Dialogue Avec Un Sauvage

II de son œuvre _Supplément au voyage de Bougainville. _Ce livre parut en 1796, il expose un dialogue sur le Voyage autour du monde, récit du navigateur français Bougainville qui raconte son expédition maritime à Tahiti. Dans cet extrait il s’agit d’un vieillard qui s’adresse à Bougainville. Quelle image Diderot donne-t-il des Tahitiens ?En tout premier lieu nous allons aborder l’éloge de la vie sauvage évoqué dans le discours du vieillard pour ensuite la comparer à la civilisation européenne et

du Français en opposition avec l’aspect sauvage de l’Amérindien prend une grande place dans les deux textes. Cela peut porter à penser que le colonisateur est présenté de façon similaire. Sous-argument 1.1 Sous-argument 1.2 Dans Extraits de voyage en Nouvelle France, les Français sont présentés principalement comme : Fidèles à leur roi, croyants, amicaux et pacifiques. Les articles qu’ils possèdent sont aussi mis à l’avant plan. Dans le dialogue de Lahontan, le baron semble faire l’éloge

sur une réflexion personnelle qui touche à tous les domaines. Ainsi, dans le premier livre des Essais paru en 1580 (première édition), l'auteur s'interroge sur le regard que l'Europe porte sur les indigènes du Nouveau Monde, souvent qualifiés de "sauvages" ou de "barbares". Sans avoir voyagé mais instruit par son secrétaire qui, lui, avait participé à une expédition vers ces nouvelles terres, et par ses lectures, Montaigne remet en cause cette vision européenne de l'Autre. Nous montrerons ainsi ce

Nous allons voir en quoi et de quelle façon nous arrivons à comprendre les us et coutumes de l'Autre, avec pour commencer comprendre la relativité avec en premier lieu un genre narratif mais fictif puis en second lieu un genre narratif gentil du bon sauvage. Puis, pour finir comprendre les us et coutumes avec en premier point le genre argumentatif puis en deuxième point un genre narratif mais cette fois-ci réel. Tout cela va nous permettre de répondre à si la littérature peut aider à prendre conscience

Point de vue : Non. Le « sauvage » n’est pas présenté de façon similaire par Cartier et Lahontan. Ils semblent être un peuple plus ou moins évolué dans chacun des textes. Argument principal 1 |       À première vu, le « sauvage » est présenté de façon similaire dans les deux textes puisqu’il y est décrit comme étant peu évolué et inférieur aux Français. | Sous-argument 1.1 | Sous-argument

humaniste. Essais = Expériences Critique la pensée occidentale. Problématique : Comment Montaigne m’est-il en valeur les indiens de cette page ? Plan : I. Montaigne raconte une histoire II. Critique des Espagnols III. L’image du bon sauvage Développement : I. Montaigne raconte une histoire 1. Situation a) Les espagnols arrivent en Amérique : « espagnols prirent terre » (l.2) b) Situation générale, non précise : « En naviguant le long des côtes à la recherche de

niveau de langue employé dans la narration ou les dialogues ❑ une figure de style (métaphore, comparaison, antithèse, énumération, autre) ❑ un procédé narratif (description, narration, portrait physique ou psychologique, dialogue, monologue, type de narrateur ou de narratrice, digression, vocabulaire imagé) Description Deux exemples tirés de l’œuvre : guère les navires. » (p. 1) « La maison de la veuve […] ouvrait ses trois fenêtres sur cet horizon sauvage et désolé. » (p. 1) (1) On retrouve aussi l’amour

et le mythe du bon sauvage Œuvre/ Thème /Genre : Thème : critique société occidentale, éloge bon sauvage, dialogue argumentatif à tonalité polémique Genre : Roman fiction Registre : polémique Introduction : Diderot Parler de l’œuvre Courant des lumières Dans ce texte Diderot donne la parole aux victimes de la colonie par intermédiaire du vieillard. Problématique : Comment ce discours en forme de réquisitoire fait il de manière sous jacente l’éloge du bon sauvage ? Le plan : I

une réflexion personnelle qui touche à tous les domaines. Ainsi, dans le premier livre des Essais, paru en 1580 (première édition), l’auteur s’interroge sur le regard que l’Europe porte sur les indigènes du Nouveau Monde, souvent qualifiés de « sauvages » ou de « barbares ». Sans avoir voyagé mais instruit par son secrétaire qui, lui, avait participé à une expédition vers ces nouvelles terres, et par ses lectures, Montaigne remet en cause cette vision européenne de l’Autre. Nous montrerons ainsi

CANDIDE: LE PAYS DES OREILLONS (Chapitre 16) Le mythe du bon sauvage: Pendant le XVI de nombreux récits de découverte apparaissent : Amérique -> Christophe Colomb, Brésil -> Jean Léry XVII : Pacifique et Polynésie -> Bougainville Tous ces voyageurs font la description d’un être naturel, de pays idylliques fonctionnant sur les règles de partage et de solidarité, contrairement aux sociétés européennes. Tous ces récits présentent le sauvage comme un être naturellement bon et déplacent la sauvagerie