Épicure

argumentative des images et des métaphores. Rire de mépris, Katagelos. Les réflexions d’un misanthrope. Intertextualité : cf Misanthrope, Acte I sc 1 (voir texte joint). Seul contre tous. La tentation du retrait libertin. Locus amoenus (métaphore du Jardin, Epicure), amitié, érudition. Etre déniaisé : être seul. Augustinisme ou épicurisme ? Ni l’un ni l’autre mais romantisme (double référent). Ethique romantique plutôt que libertine (poésie du cœur vs prose du monde). b) Car, comme Alceste, arrière-pensées

propres à toute civilisation raffinée. et enfin les besoins vains, c'est-à-dire ni naturels ni nécessaires, qui sont des maladies de l’âme car ils sont par nature impossibles à satisfaire, insatiables/comme le désir de richesse ou de gloire. Pour Epicure, seuls les désirs naturels nécéssaires permettent d’atteindre un plaisir stable, qui ne causera aucun trouble, car, d’une part, ils ne créent pas une habitude ni une dépendance nous incitant à désirer davantage, en revanche il faut chercher les vrai

conception de la nature en tant que source dynamique de tout ce qui existe, en tant que principe de production. Ainsi, selon Aristote la nature est au principe du changement et du repos, comme du développement des êtres vivants. Pour Démocrite, comme pour Epicure et ses disciples, la nature est composée d’atomes insécables qui tombent dans le vide : ils ont une vue purement matérialiste de la nature. Cette nature est dotée de trois principes dont tout découle : rien n’est crée de rien, rien n’est absolument

besoins et de ses plaisirs. En comprenant ses désirs il se libère de leur emprise et se reconnait donc dans ceux-ci. L’Homme se reconnait dans ses désirs car le désir de l’Homme c’est la vie, lorsque l’Homme n’a plus de désir, c’est la mort. Selon Epicure, le désir est synonyme de bonheur, il faut satisfaire ses désirs pour atteindre un état de bien être suprême, le but de la vie humaine. En d’autres mots, pour atteindre l’ataraxie. Il faut donc les satisfaire sans pour autant en abuser, il ne faut

Caucase, les pyramides d'Egypte, autorisent par là au lecteur un voyage qui lui même suppose le dynamisme sinon physique du moins de l'esprit. Son raisonnement renvoie indirectement à une théorie ancienne : l'atomisme de Démocrite reprit ensuite par Epicure puis par Lucrèce. Cet atomisme concerne la chute des corps dans le vide (loi de gravitation). Sans entécédant au sens moral du terme, l'inconstance n'est plus un corps dur mais se caractérise par sa mollesse et sa maniabilité : tout un champ sur sur

était un empereur romain. Vouloir faire un rempart contre les désirs ne n’est pas faire un rempart à la vie. Est-ce qu’une raison peut refuser de souffrir ? Les Stoïciens tuent la vie. III. La métriopathie ou la sagesse selon Epicure. (CF. Cour sur Epicure)

la philosophie hellénistique et des "sagesses antiques". Ce que Michel FOUCAULT a nommé "souci de soi". Ici, c'est l'individu qui est l'objet de la réflexion. Il s'agit de déterminer ce qui rend heureux. Est-ce le plaisir ? Le contentement ? Pour EPICURE, le bonheur s'identifie à l'absence de trouble : on peut être heureux si l'on suit la loi de la nature, c'est-à-dire si l'on se contente d'assouvir des désirs naturels et nécessaires. Ce bonheur est à portée de tous. Ce qui pourrait le rendre inaccessible

Thèse : Le plaisir et le désir contribue au bonheur mais n'est pas nécessaire . "Une théorie non erronée des désirs": Epicure pense que la plupart des hommes se font une fausse idée du bonheur et que, pour cette raison, ils échouent à le trouver. Tout désir et tout plaisir ne sont pas bons : Parmi les plaisirs, il faut choisir ("tout choix et toute aversion" ). Sur quels critères, selon quels principes, doit-on juger qu'un désir peut être satisfait ou au contraire qu'il est à fuir? Il y en a

indispensable, de même que le pensent les Stoïciens, à la différence qu'ils désignent la vertu comme étant le souverain bien. Pour eux, il est aussi impensable de calculer, afin d'acquérir la vertu, qui est illimitée et éternelle. Donc, selon les philosophes Epicure, et les Stoïciens, pour mener une vie heureuse, il s'agirait d'appréhender constamment son futur. Il faudrait donc réussir à tirer des leçons de ses actes...

Se satisfaire de la réalité, n'est-ce pas s'en tenir au présent, au besoin, se réduire à l'animalité qui broute et se contente de ce qu'il y a. => Les stoïciens: ne s'occuper que de ce qui dépend de nous. => Épicure: ne désirer que des réalités naturelles et nécessaires. Voir Epicure le texte IV => Descartes: régler ses désirs plutôt que l'ordre du monde. Lire: Vaut-il mieux changer ses désirs que l'ordre du monde?