Dissertation Métaphore Filée

l’ensemble comme la métaphore filée d’une crise intérieure. Crise qui prend une dimension cosmique dans l’esprit maladif du poète. En fait, ce ne serait pas les conditions atmosphériques qui favorisent le malaise, mais le malaise qui transfigure la perception de l’espace, le poète qui repeint l’univers aux couleurs du spleen, en qqe sorte). II L’histoire (illustrée) d’une crise nerveuse qui affirme la victoire du spleen 1°) De nombreuses analogies par comparaison, métaphore... peignent et donnent

plénitude de l'amour suggéré - "le nom de celle / Qu'aucun des deux ne trompa" v. 45-46 Réseau lexical abondant de la guerre et de la mort Grandissement épique de certaines images : - Métaphore filée, des récoltes entre le vers 21 et la fin du texte : de manière antithétique, le blé "sous la grêle" (métaphore des bombardements) trouvera un écho dans "le raisin muscat" qui mûrit à la fin v. 54 = images opposées destinées à dramatiser la situation - Le sang dont se nourrit la terre : v. 47, 51-52

verbes à l’infinitif, qui vont crescendo. 2. L’alliance entre le ciel et la terre – les étoiles sont dès le premier paragraphe l’objet d’une métaphore filée végétale, qui commence par une comparaison avec de l’« herbe ». Ensuite, on trouve les mots « touffe », « racines », et « mottes ». Il y a une progression dans les termes de cette métaphore filée : ils vont du végétal (« herbe ») à la terre (« mottes »), en passant par les racines. -Le ciel est ensuite associé à une série d’éléments terrestres :

York ! D’abord j’ai été confondu par ta beauté, ces grandes filles d’or aux jambes longues. ». Le poète parait subjugué par la ville au début du poème, puis, au fil du poème, il semble ouvrir les yeux sur une ville qu’il juge angoissante avec la métaphore filée du froid « yeux de métal bleu, sourire de givre » et socialement hypocrite : vers 13 « rien que des cœurs artificiels payés en monnaie forte ». Il exprime aussi sa nostalgie en utilisant l’anaphore « pas un » aux vers 11, 12 et 13 pour montrer

Anaphores (répétitions de mots en début des vers) v. ½- v. 5/6 Paronomase (mots aux sonorités proches ou paronymes) « l’amer »/ « la mer » - L’amour et ses dangers sont passés par la métaphore filée d’une mer tourmentée. B- Les ressemblances entre la mer et l’amour -Ces ressemblances sont explicites (être dit de manière claire) comme on peut le voir au v. 1 « pour partage » v.3 « aussi bien », v.8 « tous deux » -La première ressemblance

antithèses :……………………………… -Noter le rythme haletant, heurté des vers 273 à 276 :……………………. Les conséquences physiques sont celles d’une maladie ; métaphore filée de la maladie : symptômes d’aphasie, de paralysie, d’aveuglement, d’oppression, avec des négations « ne »vers 275. Depuis, Phèdre désire Hippolyte (au XVIIème, les bienséances interdisent d’évoquer le corps, donc Racine utilise une métaphore, celle de la déesse-vampire, vers 306. Phèdre est « possédée » physiquement par cet amour. La fréquence du verbe « voir »

ordre des mots avec mise en relief car se trouve en début de phrase C- Huître = le monde → microcosme(huître) = cosmos(cieux) : huître = petite image du monde entier → « c'est un monde », et « A l'intérieur l'on trouve tout un monde » = métaphore filée entre l'huître et le monde → « firmament » (voûte céleste) favorise le rapprochement entre la coquille et la voûte III- Une lecture allégorique A- « Parfois très rare […] à s'orner » → dernier paragraphe = une phrase → mise en valeur de

personnification de la France, ce qui permet à Cohen de nous dire comment il ressent la France, et de saisir le lecteur à ses propres émotions. Le « Et » du début de phrase créer une insistance de ce procédé. Dans la section vingt-trois, on peut voir une métaphore filée de « la langue » comme de « patrie » pour insister sur son amour de la patrie. Il partage ses émotions pour saisir le lecteur et l’attendrir. Dans cette citation «  France dont le nom est doux à dire. France, haute reine vers moi s’avançant, avec

pour décor un cadre lui-même grandiose, formé par les collines qui encadrent la vallée de la Viorne : « le large amphithéâtre qui monte de la rivière à Plassans […] cascade gigantesque sur laquelle coulaient les bleuâtres clartés de la lune ». Les métaphores de l'amphithéâtre et de la cascade font de ces murailles éclairées par les reflets de la lune, un magnifique mur de scène naturel. Mais, dans ce contexte nocturne et hivernal, c'est un spectacle assez effrayant, car il surgit dans la « paix morte

foule que ce qu’elle lui donne « des acclamations » l 5, « des compliments » l 6. La foule est anonyme elle n’existe que pour et par Bel ami b) Bel-Ami, personnage central Bel ami est un personnage principal, central, royal. Apparaît la métaphore filée qui la présente comme un roi « roi qu’un peuple venait acclamer », le jeu de mots à la ligne 41 « Georges Duroy », sa sortie de L’église apparaît comme une procession royal ligne 46, on lui fait une haie d’honneur. On a donc des connotations antiques :