Furie

prisonniers les espagnols. Ce fut alors, des évènements violents. Ces affrontements se sont passés autour de la ville, comme la Puerta del Sol ou alors les jardins du Prado.C’est avec cette fureur brutale qu’en 1814 Francisco Goya décide de représenter la furie qui s’est passée. C’est une peinture faite sur toile inspiré par cette guerre d’indépendance espagnole, exposé aujourd’hui au Musée du PradoFrancisco a réussi à nous transmettre la violence de cette guerre.Pour commencer, ce tableau représente la fusillade

cri. L’adverbe « opiniâtrement » renforcé par la diérèse qualifie parfaitement la victime : elle semble de toute façon condamnée. Les cloches semblent être les sauveuses de la victime, elles se dévouent mais en vain de part la phrase «sautent avec furie et lancent vers le ciel ». Les différentes allitérations de dentales « r » accentue ces hallucinations. -Puis des hallucinations visuelles avec les termes « sans tambours ni musique ». La défaite de l’esprit est exprimée par les corbillards, signe

la tête à des plafonds pourris; Quand la pluie étalant ses immenses traînées D'une vaste prison imite les barreaux, Et qu'un peuple muet d'infâmes araignées Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux, Des cloches tout à coup sautent avec furie Et lancent vers le ciel un affreux hurlement, Ainsi que des esprits errants et sans patrie Qui se mettent à geindre opiniâtrement. - Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, Défilent lentement dans mon âme; l'Espoir, Vaincu, pleure

hache symbolique. La forme conditionnelle a ici sa valeur de « futur dans le passé » et n'exprime pas une probabilité. Le dernier paragraphe constitue en effet une forme de prédiction sombre engendrée par la vue de la colonne des grévistes en furie. La vue, donc, se transforme en « vision » et acquiert une dimension prémonitoire : la marche des grévistes devient la marche du Destin (ou de l'Histoire). D'où le recours à ce « futur dans le passé ».

  I- le sportif de haut niveau incarne mon idéal A) Sa notoriété en tant que sportif « Dès qu'il a posé pied en Anjou, le sportif français a été assailli par les passionnés de basket... et par tous les autres, simples curieux ou fans en furie. » d’après Ouest-France. B) Ses performances Ex : Le joueur de tennis Roger Federer est le seul joueur de l’histoire du tennis à avoir gagné cinq fois de suite deux tournois du Grand Chelem (le tournoi de Wimbledon et l’US Open) et réalisé par

l’utilisation du nom haillons dans cette phrase déclarative, soit des vêtements usés et déchirés, on décèle qu’il se perçoit supérieur aux Français ne possédant pas autant que lui. Par les phrases exclamatives et la phrase interrogative, la colère et la furie ressenties vivement par Adario sont d’autant plus accentuées qu’exprimées. Argument principal 3 Malgré que la présentation des Français soit péjorative dans les deux textes, la façon dont Cartier et Lahontan les présentent est très différente. Sous-argument

souci : Les vents me sont moins qu'à vous redoutables ; Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin. » Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le Nord eût porté jusque là dans ses flancs. L'Arbre tient bon ; le Roseau plie. Le vent redouble ses efforts, Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine, Et dont les pieds touchaient

remarquer, que sa colère à tendance à monter fortement puis diminuer selon les répliques de son fils. En effet, on peut déceler vers 1135 qu’il paraît plus calme « cesse, cesse, et m’épargne un importun discours » juste avant de replonger dans une furie « Ah ! que ton impudence excite mon courroux ! ». Sa dernière réplique montre qu’il est surpris choqué et par conséquent sa colère est nettement visible. On remarque cela avec sa question rhétorique juste avant de le mettre dehors : « Sors, traître

tête à des plafonds pourris; Quand la pluie étalant ses immenses traînées D'une vaste prison imite les barreaux, Et qu'un peuple muet d'infâmes araignées Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux, Des cloches tout à coup sautent avec furie Et lancent vers le ciel un affreux hurlement, Ainsi que des esprits errants et sans patrie Qui se mettent à geindre opiniâtrement. - Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, Défilent lentement dans mon âme; l'Espoir, Vaincu, pleure

décrit comment les révolutionnaires transformèrent la nef en lui élevant un monticule sur lequel se dressait un temple entouré de bustes de philosophes qui portaient une inscription à la gloire de la philosophie. Les seules statues qui échappèrent à la furie de cette laïcisation du sanctuaire, furent celle de saint Marcel et surtout celle de la Vierge avec l'enfant. Toutefois, le 1er décembre, le Directoire supprimait le temple de la Raison et rendait au culte l'édifice desservi par le clergé constitutionnel