Fnac Business Model

filiale bancaire du distributeur. Et, d'ici à la fin 2010, toutes les caisses " moins de 10 articles " des supermarchés le feront. Ainsi qu'une bonne partie des Carrefour City et Carrefour Contact. » La greffe prend aussi dans le non-alimentaire. « La Fnac équipera à terme tous ses magasins », prévoit Étienne Bertin, directeur des systèmes d'information. La deuxième étape consiste à convaincre le client d'adopter la carte. Pas très compliqué pour certains distributeurs, qui comptent sur leurs propres

de vente se diversifient, et les équipes commerciales s’approprient tout ou partie du champ d’action du marketing opérationnel. On constate également une prolifération de nouvelles formes de vente : la vente à distance monte en puissance et le business development trouve de nouveaux terrains d’expérimentation. Enfin, on constate une extension de la fonction commerciale export qui se développe dans un nombre croissant de secteurs d’activités. De fait, les recruteurs prennent en considération la

retailing a existé bien avant celle du marketing. La comparaison des dates de publication des premiers numéros des deux revues phares est à ce propos éloquente : le Journal of Retailing est apparu dès 1925, soit deux ans après la fameuse Harvard Business Review, tandis que le Journal of Marketing ne commençait sa carrière que onze ans plus tard en 1936. Les premiers articles du Journal of Retailing peuvent être davantage considérés comme des travaux d’économie appliqués au commerce que comme des

fallait trouver des franchisés, ou investir dans des fonds de commerce dont la rentabilité risquait de devenir problématique. La transmission florale classique Le marché de la fleur vendue chez les fleuristes, coupée ou en pot, est loin d’être un petit business : il représente quatre-vingts milliards de dollars dans le monde, et un milliard et demi d’euros en France. À cela s’ajoute un deuxième marché, celui de la transmission florale, qui existe depuis près de cent ans, communément dénommé Interflora,

techniques de vente se diversifient, et les équipes commerciales s’approprient tout ou partie du champ d’action du marketing opérationnel. On constate également une prolifération de nouvelles formes de vente : la vente à distance monte en puissance et le business development trouve de nouveaux terrains d’expérimentation. Enfin, on constate une extension de la fonction commerciale export qui se développe dans un nombre croissant de secteurs d’activités. De fait, les recruteurs prennent en considération la

Gestion de la relation commerciale 1 - La photocopie non autorisée est un délit. 1.2 Les caractéristiques essentielles de la VAD A. Les formes de la VAD On distingue habituellement deux formes : B to C (Business to Consumer) : entre entreprises et clients particuliers B to B (Business to Business) : entre entreprises • • Ces formes sont de plus en plus concurrencées par le commerce C to C (Consumer to Consumer) soit entre particuliers. Cette dernière forme est rendue possible grâce aux sites

message a travers son site ne pourra donc le faire que si elle défini a priori sa propre cible. A travers le Web, le premier critère de segmentation se fait entre l’entreprise et le grand public, entre la transaction «  Business to Business » ou (B to B) d’une part, et «  Business to Consumer » (B to C) d’autre part. Cette segmentation se retrouve dans le commerce électronique, qui n’a réellement démarré que dans la vente B to B. Les sites Web s’adressant au grand public recherchent le maximum

Réalisée par Karim Bahloul, Alain Pétrissans, Se Eng Tan Dutrieux de chez IDC pour le compte de l’OPIIEC 19 décembre 2007 Agenda Contexte, méthodologie et définition La distribution indirecte de logiciels en France Les éditeurs et l’indirect Le modèle SaaS vu par les éditeurs et les Vars Les salariés de l’indirect chez les éditeurs de logiciels Volumétrie et métiers Les besoins des éditeurs et les difficultés de recrutement La formation continue Une cartographie des Vars en France Les partenaires

....)4. éventuellement un PESTEL ?B L'ENTREPRISE :1. Généralités, Historique, Chiffres clés2. L'environnement externe :· La demande· Les clients· La concurrence· Les fournisseurs et autres partenaires3. L'environnement interne :· Analyser le business model : valeur apportée aux clients ? source de revenus ? public cible ? différenciation par rapport à la concurrence ? gestion des coûts ? relation avec les clients ? relation avec les fournisseurs ? etc....  · Analyser la présence en ligne sur le

hypermarchés, supermarchés, magasins populaires, supérettes et hard discount, sans oublier les grandes surfaces spécialisées. Les MDD sont présents dans le bricolage (Leroy Merlin, Castorama), le jardinage (Jardiland), le sport (Décathlon), la culture (Fnac)….. Les différentes appellations des MDD :  La marque d’enseigne est celle qui porte le nom de l’enseigne (Carrefour, Norauto). Ce choix permet aux enseignes de se rapprocher des consommateurs et de faire pénétrer la marque du magasin dans leur environnement