Le sauvage vu par cartier et lahontan
Argument principal 1 | À première vu, le « sauvage » est présenté de façon similaire dans les deux textes puisqu’il y est décrit comme étant peu évolué et inférieur aux Français. | Sous-argument 1.1 | Sous-argument 1.2 | Cartier décrit les « sauvages » comme ayant peu de biens matériels de la vie courante. | Lahontan décrit la pauvreté du mode de vie des « sauvages » qui est moins évolué que celui des Français. | Illustration 1.1 | Illustration 1.2 | « […] et on les fit boire et manger, et faire grande chère. » (l.20) « Et accoutrâmes ses dits fils de deux chemises, et en livrées, et de bonnets rouges, et à chacun, sa chaînette de laiton au col. […] Et puis donnâmes aux trois que nous renvoyâmes, à chacun sa hachette et des couteaux, dont ils furent très joyeux. » (l.23-25) | « Pourrais-je vivre de bouillons, de pain, de blé d’Inde, de rôti et bouilli sans poivre ni sel ? » (l.9) « Ne boire que de l’eau d’érable ? Aller tout nu durant l’été, me servir de vaisselle de bois ? » (l.10-11) | Explication 1.1 | Explication 1.2 | Les Français offrent plusieurs objets aux Amérindiens lesquelles acceptent avec joie car ils n’ont pas ce genre de matériel. | En énumérant plusieurs aspects de la vie de l’Amérindien qui comparativement à ceux des Français semblent moins évolués, Lahontan accentue grandement l’infériorité des « sauvages » face aux Français. |
Argument principal 2 | D’un autre côté, le « sauvage » est présenté de façon différente puisque dans le texte de Cartier il semble naïf et facilement manipulable alors que dans le texte de Lahontan il semble intelligent et peu influençable dans ses opinions. | Sous-argument