Furie

insupportables aboiements. Farce normande (pp. 59-64) Un riche fermier se marie et invite toute la contrée à sa noce. Ses amis chasseurs lui gâchent sa nuit nuptiale en lui faisant croire qu’ils braconnent ses terres. Le fameux chasseur sort en furie de chez lui, court à leur rencontre et finit la nuit ficelé au milieu des bois, avec trois lièvres autour du cou. Les sabots (pp. 65-71) Une jeune fille, naïve et pauvre, est envoyée comme servante chez un riche paysan. Ce dernier la prend progressivement

retracé> raconté en pleine connaissance de cause> sciemment, sachant ce qu'il faisait irréfléchi> impulsif atténué> rendu moins grave p.154 écrasantes> très graves ému> choqué, frappé forfait> crime accabler> accuser acharnement> furie acquérir> obtenir p.155 gouffre> abîme, trou grand et profond succomber = to give in, to succomb to ... se retranchait> s'endormait, se protégeait de ... p.156 au même titre> exactement comme sur l'auteur de ses jours> sur

ainsi qu’il l’exprime lui-même, de « regret ». Cependant, la lucidité d’Oreste ne lui fait pas seulement mesurer ce qu’il a fait : elle l’aide aussi à voir qui est responsable et qui ne l’est pas. Car l’Hermione qui vient de se comporter comme une furie et qu’Oreste ne reconnaît pas, sa raison le convainc bien vite que c’est la véritable Hermione. D’où, aux trois questions initiales sur l’identité de cette inconnue (« Est-ce Hermione ? Pour qui coule le sang ?… Pour qui ? »), une réponse qui est à

débute par une action se déroulant au présent puis retourne au passé non trop loin de l’action qui débutait. Ligne 25, page 45, :<< Nora rajuste sa robe, secoue le sable et les brins de paille qui y sont attachés, me quitte en courant, comme une furie qu’elle n’a jamais cessé d’être, tout le temps que ses petits seins devenaient durs entre mes mains, plongées dans son corsage>>. Le retour se fait par le changement de verbe qui passe du présent à l’imparfait. Dans un autre exemple, Anne enchaine

contre la royauté. Certains grands seigneurs, la plupart catholiques, concluent le Compromis des Nobles en 1565 pour défendre leurs intérêts et privilèges dans le pays, et obtenir une plus grande liberté religieuse. L’été 1566 voit se déchaîner la furie iconoclaste dans les grandes villes de Flandre : les protestants détruisent des églises, des icônes, des reliques, qui sont pour eux signes de pêché d’idolâtrie. Suite à ces évènements, le duc d’Albe instaure le Conseil des Troubles, tribunal chargé

la fin du trimestre, la maîtresse écrivit sur le carnet d’Horatio que c’était un élève sage, mais beaucoup trop rêveur. En lisant ces mots, le père d’Horatio se mit dans une colère noire. - Maintenant, ça suffit! déclara –t–il. Il entra comme une furie dans la chambre de son fils et lui confisqua tous ses livres. Avec de grands gestes énervés, il les jeta en vrac dans une malle qu’il ferma avec un gros cadenas avant de la descendre à la cave. Mais, papa… protesta Horatio, en vain. Pas de « mais »

mélodramatique avec un grotesque du désir irrépressible. Synthèse du 1er mvt : C’est une scène d’épouvante : atmosphère fantastique par le jeu des lueurs, par la métamorphose effrayante des visages, par la folie d’un ultime désir qui génère une furie, par le mécanisme de la peau qui vampirise la vie de Raphaël qui se consume là dans un dernier désir vif, et par le fait que l’on s’identifie un peu à Pauline et que sa terreur nous contamine. Mvt 2 : · PHRASE 1

plafonds pourris ; Quand la pluie, étalant ses immenses traînées, D'une vaste prison imite les barreaux Et qu'un peuple muet d'infâmes araignées Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux, Des cloches tout à coup sautent avec furie Et lancent vers le ciel un affreux hurlement, Ainsi que des esprits errants et sans patrie Qui se mettent à geindre opiniâtrement. - Et de longs corbillards, sans tambour ni musique, Défilent lentement dans mon âme ; l'Espoir

elle, à moins qu’elle ne lui demande → il est à ses ordres. (+ espoir ? Elle laisse une porte ouverte : il est possible qu’un jour elle veuille le revoir). - Certaine violence dans sa colère : « que la colère transportait », « se débattit de telle furie » + insensible au désespoir de Céladon qui dit vouloir se tuer (peut-être, dans la mesure où elle croit qu’il lui a menti sur son amour, pense-t-elle qu’il n’est, là encore, pas sincère). - l’auteur dit que l’Amour lui bouche « pour son malheur les

Anachronismes volontaires : moderniser la situation (mots et réalités de notre époque). Allusions à la fable de Hugo. CORRECTION : – « Mangé ? Mangé ? Va-t'en, monstre que tu es ! Ôte-toi de ma vue… – Ben oui, mangé, madame la Fée… Pourquoi cette furie ? On ne mange donc pas les enfants, chez vous ? N'avez-vous pas lu les contes ? Depuis la nuit des temps, c'est notre pain quotidien, à nous autres ogres, de manger les petits enfants… Ça s'appelle, je crois, quelque chose comme la tradition… Et les