Éternité

raison ou la morale. Dans ce poème il n'y a pas une ou plusieurs images mais nous avons affaire à un raisonnement logique, une démonstration. On retrouve à peine le goût surréaliste pour les formules toutes faites ou provocantes comme "le ciel de mon éternité", "Toutes les vierges sont différentes. Je rêve toujours d'une vierge" et un goût pour les sciences occultes, ici la cartomancie avec "Les cartes ont dit que je la rencontrerai dans la vie, mais sans la reconnaître »". Eluard ne vit que sur le mode

Giono ou d’un Bosco. En fait le réel est souvent absurde et sans beauté. L’art lui donne un sens, le reconstruit comme la tragédie qui transforme un fait divers en une question essentiellement humaine, dégagée de toute contingence, auréolée de son éternité. Ainsi le roman historique nous révèle le sens de l’aventure humaine au travers de la trame si dense des événements. Quatrevingt-Treize d’Hugo simplifie la Révolution française en une épopée où se heurtent avec fracas des protagonistes symboliques

d’anecdotes, d’histoires vécues. L’objectif est de montrer à quel point nous sommes marqués par des atavismes[footnoteRef:3] qui nous empêchent de vivre normalement, de juger l’homme par ce qu’il est et non par ce qu’il paraît ou est supposé être de toute éternité. [3: Atavismes : idées et comportements reçus de nos ancêtres par l’hérédité.] Gaston Kelman, Je suis noir et je n’aime pas le manioc , 2004. Ce texte est construit sur un

devenu la norme de la poésie cotemporaines, c’était un effet de style crée par Appolinaire. Il lui a permis d’être reconnu comme poète moderne en son temps.Baudelaire défini aussi la moitié de l’art comme éternel et immuable.Nous retrouvons cette éternité dans les thèmes abordés par Appolinaire. La thématique de l’amour est un thème romantique des plus classiques comme « le pont mirabeau » ou encore « la chanson du Mal aimé ».Des élément mythologiques sont aussi présent dans le recueil. La mythologie

bruits des usines → vie familière au poète → vie réelle Transition : Le poète passe du paysage réel qu´il voit a un paysage transformé par sa perception II – Paysage transformé 1 – Idéalisation du paysage Paris idéalisé : « rêver d´éternité » (v8) Transfiguration au réel dans 1ere strophe : bruits de l´usine se transforme en chants. Son des cloches qui annonce le quotidien se transforme en hymnes, de la musique : « Leurs hymnes solennels emportés par le vent » (v4) répétition du son

d'elle un paysage immuable » stable » qui semble échapper à l'emprise du temps , la mer devient « un toit tranquille « et « une scintillation sereine ». La mer baignée de la lumière du zénith cristallise donc le temps ou plutôt le non-temps en un éternité divine portée par les allitérations des vers 18/19 « Toit !Temple du temps », par la présence des majuscules qui sacralisent cette notion et cette communion ainsi que par les «ô » vocatifs appels à la prière, espace temps privilégié durant lequel

Si l’essence prime l’existence et lui est logiquement, chronologiquement et métaphysiquement antérieure, nous nous trouvons dans la situation suivante que tout existant déroule temporellement donc phénoménalement un schéma fixe ou prévu de toute éternité. L’essence est alors ce qui fait qu’un être est ce qu’il est et qui ôtée supprime aussi et du même coup l’existence de cet être. L’essence est ce sans quoi un être ne peut pas être ce qu’il est ; et qui posée fait au contraire que cet être ne peut

lui apporte en plus le cachet de l'éternité et procure « la plénitude d'un moment suspendu arraché au temps de la convoitise humaine ». Eternité des histoires qui une fois gravées sur le papier traversent les siècles, et éternité pour celui qui le lit, car en lisant, en écoutant, en regardant des oeuvres éternelles, il s'intègre pour un court instant à cette éternité. Nous remarquons dans cette oeuvre la grande culture artistique de l'auteur, qui passe du cinéma à japonais, à la littérature Russe à

combine les extrêmes « agile / jambe de statue » (SA jambe (une seule) car toujours en mouvement) et rapport à la statue grecque (parfaite). Mais elle est « statue » donc déjà un souvenir, réifiée à la fois en mouvement et figée, à la fois instant et éternité. Ce portrait = idéalisation esthétique= symbole beauté Baudelairienne : hautaine, en deuil et froide. 3. La réaction et les émotions de Baudelaire v6-8 Réaction forte « extravagant » il est conscient d’avoir une réaction de fou.

ne pas réclamer l’autel de la Victoire ? Nous sommes prudents pour ce qui est de l’avenir et d’événements contraires nous évitons les signes. Que les honneurs réfusés à la Volonté agissante soient du moins rendus au Vocable qu’il dénomme ! Votre Éternité doit beaucoup à la Victoire ; elle lui devra encore davantage ! À ceux à qui elle fut inutile de se détourner de cette capacité, mais Vous, veillez à ne pas abandonner un patronage ami des triomphes ! Ce pouvoir est l’objet de tous les voeux et nul