Éternité

Nietzsche, on ne revient pas aux spécificités proprement politique de l’action. Hannah Arendt décrit les activités de la vita activa, comme «  ni identiques, ni supérieures, ni inferieures » à la vita contemplativa. Eternité contre immortalité : D’après Hannah Arendt, il faut définir éternité et immortalité pour comprendre la différence entre la vita activa et la vita contemplativa. L’immortalité désigne la vie perpétuelle, nature de la vie des Dieux de l’Olympe. Les hommes sont les seuls « mortels »

aussi la photosynthèse, etc. La nature produit selon Platon des arbres qui imitent cette Idée d’arbre : tout arbre naturel possède des racines, etc. Remarquez que cette conception n’est pas la nôtre : les idées étant éternelles et existant de toute éternité, on ne peut que les découvrir, sans en inventer aucune. Or, la modernité repose sur le progrès, qui se traduit en technique par la recherche d’inventions. La philosophie de Platon exprimer les positions grecques fondamentales : il ne s’agit pas d’une

sont limitées. La vie que nous vivons, nous devons la revivre plusieurs fois. La doctrine nietzschéenne de l'éternité est un éternel retour de l'identique, qui surmonte la temporalité du temps. Midi est l'instant éternel où le temps, arrêté, devient éternité. Nietzsche a toujours eu la nostalgie du soleil, de la Méditerranée, de la Grèce. Après sa brouille avec Wagner, c'est Bizet qui lui semble le plus grand musicien. Les pages cruelles qu'il a écrites contre les Allemands, les pages enthousiastes sur

avec le nécessitarisme. Le nécessitarisme affirme la nécessité des phénomènes en vertu du principe de causalité, qui fait que, les mêmes causes produisant les mêmes effets, rien n'arrive qui ne soit nécessaire et qui ne pouvait être prédit de toute éternité. Si le nécessitarisme relève essentiellement de la philosophie, le déterminisme relève au premier chef de la science. La distinction pourra sembler subtile, mais ce qui démarque fondamentalement le déterminisme du nécessitarisme, c'est que la nécessité

« agile » : ces deux qualités étant presque opposées, elles évoquent une beauté à la fois idéale et surnaturelle. L'image de la statue symbolise également une perfection immuable, telle l'idéal selon Baudelaire. De plus, les termes « beauté » et « éternité » sont rapprochés par la rime entre les vers 9 et 11. En effet, l'Idéal est pour Baudelaire à la fois éternel et presque inaccessible (cf. Rêve parisien et La mort des artistes), tout comme cette « fugitive beauté ». L'ambivalence du personnage

couleurs primaires. On considère qu’on a mélangé le principe du masculin et le principe du féminin. On ne va plus décliner la couleur sur qu’est ce qu’elle vaut pour l’homme, pour la femme. LE VERT : Mélange de jaune et bleu (l’antimatière et éternité), avec le vert on n’entre jamais dans la matière, car le vert échappe à la mortalité, destruction, anéantissement. Le vert c’est alors la couleur de l’immortalité, l’immuabilité. C’est le changement dans la continuité. C’est la couleur du recommencement

terre sont immortelles et éternelles ? Bien sûr que non !!!! Pour l'instant, elle perdure tant bien que mal, de générations en générations, d'ères en ères, sur cette unique terre plongée dans l'infinie obscurité, mais qui ne durera sûrement pas une éternité ? Comment l'homme a-t-il pu imaginer que dieu soit à l'origine du créationnisme ? -Qui l'aurait créé lui ? -Qu'a t-il créé de si incroyable dans cet univers composé majoritairement de vide et de quelques boules, les planètes, dont une seule serait

courageuses, comme si elles se dirigeaient vers la vie. (…) Elles marchent maintenant calmes et impassibles, sans s’effondrer vers la fin imminente. Des femmes nues et en pleine vigueur n’arrêtent pas de marcher. On dirait que la marche dure une éternité. Une éternité. On dirait que des mondes entiers se sont déshabillés et, nus, sont venus ici pour une promenade diabolique.(…) Dans le grand bunker… soudain un chant éclate, s’en élance avec une force surhumaine. Le gang des hauts officiers est …pétrifié

la recherche d’un art de vivre raffiné qui doit nourrir la satisfaction des sens et la contemplation esthétique. Ce poème qui ressemble à une berceuse s’achève sur le sommeil. La rêverie éveillée rejoint le rêve. Pour un temps éphémère (mais une éternité dans le poème, car le sommeil est voisin de la mort) le poète a vaincu la terrible solitude et atteint à la plénitude affective dans l’amour fusionnel et la contemplation du beau partagé. « L’invitation au voyage » est un parcours initiatique dans

connaît. [ Inconnu ] Je voudrai être un poisson pour effleurer tes lèvres de corail. [ Inconnu ] Je vous dirais bien bonjour mais vous allez m'accuser de brûler les étapes... [ Inconnu ] J’ai mis une seconde pour t’aimer, mais je mettrais une éternité à t’oublier [ Inconnu ] J’aimerais être un iceberg pour fondre dans le soleil de tes yeux. [ Inconnu ] L'amour... il y a ceux qui en parlent et il y a ceux qui le font. A partir de quoi il m'apparaît urgent de me taire. [ Desproges ] La courbe