Épicure

Est-ce une toute satisfaction est un plaisir ? Le plaisir serait alors un soulagement, disparition d’une douleur qui appelait un soulagement, une disparition soudaine de la douleur (thèse de Schopenhauer et Epicure). Si plaisir est soulagement quel soulagement caractérise le plaisir esthétique ? Epicure a une conception du bonheur proche d’une vie sans trouble et sans douleur, le plaisir est la disparition mais quand tous les maux a disparu on est alors dans un état de bien être, état de quiétude, le fait

dont on peut faire l’expérience Représentants : Locke (1632 – 1704) Hume (1711 – 1776) Condillac (1715 – 1780) II. Epicurisme Thèses : Le but de la vie est le plaisir Il faut vivre en accord avec la nature Seule existe la matière Représentants : Epicure (341 – 270 av. JC) : fondateur Lucrèce (98 – 55 av. JC) III. Existentialisme Thèses : Importance de la singularité de l’existence L’existence précède l’essence Liberté absolue de l’homme Représentants : Kierkegaard (1813 – 1855) Sartre (1905 – 1980)

parce qu’elle a des qualités ? Pour Spinoza : «  Ce n’est pas parce qu’une chose est bonne qu’on la désire, c’est parce qu’on la désire qu’elle nous paraît bonne. » I) Faut-il céder à nos désirs ? A) Le désir est le désir du Bonheur Pour Epicure, il y a entre tous les désirs 2 catégories : les désirs naturels qui viennent du corps desquels on peut distinguer les désirs naturels et nécessaires et ceux seulement naturels ; et les désirs vains basés sur de fausses opinions. Désirs

soumission. Selon le principe d'Epicure, dans lequel la liberté s'acquiert par la destruction du désir, non par sa satifaction. En effet, quant un désir est satisfait, un autre appaîrait et ainsi de suite. Vivre dans le désir est donc assurément, pour Epicure, en être esclave

ne sais pas si je dirai que le désespoir est obligatoirement maladif. Parfois, les personnes sont des situations où objectivement on conçoit qu'elles désespèrent. Sinon le titre du sujet "la tristesse d'un point de vue philo" m'a fait penser à Epicure (ou comment lutter en profitant de ce qu'on a, en appréciant les petits plaisirs quotidiens...) et Sénèque (ou comment accepter ce sur quoi on n'a pas de prise pour éviter de se rendre malheureux justement) "Mais la société qu'ils forment leur serait

vivant acheter leur place auprès de Dieu grâce aux «  indulgences » cette vente va etre fort critiquée notamment par Luther. Martini Lutheri, disputatio pro declaratione virtutis indulgentiarum La mort n’est rien pour nous. En effet, comme le dit Epicure dans la Lettre à Ménécée : « Le plus terrifiant des maux, la mort, n’est rien par rapport à nous, puisque quand nous sommes, la mort n’est pas là, et, quand la mort est là, nous ne sommes plus. Elle n’est donc en rapport ni avec les vivants, ni avec

où l’on traitait le patient selon ses maux. On y essayait d’apprendre aux gens la façon de travailler sur soi, sur la représentation du monde ou les désirs pour mieux vivre [« pratiquer la bonne vie » Aristote, « délivrée de la peur de la mort » Epicure, « débarrassée du frein de la mauvaise foi » Sartre]. Mais on ne pouvait y guérir que les hommes en bonne santé psychique et non les cas avérés de maladies psychiques [dépression, névrose, psychose…]. Visant l’universel la philosophie rappelle

c'est-à-dire satisfaire le désir. De cette manière on peut voir qu’un désir insatisfait est source de douleur, de souffrance, c’est-à-dire de malheur. Un être qui n'aurait aucun désir ne connaîtrait pas le plaisir, et donc ne pourrait pas être heureux. Epicure nous montre que la nature est bonne et donc l’homme doit être heureux. Cependant, si la nature de l’homme est d’être heureuse, pourquoi a-t-on le constant sentiment d’être malheureux ? En effet, le malheur est causé par la peur de mourir, par le désir

satisfaction est passée. En ce sens, accomplir tous ses désirs n'est en aucun cas une recette de bonheur. Quiconque choisirait cette règle de vie serait tout le temps en mouvement, et donc incapable d'atteindre la paix de l'âme que suppose le bonheur. Epicure décrit de même le plaisir en tant que mouvement, toujours en activité mais jamais satisfait, ce qui fait obstacle à l'ataraxie (absence de trouble de l'âme). Le bonheur ne pourrait pas être la somme de satisfaction de tous les désirs car cette satisfaction

Epicure, Lettre à Ménécée Quand nous parlons du plaisir comme d'un but essentiel, nous ne parlons pas des plaisirs des débauchés, ni des jouissances sensuelles, comme le prétendent quelques ignorants qui ne sont pas d’accord avec nous ou bien qui nous comprennent mal, mais nous parlons de l’absence de souffrance physique et de l’absence de trouble moral. Car ce ne sont ni les beuveries et les banquets continuels, ni la jouissance que l’on tire de la fréquentation des jeunes garçons et des femmes