Divertir Le Lecteur

sur des sujets sérieux en même temps ? Vous répondrez à cette question en puisant vos exemples dans la littérature, le cinéma, la caricature. Analyse du sujet Peut-on distraire et faire réfléchir sur des sujets sérieux en même temps ? Divertir penser sujets graves de manière associée Détourner examiner longuement vie/ mort l’esprit de sujets dont on ne peut préoccupations plaisanter soucis, sujets graves Occuper religion agréablement

« comique » ? Certainement pas. En effet, les quiproquos, les situations cocasses, les jeux de mots, ou encore tout autre procédé de la farce sont fréquemment utilisés par les auteurs de comédies, pour faire rire et amuser le lecteur ou spectateur. Celles-ci ont pour but de divertir en représentant les travers, les ridicules des caractères et les mœurs d'une société, souvent au moyen de l'ironie. Dans le théâtre non seulement les mots ont un pouvoir comique, mais aussi la gestuelle, les mimiques des

extraoridanaires. D'autre part nous allons rendre évident qu'un personnage représentant une humanité moyene peut etre tout aussi interessant au sein d'un roman. I.a)Le héros peut combler le besoin d'un lecteur puisqu'un lecteur ne peux pas faire ce que fais un héros. En effet, à travers leur lecture, certains lecteurs recherchent un échapatoir à l'uniformité de la vie, aux contraintes sociales(..). Ils sont retenus à leurs vie monotone et peu originale. De ce fait, le besoin d'évasion du bouquineur est nourrit

tient d'abord à la brièveté et à l'aspect imagé du récit : celui-ci frappe le lecteur par sa valeur exemplaire. De plus, l'apologue implique un double niveau de lecture, qui correspond à sa double fonction : divertir et instruire. Au 1er degré, l'apologue propose une histoire généralement simple, ordinaire avec des personnages représentatifs d'une société. Ce récit est aussi à comprendre au 2nd degré et doit conduire le lecteur à interroger son sens : quelle en est la valeur symbolique ? Quel enseignement

Les contes se sont longtemps inscrits dans la tradition orale. Au coin du feu, les conteurs ne sont plus là pour les mettre en rythmes et en intonations, mais les contes conservent malgré tout leur pouvoir sur leurs lecteurs d'aujourd'hui petits et grands. C'est ce que nous montent les auteurs des trois premiers documents; à la façon du psychanalyste pour B. BETTELHEIM dans Introduction à la psychanalyse des contes de fées, 1976 (texte 2); du point de vue de l'historien de la littérature dans l'article

un combat politique. c- La littérature engagée fait le pari d’une écriture qui pourrait se faire l’égal de l’action directe dans le monde. L’écriture littéraire (et les écrivains) détiendrait un pouvoir, une capacité à influencer, à modifier le lecteur au point de le pousser à transformer le monde. d- L’écriture-action s’est traditionnellement opposé dans l’histoire littéraire à un désir tout autre d’écrire pour le plaisir d’écrire, voire pour le plaisir de créer de la beauté. On peut résumer cela

aux questions graves que le lecteur se pose. Mais certaines de ces interrogations de l’Homme n’ont pas de réponses c’est le cas de nombreuses questions sur de multiples sujets comme la mort, l’amour, la maladie, la vie etc... Alors comment la littérature peut réconforter ou non un lecteur qui se pose des questions graves lorsque ces questions n’ont pas de réponses universelles ? Nous étudierons en premier lieu, comment la littérature peut apporter du réconfort au lecteur. Puis à l’inverse, comment

systématiquement le même objectif : convaincre et persuader le lecteur. Pour parvenir à ces objectifs, les auteurs utilisent la fiction, une invention qui reflète un message précis, le plus souvent une critique. Nous allons donc nous demander dans quelle mesure cette fiction littéraire est apte à convaincre ou à persuader le lecteur. Pour ce faire, nous étudierons en premier lieu l’efficacité du point de vue de l’auteur, puis l’efficacité du point de vue du lecteur, avant de s’attarder sur les limites de ce procédé

avec de rigoureuses règles, elle restera droite et sincère toute sa vie en refusant d'exprimer la passion qu'elle ressentait pour le duc de Nemours, par respect envers son mari. Ce sont donc des valeurs remarquables qui peuvent êtres transmises au lecteur. On retrouve aussi un portrait de la société du XIXème siècle qui nous permet de mieux la comprendre, dans Germinal écrit par Zola en 1885. Le livre nous fait une description détaillée des mineurs et des conditions de vie austères dans lesquelles

Le registre comique Ce registre a pour but de faire rire, de divertir en représentant le travers et le ridicule des hommes. L'adhésion jouera de la complicité dans le cas du registre comique qui sort le lecteur de lui-même en le divertissant. La tonalité comique consiste à provoquer le rire à l’aide de divers procédés : jeux de mots, quiproquos, répétitions, associations burlesques, etc., avec des tonalités particulières comme l’humour. La tonalité comique déforme la réalité à travers des situations