Dogmatisme Et Rationalisme

négation de la raison pratique, les problèmes d'action étant tantôt réduits à des problèmes de connaissance, c'est-à-dire de vérité ou de probabilité, tantôt considérés comme ne relevant pas du tout de la raison16 ». Classique oscillation entre rationalisme dogmatique et irrationalisme. Le rôle de l'argumentation apparaît donc rattaché à la raison pratique, à tous les domaines où elle est à l'œuvre. C'est pourquoi Perelman n'hésite pas à offrir aux citoyens actifs (habitants d'une communauté idéale

se base également (aussi) sur la raison et la liberté de l’être humain, sur la tolérance et l’égalité. Elle combat l’irrationnel, la superstition et la tyrannie.. La philosophie des lumières n’était pas caractérisée par un rationalisme froid (il n’y avait pas que le rationalisme dans la philosophie des lumières) : il y avait aussi une place pour la sensibilité, pour les émotions (surtout chez Rousseau), et pour la recherche du bonheur (une citation de Voltaire qui illustre la recherche du bonheur:

fameux rôle joué par l’Église dans les romans français du XVIIIe siècle… LA CENSURE ET LA CONDAMNATION POUR « MAÎTRISER » LES AUTEURS DES LUMIÈRES Le XVIIIe siècle est principalement placé sous le signe du rationalisme philosophique. Nombreux sont les écrivains ayant rejeté tout dogmatisme (philosophie ou religion s’appuyant sur des vérités jugées incontestables en rejetant la critique) pour mettre leur confiance en la raison. Dans le rapport de force entre la direction scientifique et celle dite

et scientifique mettant à l’avant plan la primarité de la raison dans la connaissance de monde et la maitrise de la nature. (développe l’humanisme (attitude philosophique)) Le projet de Descartes Revoir les fondements de la connaissance Rationalisme : doctrine d’après laquelle toute connaissance provient de la raison René Descartes (1596-1650) Père de la philosophie De quoi peut-on être absolument certain ? Le doute est un préalable pour la connaissance 1. Double ignorance : Je pense

poser. Les philosophes voudront avoir leur propre théorie qui justifiera leur morale.   SCEPTICISME Les sceptiques veulent renoncer au dogmatisme et pratiquer le doute comme principe philosophique. Ils sont des relativistes comme les sophistes. Caractéristiques : -       ils cherchent la morale la plus efficace possible (parfois égoïste) -       ils accusent le dogmatisme intellectuel : cela évitera beaucoup de conflits -       leur succès est très mitigé car ils contredisent les philosophies de l’époque

Encyclopédie. -Jean-Jacques Rousseau, né ( 1712 - 1778 )à Ermenonville, est un écrivain, philosophe. Il est l'un des plus illustres philosophes du siècle des Lumières, bien que son œuvre philosophique et son tempérament l'aient souvent opposé au rationalisme des Lumières ainsi qu'à quelques-uns de ses éminents représentants. Ses travaux ont influencé grandement l'esprit révolutionnaire français. Il est particulièrement célèbre pour ses travaux sur l'homme, la société ainsi que sur l'éducation.

Affirmant l’autonomie morale de l’homme face à l’autorité religieuse (aspect surtout spéculatif de la liberté d’esprit), il débouche au XVIIIe siècle sur la forme moderne de l’esprit critique : appliqué à la réalité, expérimental[1]. Critique envers le dogmatisme, le libertinage refuse la notion de système philosophique ; il se constitue davantage sur une pluralité d'essais philosophiques portant sur divers thèmes, convergeant dans une même critique de la religion et du dogme[2]. Le quiétisme est une

la métaphysique pose des propositions fondamentales sans vérification empirique possible, qui sont donc contestées · Il montre que la métaphysique était au début très dogmatique. · Le projet de Kant par rapport à la métaphysique : rompre avec le dogmatisme de la philosophie idéaliste. · L'usage de la raison a des limites lorsqu'elle s'applique à des thèmes comme l'âme, Dieu ou l'infini => antinomie : la raison ne peut s’empêcher de penser au-delà de l’expérience · Pour répondre à cette antinomie

savoirs incertains. Cette incertitude se révèle tout particulièrement dans les dialogues socratiques, où par l’ironie, Socrate va conduire ses interlocuteurs à se mettre en contradiction avec eux-mêmes et à prendre conscience de la fragilité de leur dogmatisme initial (penser détenir la vérité, et ne pas vouloir discuter de cette certitude première) Exemple : dialogue entre Calliclès et Socrate dans le Gorgias, à propos du droit du plus fort. Socrate s’ingénie à mettre Calliclès en face de ses contradictions

se heurte-t-elle pas à ses propres limites ? Nous verrons ce qu'il en est lorsque l'on fait intervenir non seulement la raison mais aussi l’expérience, selon la méthode de Kant, pour connaître. Mais tentons d'abord d'identifier la fragilité du rationalisme, ce qui nous pousse à chercher la connaissance ailleurs que dans la raison pure. Deux théories nous permettent d'ouvrir les interrogation auxquelles ils avaient apporté des réponses qui nous semblent dès lors fragiles. Nous avons vu qu'ils avaient