humain : “Front” (7), “Tête” (6-31), “Dos” (23), “Pieds” (32). Le vent est lui aussi personnifié : “Accourt avec furie” (25), “Le plus terrible des enfants/ Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs” (26/27) = Double personnification + Hyperbole (exagération d'une réalité - “Le plus terrible” = superlatif) b) Ce qu'il s'y passe. L'histoire est banale,

semaine suivante, séjournant à Cordoue, Mérimée rencontra une gitane nommée Carmen qui l'emmena chez elle pour lui dire la bonne aventure. Soudain, entra un homme, l'amant de la belle, nul autre que don José qui, à son tour, sauva son ami de cette furie dont il s'aperçut qu’elle lui avait volé sa belle montre en or. Après plusieurs mois d'absence, il revint à Cordoue où, apprenant que don José, arrêté pour meurtre, y était en prison et allait être exécuté le surlendemain, il lui rendit visite et