Éternité

semaine de l’architecture Apprendre à voir l’architecture expositions Perret, la poétique du béton Clean city Experiment Eternit André Ravéreau, l’atelier du désert La ville rationaliste, Modène 1931-1965 Murs-rideaux, Genève 1951-1969 DVD>Andrej Djerkovic à Genève 3 - 9 mai 2004 promenade au quartier d’affaires 3 établissements scolaires visites urbaines 3 Portraits de villes Media-City, 23 clips films La critique architecturale Autour de Bruno Zevi séminaire Perret, la

Sept jours pour une éternité Sept jours pour une éternité Auteur : Marc Levy Éditeur : Robert Laffont, 2003, 310 pages Résumé Depuis toujours, la guerre entre le bien et le mal est omniprésente. Dans le but d’y mettre définitivement un terme, Dieu et Lucifer, dirigeants de chacun des clans, font un pari. Sept jours durant, l’élite de chaque camp aura pour mission de faire triompher sa maison. D’un côté, Zofia. De l’autre, Lucas. Elle possède la force des anges, il a le charme du diable

sensible est celle des objets qui nous entourent. Soumise aux contradictions, celle du temps notamment, dans lequel chaque chose devient une autre, elle s'oppose à la réalité des essences, ou Idées, dans laquelle chaque chose est ce qu'elle est de toute éternité. [] Pour un esprit authentiquement scientifique, on ne peut tenir pour vrai, pour certain, que ce qui est démontré par l'expérience (comme en physique ou en biologie) ou ce qui est établi par déduction logique ( comme en mathématique). Dès qu'on

"à peine" v. 5, "jamais" v. 42 , "tout à coup" v.17, "encore" v. 29 - les noms évoquant le temps : "nuit" v. 2, 31, 32, 51 ; "jour" v.4, 24, 27, 40, 46 ; "année" v. 5 ; "aurore" v. 31 ; "soir" v. 13 ; "heures" v. 21, 33 ; "moments" v. 29, 37 ; "éternité" v. 45 - les adjectifs qui accompagnent certains noms : "éternelle v.2, "fugitive" v. 33 etc... - métaphore : "océan des âges" v. 2  des expressions qui mettent en opposition la permanence du temps et le caractère éphémère de l’homme et donc

c'était vrai, est publié. Il sera traduit en quarante et une langues. 2000 : Et si c'était vrai..., éditions Robert Laffont - Prix Goya du premier roman, Prix Lucien Barrière 2001 : Où es-tu ?, éditions Robert Laffont 2003 : Sept jours pour une éternité..., éditions Robert Laffont 2004 : La Prochaine Fois, éditions Robert Laffont 2005 : Vous revoir, éditions Robert Laffont - suite de Et si c'était vrai... 2006 : Mes amis mes amours, éditions Robert Laffont 2007 : Les Enfants de la liberté, éditions

"à peine" v. 5, "jamais" v. 42 , "tout à coup" v.17, "encore" v. 29 - les noms évoquant le temps : "nuit" v. 2, 31, 32, 51 ; "jour" v.4, 24, 27, 40, 46 ; "année" v. 5 ; "aurore" v. 31 ; "soir" v. 13 ; "heures" v. 21, 33 ; "moments" v. 29, 37 ; "éternité" v. 45 - les adjectifs qui accompagnent certains noms : "éternelle v.2, "fugitive" v. 33 etc... - métaphore : "océan des âges" v. 2  des expressions qui mettent en opposition la permanence du temps et le caractère éphémère de l’homme et donc de

 Le Présent selon Hegel Le présent comme éternité, infini donc plus dépendant ou limité par la passé et le futur. 1) Une présent fini est insaisissable donc il est néant Selon Hegel la philosophie ne doit s'intéresser qu'au présent. Car d'une part, le passé n'a d'intérêt uniquement dans la mesure où la pensée peut le transformer en quelque chose de présent, et parce que d'autre part, la philosophie ne s'intéresse pas au futur car elle ne vise pas à prophétiser sur ce qui doit être, elle

Guillaume Apollinaire, qui possèdent l’art de faire parler les saisons et les fleurs, et par contraste, l’Homme, seul être en mesure de nuire à cette douce nature, grâce à l’apport de certains poètes dans ce domaine, tel qu’Alphonse de Lamartine avec « Eternité de la nature, brièveté de l’homme » et Esther Granek, poétesse belge à esprit quasi misanthrope avec « T’es pas beau, l’humain ! » qui condamnent la vision de supériorité que porte l’être humain sur son environnement. La visée des huit différents

comprend que l’ « éternel soleil » renvoie à la poésie, une lumière qui vient du feu et qui détruit et donc donne une fausse éternité. Preuve : automne est déjà là et la clarté de la poésie se termine.A l’opposé, la clarté divine qui est pure lumière donne une véritable éternité. On voit une véritable conversion : il faut abandonner la poésie et sa fausse éternité pour la vraie éternité qui est celle de Dieu. Rimbaud se convertit en adoptant les valeurs qu’il avait rejeté. La vérité serait dans la recherche

« soudainement » v.10), qui caractérise la rencontre et que le poète va faire passer à la postérité (« éternité » au v.11) : interprétation de la rime signifiante «…………………..» / «………………….» ? Pouvoir alchimique de la poésie (ici, celui de transformer l’instant en éternité, la fugacité en permanence) ; pouvoir qu’a la poésie d’immortaliser la femme aimée ?  Perte irrémédiable : « beauté » perdue pour l’« éternité » (interprétation tragique) ?Extraordinaire pouvoir de résurrection de la femme dont le « regard »