Épicure

permettant l'ascension à ce même plaisir. On voit une que la conscience semble à la fois répondre à ce désir mais aussi va au delà à chercher la satisfaction suprême de celui-ci. En effet, le bonheur est accessible par le désir à combler un manque. Chez Epicure, il explique le bonheur passe par la classification des désirs. En outre, il distingue trois types de plaisir: les désirs naturels et nécessaire( la survie du corps), les désirs naturels seulement et les désirs vains comme le désir de pouvoir et de

insatiable et sans cesse guetté par la démesure, comme le montre Platon dans le Gorgias quand il compare l’homme qui désire à un tonneu percé qui ne peut jamais être rempli. Epicure, Lettres à Ménécée La philosophie a pour finalité d’atteindre le bonheur c’est à dire la santé du corps ( aponie ) et la santé de l’âme ( ataraxie ). Pour Epicure, il existerait un état neutre sans plaisir ni souffrance qui serait la définition du bonheur. Le plaisir pourtant demeure dans le vrai bonheur. Tout plaisir en lui même

Les hommes qui n’écoutent que leur désirs vains, qui ne sont plus capables de distinguer ce qui est bon pour eux, qui ne savent pas que seule la satisfaction des désirs naturels permet le bonheur ou l’ataraxie peuvent être définis comme dénaturés. (Epicure). Certaines conduites de l’homme sont considérées comme contre nature. On considère dans ce cas que les fonctionnalités biologiques entraînent des comportements sociaux. Les hommes doivent avoir le pouvoir parce qu’ils sont plus forts et ont

Partie III La volupté selon les Épicuriens Alors que tout semble perdu pour la volupté, c’est peut-être le discours des Epicuriens qui peut apporter de nouveaux éléments à son sujet. Epicure place le plaisir au centre de sa réflexion. Dans La lettre a Ménécée, Epicure explique qu’il faut aller vers une recherche du plaisir mais ce n’est pas une quête frénétique : il ne faut pas se hâter à satisfaire tous les désirs mais faire ça avec beaucoup de modération, de tempérance.

déterminisme physique d'un Spinoza, ou même le matérialisme d'un Epicure ou d'un Lucrèce. On le voit, la question est plus morale qu'épistémologique. Que peut-il rester de la création, de l'invention et donc de l'art dans un tel monde? On pourrait aussi se demander, comment l'avait fait Kant, ce qu'il reste de notre responsabilité morale dans un tel monde. Toutefois, on pouvait noter que par exemple ni chez Spinoza, ni chez Epicure, ni chez Marx, la liberté n'est totalement réduite à néant. Le déterminisme

apprentissage pratique. III. Apprendre à bien vivre pour atteindre le bonheur A) Il est important d’apprendre à vivre pour se débarrasser des peines inutiles et atteindre l’ataraxie (soit l’absence de troubles). Voir la lettre à Ménécée de Epicure, avec le rôle de la philosophie, le lien entre bien-vivre et bien-mourir pour atteindre le bonheur. L’apprentissage de la vie se fait également dans le fait de limiter ses désirs et de ne plus craindre la mort ni les Dieux. B) Il faut apprendre

être raisonnable, pour connaitre le bonheur. 1/ Limiter ces désirs C’est une restriction volontaire → peut mener a la sagesse avec l’acceptation des contraintes engendrés. De plus on se contente du strict min → ce qui est vitale Exemple : Epicure, La lettre a Ménécée, apprendre à désirer moins Se base sur hédonisme, fonder bonheur sur plaisir. En désirant moins on obtient du plaisir et une abs de déplaisir donc ataraxie et donc bonheur. 2/ Etre raisonnable Par restriction librement consenti

pour prétendre qu'ils sont heureux comme cela. Il existe une grande controverse entre Platon et Aristote d'une part, et Épicure d'autre part. Pour Épicure, philosophe grec, tout plaisir est bon et toute souffrance est mauvaise. Alors que Platon et Aristote pensent qu'il y a des plaisirs mauvais, rechercher les plaisirs bons qui ont une limite extérieure. Mais pour Épicure, il ne faut pas un principe extérieur(:apporté par des circonstances précises), puisque le plaisir comprend en lui-même sa

même de l’amitié : « Ce que les hommes ont nommé amitié n'est qu'une société, qu'un ménagement réciproque d'intérêts, et qu'un échange de bons office; ce n'est enfin qu'un commerce où l'amour-propre se propose toujours quelque chose à gagner. ». Et Epicure d’ajouter, dans Sentences Vaticanes : « Toute amitié est par elle-même désirable, elle a cependant l'utilité pour origine ». Aristote considère en effet l’amitié en vue de l’intérêt pour soi-même : « ceux dont l’amitié réciproque a pour source l’utilité

aux yeux des autres qu'à être heureux soi-même. On va chercher à cultiver notre amour propre, ainsi nous perdons notre liberté et nous nous retrouvons comme "piégé" dans cette "bulle superficielle", ce qui nous rendra tôt ou tard malheureux. C'est Epicure,un philosophe grec, qui va enfin dire que le bonheur réside dans l'ataraxie, soit l'absence de troubles dans l'âme. Comme l'appuie sa citation : « Quand donc nous disons que le plaisir est le but de la vie, nous ne parlons pas des plaisirs voluptueux