Dissertation Métaphore Filée

ombre » au vers 7 et 8. Puis quand il y a une personnification des machines avec des animaux dangereux, féroces au vers 7 « sous les dents d’une machine ». Et il y a une insistance sur la peur des enfants, face à d’horribles machines, grâce à la métaphore filée au vers 8 « monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l’ombre ». On reconnait également un endroit sale au vers 12 « la cendre est sur leur joue ». L’auteur, utilise différents procédés de ponctuation afin de changer le rythme là où il le

phrase : « … il avait laissé germer dans son cœur cette graine, cette petite graine de tendresse qu'elles sèment en nous si vite, et qui pousse si grande. » le justifie pleinement. b) La figure de style qui met en valeur ce sentiment est la métaphore filée : « … il avait laissé germer dans son cœur cette graine, cette petite graine de tendresse qu'elles sèment en nous si vite, et qui pousse si grande. »  Paul Brétigny continue de résister à ce sentiment parce que c’est un homme volage et inconstant

main en main jusqu’à la mort «  donne un côté matérialiste. ( Métaphore. Point de vue négatif, particularité de la monnaie : elle s’échange, quelque chose de transitoire. Aspect matérialiste - «  L’eau des sources est plus constante que vos larmes » ( comparaison des larmes de Perdican avec l’eau. Perdican ne pleure pas beaucoup, renvoie à l’image de l’orgueil. L’amour ne lui cause pas beaucoup de souffrance. - Comparaison filée du voyageur. Idée de changement, il se vante, côté léger du

modifier l’échelle du regard et d’exprimer le caractère merveilleux de l’objet - citations commentées : le terme « monde » que nous trouvions dès le §1 (« un monde opiniâtrement clos ») est repris au §2 : « tout un monde »8. L’image devient alors métaphore filée : « firmament » 9 évoque la coquille ferme de l’huître mais aussi la voûte céleste ; la parenthèse de « à proprement parler » 9 insiste sur le fait que le poète nous demande de prendre l’image au pied de la lettre. Dans la proposition « les

public et non plus seulement à Arlequin. 
II) Le burlesque3 et le comique de mots 
 a) Le burlesque 
Le burlesque est lié à la parodie du duo d'amour : un sujet noble (l'amour) est traité de manière prosaïque, triviale. – C'est d'abord la métaphore filée du voyageur (l.3 à 6) qui ramène l'amour à une réalité prosaïque qui manque de noblesse : voir la trivialité des termes qui renvoient à un univers bassement matériel (« constitution bien robuste », « fatigue », « mauvais gîte », « loger petitement

telle sorte pour montrer la difficulté qu’éprouvent les « quatre hommes de l’équipage » l.17, à surmonter l’inventaire. Aussi, les sous-sols de la boutique sont comparés à des « écoutilles » l.28 qui rappel encore l’idée du navire. Cependant, cette métaphore renforce le réalisme car elle permet au lecteur de mieux s’imaginer la difficulté mais surtout car elle compare quelque chose de très réaliste qu’est l’inventaire dans le commerce. Il s’agit ensuite pour l’auteur de nous présenter des personnages

les langueurs des longues heures passées ». La vision baudelairienne de l’amour trouve son appui essentiellement sur trois figures de style : - La métonymie (et plus précisément la synecdoque) : la chevelure qui renvoie à la bien-aimée. - La métaphore filée : respirer l’odeur de tes cheveux, l’océan de ta chevelure, l’ardent foyer de ta chevelure, la nuit de ta chevelure, etc. - Les trois différentes comparaisons : comme un homme altéré / comme un mouchoir / comme l’âme des autres. D’autres procédés

exprimée. Pur répondre à cette question nous étudierons dans un premier temps la relation entre le poète et son pays natal et dans un second temps l’exil vécu par le poète. I/ La relation entre le poète et son pays natal. Le sonnet repose sur une métaphore filée. * V3 : Le locuteur, qui est ici le poète, avec la comparaison « comme un agneau » est comparé à un agneau, symbolique judéo-chrétienne : l’agneau est l’animal sacrifié, une victime inoffensive et appréciée des dieux. Le locuteur suggère

distances. Ses sens sont toujours mis en éveil par le contact avec la chevelure : « je vois », « je sens », « j'entends ». Son âme et son esprit aussi sont mobilisés, mais sur un mode passé, du souvenir, de l'évocation. - La reprise approfondie de la métaphore de la mer (« l'océan de ta chevelure », « un port fourmillant », « voilures et mâtures », « grandes mers », « moussons, « navires », « un beau navire », « le roulis imperceptible du port »). - Le thème du voyage, de l'évasion, que permet la chevelure

souffrances minute après minute » (l12) « ils n’avaient jamais regardé en face, si longtemps l’agonie d’un innocent » (l17-18). Les spectateurs sont confrontés à une réalité qui devient concrète = La mort d’un innocent L18 à 51 Métaphore filée de la peste qui devient incontrôlable Douleur matérialisée par les larmes (l31) La peste s’acharne contre un innocent → idée du crucifié (l36) Impuissance des adultes (qui sont extérieur à lui) - Tarrou essaye d’apporter du réconfort