Dissertation Métaphore Filée

temporels (« bientôt », « tandis que ») montrant une certaine logique dans la démarche et de prépositions indiquant le but (« pour » +infinitif ). 2) Mobilisation des sens : * Vue : « ne montre », « plusieurs petits gratte-ciel d’aluminium » (métaphore liant la forme du gratte-ciel et la couleur associée à l’aluminium). * Ouïe : « vociférations », « s’être amélioré l’oreille », « bourdonnante », « mélodie mondiale » (hyperbole insistant sur la multiplicité des discours de la part des différents

C.A.: Le poète se plaint de la puissance du temps mais il ne peut rien faire. B. Méditation du poète sur la fuite du temps 1. Métaphore filée a) « nouveaux rivages » (v. 3), « emportés sans retour » (v. 4), « l´océan des âges » (v. 5), « suspendez votre cours » (v. 24), « Coulez, coulez » (v. 28)  → Le temps est représenté par la métaphore de l´eau qui évoque l´écoulement impitoyable du temps 2. Nombreux enjambements en fin de strophe → Le temps passe trop vite 3

les deux mondes La muse fatigue le lecteur ainsi qu’un « tympanon » B – Modernité 1) « Tissu de l’éternel du transitoire » Baudelaire : * Hypotexte Ronsardien * L’éternel : expression du temps : « lointaines » : « mémoires » ; métaphore filée du bateau eau qui coule = temps qui passe 2) Mise en abîme : poème sur la poésie : « rimes hautaines » ; « lecteur »… Conclusion : « La célébration est l’art poétique par excellence : le poème en premier lieu s’émerveille de lui-même

: vient définir positivement cet « ouvrage du regard », rester ouvert et attentif a la façon de l'œil du berger. · Dans ces 4 vers on peut voir une métaphore filée entre le poète et le berger. Ø C'est en vérité le regard qui veille « comme un berger » plutôt que le poète. o L'usage de la comparaison « comme » affaiblit ou restreint la métaphore. ð Ces quatre premiers proposent une définition du « travail du poète », il s'agit de ne pas fermer l'œil, de faire office de sentinelle, de gardien

utilisation substituts. Elle se protège ou n’aime pas Alceste ? III- Complexité du personnage d’Alceste a- tragique déchiré entre amour et raison : thèmes tragiques il subit l’action “je” en objet champs lexical amour et souffrance métaphore filée chaîne/prison b- comique comique de caractère il en fait trop et est ridicule ==> décalage c- en décalage avec lui-même personnage franc mais qui ne veut pas dire son amour oxymore du titre “attrabilaire amoureux” montre contradiction

devient la métaphore filée de l’amour et de ses dangers, va et vient de la Mer. 2. Les ressemblances entre la mer et l’amour Ces ressemblances sont explicites : ("en partage", "aussi bien", "tous deux"). Le parallélisme va jusqu'au vers dix. Marbeuf examine les ressemblances, les points de contact. Le premier est l'amertume : sel pour la mer, déconvenue pour l'amour. Le second est la vie tourmentée (l'orage), le troisième est le risque de naufrage (utilisation de la métaphore filée de la navigation

secrètement Dedans la neige, où trouverai-je place Pour n'ardre point? Anne, ta seule grâce Eteindre peut ce feu que je sens bien, Non point par eau, par neige, ni par glace, Mais par sentir un feu pareil au mien. Thèmes: @ Le Renouvellement d'une métaphore clichée @ L'Amour Poison (jeux de langages) @ L'Art du Compliment Analyse: v.1 - v.7,5 : Récit de la naissance d'un amour v.7,5 - v.10 : Requête Alliteration en /j/ : "jeu" "jeta" "neige" "en ai-je" "loge" "trouverai-je" "je" Assonance

recueil «les fleurs du mal» avec le poème : l’ennemi (1857) présenté sous forme de sonnet, où il exprime ses sentiments a travers le temps qui passe, dans un poème construit sur une métaphore sur le thème des saisons et du climat. Nous étudierons dans un premier temps la fuite du temps, puis dans un deuxième temps la métaphore sur les saisons, ou le poète décrit les étapes de sa propre vie. Tout d’abord, nous allons analyser la fuite du temps et donc comment Baudelaire évoque un sentiment d’impuissance

« un accès d’horrible tristesse ». -les larmes d’Eugène se produisent dans une atmosphère fantastique : « le jour tombait », « un humide crépuscule agaçait les nerfs ». Le narrateur peint son personnage dans une posture de héros romantique. La métaphore « ensevelit » montre que Rastignac enterre ici sa jeunesse et ses bons sentiments, de cette perte naît la mélancolie (le mal du siècle). Le mot « larmes » est répété trois fois et le lyrisme est présent dans l’amplification du rythme, dans la sacralisation :

contre le Duc ; métaphore des noces pr parler du crime rend compte de cette ambiguïté. B) images de Florence Florence personnifié  dotée de caractéristiques morales, certains s’adressent à elle. - Anaphore  « adieu, Florence » - Appositions, bannis montrent différentes facettes du perso « mère stérile », « la bâtarde », « spectre hideux » (comme L.) - Marquise, image compatissante  « Tu es belle mais que tu es triste ! » C) Images de la vie et de la vérité Métaphore filée de l’océan faite