Furie

soigneusement de le voir ; elle accepte tout de même de lui accorder une dernière entrevue au cours de laquelle elle comprend les raisons de son éloignement : sans naissance, il ne pouvait prétendre à l'épouser et avait préféré fuir sans toutefois calmer la furie de son amour. Nous montrerons en quoi Antony est un héros romantique, avant de nous intéresser à l'image de la société qu'il dépeint et pour finir en quoi son amour pour Adèle est sincère, très fort mais dévastateur. Antony est un héros tourmenté

citations à méditer au jour où, non pas à Kaboul mais en France, on hésite à interdire l’ignominie sous prétexte de respect des différences… Les terres afghanes ne sont que champs de bataille, arènes et cimetières. Les prières s'émiettent dans la furie des mitrailles, les loups hurlent chaque soir à la mort, et le vent, lorsqu'il se lève, livre la complainte des mendiants au croassement des corbeaux. » Kaboul, ville de ruines, accablée sous un soleil aussi impitoyable que la tyrannie des talibans

de l’existence implique qu’on ne puisse en avoir une pleine connaissance sans périr... ». C’est donc la lucidité qui rend fou. L’homme intelligent confronté à l’absurde du monde, lequel est une « histoire dite par un idiot, pleine de fracas et de furie, et qui ne signifie rien... » s’affranchit des convenances sociales et assume pleinement le tragique d’être homme. Le créateur inconsciemment ou non se révolte et tente d’évincer Dieu et de refaire le monde à sa convenance. « Nous savons comment sont

Les assonances en « an » (comme gémissant, embrassant, espérance, battant, cognant, prison, hurlement, errants et sans patrie) font entendre la plainte du poète ; tandis que la voyelle « i » (ennuis, triste que les nuits, humide, chauve souris, furie, esprits..) fait monter la souffrance. Cette souffrance est d’une intensité croissante (« aux longs ennuis » v.2, « geindre opiniâtrement » v.16). Dans la quatrième strophe, Baudelaire utilise le présent simple (sautent, lancent) et la soudaineté

reculer. Ta main a commencé par le sang de ton frère ". Mis à part cette idée d'un Néron tyrannique, qui continuera à tuer, Agrippine prédit que son fils regrettera ses actes. " Tes remords te suivront comme autant de furies " : Le terme "furie" désigne une fureur extrême et peut appeler à toute l'expression de la fatalité dans la pièce tragique. les remords appellent à la culpabilité. La comparaison faite par Agrippine signifie donc que Néron sera véritablement pleins de remords. Elle prédit

cognant la tête à des plafonds pourris; Quand la pluie étalant ses immenses traînées D'une vaste prison imite les barreaux, Et qu'un peuple muet d'infâmes araignées Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux, Des cloches tout à coup sautent avec furie Et lancent vers le ciel un affreux hurlement, Ainsi que des esprits errants et sans patrie Qui se mettent à geindre opiniâtrement. - Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, Défilent lentement dans mon âme; l'Espoir, Vaincu, pleure, et l'Angoisse

tête à des plafonds pourris ; Quand la pluie étalant ses immenses traînées D'une vaste prison imite les barreaux, Et qu'un peuple muet d'infâmes araignées Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux, Des cloches tout à coup sautent avec furie Et lancent vers le ciel un affreux hurlement, Ainsi que des esprits errants et sans patrie Qui se mettent à geindre opiniâtrement. - Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, Défilent lentement dans mon âme ; l'Espoir, Vaincu, pleure

roman trompeur : « La guerre a commencé. Personne ne sait plus où, ni comment, mais c'est ainsi. Elle est derrière la tête, aujourd'hui, elle a ouvert la bouche derrière la tête et elle souffle. La guerre des crimes et des insultes, la furie des regards, l'ex​plosion de la pensée des cerveaux. Elle est là, ouverte sur le monde, elle le couvre de son réseau de fils électri​ques. Chaque seconde, elle progresse, elle arrache quelque chose et le réduit en cendres. Tout lui est bon pour frapper

sus, je ne dis poinct voz terres, mais celles de voz confederez; et, si par conseil precipité ont encontre eulx attempté quelque cas de nouvelleté, le nom et tiltre de vostre alliance entendu, ont soubdain desisté de leurs entreprises. 21" Quelle furie doncqnes te esmeut maintenant, toute alliance brisée, toute amitié conculquée, tout droict trespassé, envahir hostilement ses terres, sans en rien avoir esté par luy ny les siens endommagé, irrité ny provocqué? Où est foy? Où est loy? Où est raison

pourrons-nous au moins fixer la trace ? » (v. 43) ➔ Désespoir du poète devant l’impuissance face au temps C.B : Le temps est irrépressible C.I : Le temps est éphémère et impitoyable II. La puissance du temps A. Le poète condamne la furie du temps 1. Champ lexical de la perte a) a) « s´envolent » (v. 41), « passés » (v. 44), « perdus » (v. 44), « efface » (v. 45), « ne rendra plus » (v. 46), « engloutissez » (v. 48) ➔ Démontre la perte causée par le temps 2. Participes