Dissertation Métaphore Filée

épique a° un tableau réaliste Hector se fait le porte parole de Giraudoux. Tableau des mutilations très réaliste, très violent. b° le détournement des valeurs guerrières. Harmonie de l'homme avec la nature. c° entre fascination et dégout Métaphore filée musicale. Faire la guerre c'est tuer des hommes qui ont eux aussi des enfants, une famille... Désacralisation de la guerre par Hector. III) Un théâtre engagé La scène se prete à une double lecture. La lacheté est un thème récurrent dans la pièce

est exalté par Paris, et non pas à sa femme - Amoureux de ses enrichissements - Ecriture poétique des toits, prose poétique, effets de style - Capable de réintégrer tous les styles -> faire du neuf avec de l’ancien - Saccard = visionnaire - Métaphores, comparaisons, donner une vision du monde -> écriture poétique - Registres : conte de fée, épique, comique. I. Description de Saccard a. Un caractère violent • Homme débordé, sous l’emprise de l’alcool. • A un rire d’enfant • Phrases coupés

brûlante ») qui montre que le plaisir contraste avec la douleur de tuer -> masochisme caché. « le spectre de mon père me conduisait-il ? », « j'ai tout quitté » -> Folie ? Le meurtre d'Alexandre est associé à la propre destruction de Lorenzo : métaphore filée : « la seule pensée de ce meurtre a fait tomber en poussière les rêves de ma vie », « ruine », « corbeau sinistre » (annonce la mort des deux.) Les interrogations de Lorenzo sur l'assassinat se doublent d'interrogations sur sa personne.

fatalité est associée à la mort. En premier lieu, dans Cage d’oiseau, la fatalité est intimement reliée à la mort. D’ailleurs, dans la première strophe :«Je suis une cage d’oiseau/Une cage d’os /Avec un oiseau» (v.1-3), l’auteur se sert de la métaphore filée afin de révéler son malaise cardiaque et affirmer que la mort est inévitable dans son cas .En fait, dans cette citation, on constate que la cage d’os fait référence à la cage thoracique de Garneau et que l’oiseau fait référence à son propre

nature du trésor à découvrir. Une histoire d’amour se dessine entre une femme et un jeune, très jeune, garçon. Davantage la désignation de la guerre comme décor de cette aventure voire comme responsable semble presque sacrilège. Enfin la métaphore filée du deuxième paragraphe joue dans cette esthétique de la provocation un rôle exemplaire. Tout d’abord elle étonne par sa trivialité voire son incongruité. Rapprocher par la comparative « aussi réel que » le rêve et un fromage, le narrateur et un

comparaison (comme, tel…). Ex : « des parfums frais comme des chairs d’enfants » (Baudelaire) La métaphore rapproche un élément (le comparé) d’un autre élément (le comparant) pour souligner leur ressemblance, mais sans mot outil de comparaison. Ex : «  la morsure aiguë du temps » (Vian) Une métaphore filée se prolonge sur plusieurs phrases. Une métaphore usuelle et courante s’appelle un cliché : «  Les yeux sont le miroir de l’âme ». La personnification consiste

LITOTE n.f. | Utilisation d'une expression suggérant beaucoup plus que ce qu’elle dit réellement | - Ce n’est pas mauvais (c’est bon)- Va, je ne te hais point Le Cid (je t’aime) | METAPHORE n.f. | Etablir une assimilation entre un comparé et un comparant qui sont rapprochés sans outils de comparaison. 
Une métaphore filée est développée et poursuivie sur plusieurs mots. | - Et tes mains, feuilles de l’automne- Les étoiles volaient dans les branches des arbres | METONYMIE n.f. | Remplacer un élément

qui travaille pour la patrie soit la France. , nous avons aussi , « le lombric baille » , « avec conscience » et « il travaille » qui nous permet de remarquer que l'homme est comparé grossièrement à un ver de terre. L'auteur s'aide aussi d'une métaphore : « denrées langagières » qui a pour but de plaire aux lecteurs. Le néologisme au vers 13 « poète lombric » est notamment très humoristique. C’est aussi à travers un registre comique que nous pouvons remarquer la construction d'un certain contraste

choses opposées (plongée et contre-plongée). C’est donc un regard de Gervaise. La rue « lui appartient », elle a le sentiment que c’est la sienne. C’est pas seulement une énumération mais aussi l’encombrement. M2taphore grandiose : la rue fleuve. Métaphore filée, avec un champ lexical du liquide pendant 15 lignes, avec une perception impressionniste. Zola fait de cette rue un paysage impressionnant, complexe. II\ Les boutiques Occasion pour Gervaise d’en exprimer les rives. Les riverains sont autant

hyperbole (« arracha des cris de terreur à tous les pensionnaires » L15) - Description physique : « cheveux rouges briques » (L8), le rouge symbolisant le mal et le violent (sang, diable, feu,...), hyperbole (« épouvantable caractère » L9), - Métaphore filée sur le thème de l’enfer : « comme si les feus de l’enfer les eussent éclairés » (L9), « ses doctrines implacables, la religion de son bon plaisir » (L11) ; on veut montrer sa déshumanisation (comparaison avec a chaudière et les animaux). 2) Le