De La Cruauté Montaigne

la q° de l’identité individuelle un véritable objet de réflexion. Ces trois éléments sont relatifs à : · Aux travaux de pré-humanisme · A l’ humanisme de la bienveillance (Montaigne) · A l’affirmation du sujet autonome càd l’affirmation du moi comme substance (Révolution introduite par Descartes) * Le premier moment porte sur les travaux

Séquence 1 : L’Argumentation Séance 1, texte 1, « Sur Démocrite et Héraclite » Intro Montaigne Montaigne cite ces 2 philosophes présocratiques : 1. Démocrite représente l’optimisme 2. Héraclite représente le pessimisme. Montaigne se présente comme un penseur détaché de l’autorité de l’église qui a été dominante au Moyen-âge pour ce placer sous celle des philosophes de l’antiquité gréco-latine. 3. Du IV siècle au XVI siècle c’est le Théocentrisme 4. A partir

animaux, ce qui engendre une formidable modelabilité en matière de relations sociales. Ces connaissances et la capacité d'empathie lui permettent donc de s'élever au dessus du règne animal, et donc de la cruauté de la nature. Or la barbarie, dans un certain sens, est synonyme de cruauté et de brutalité. La culture étant ce qui donne à l'homme son humanité, alors la barbarie, elle, est synonyme d'inhumanité. L'homme en temps que tel n'existe que de part de sa culture, alors il n'existe que de

», sa « singularité d’esprit ». En homme secret, son cercle de proches ne tient qu’en quelques noms : sa fille Colombe, ses amis Mme de Lambert et Mme de Tencin, Fontenelle et Crébillon père, ses acteurs fétiches Silvia et Thomassin, ses maîtres Montaigne, Pascal, La Rochefoucauld et Malebranche. Il meurt à Paris en 1763. Marivaux était un personnage d’une telle discrétion qu’on ne saura pas quelle place a tenu l’amour dans sa vie, thème fétiche de l’auteur au théâtre. 5 LE THEÂTRE DE MARIVAUX

ont lieu. Le premier en 1542, puis le plus grand en 1548 à Bordeaux ». Le connétable de Montmorency rétablit l'ordre de manière impitoyable. Si l’on s’en rapporte à l’écrivain Jacques-Auguste de Thou, ce serait sous l’impression de ces horreurs et cruautés commises à Bordeaux, que la Boétie compose le « Discours de Servitude Volontaire ». Beaucoup s’imaginent que la servitude est forcée, alors qu’elle est toute volontaire. En tout cas c’est ce que la Boétie veut prouver dans son « Discours ». En effet

l’honnêteté ou ce qu’on appelait jadis la beauté morale. Montaigne, dans « Des cannibales », appelait à un retournement des valeurs, à la reconnaissance du même et de l’autre, de l’identité et de la différence. La question éthique de la vie bonne était pour lui inséparable de la question politique et de la guerre civile : l’éthique et le politique étaient indémêlables. Montaigne liait la morale privée et la morale publique contre la cruauté ; il défendait l’application d’une moralité privée dans la

centre de l’ Univers) de l’Europe, au profit d’un héliocentrisme (le Soleil devenant le centre de l’univers) qui révolutionne les systèmes de pensée,le relativisme émerge de cette diversité des hommes et des coutumes. Dans les Essais, Montaigne nous dresse un portrait de ce qu’on appellera par la suite le « bon sauvage » en nous vantant les mérites de ces peuples pures et innocents,à l’inverse des Européens,vils et cruels.Il fait l’éloge de leurs qualités aussi bien morales,la loyauté

plus souvent une écriture personnelle à travers laquelle l’auteur livre une réflexion, voire ses impressions. Les sujets traités sont essentiellement d’ordre philosophique, moral, politique, artistique et parfois religieux. On considère que c’est Montaigne (1533-1592) qui crée le genre en intitulant son œuvre Essais. Dans cette œuvre répartie en trois livres, il analyse notamment les faiblesses de la nature humaine et ses imperfections ; il confronte les civilisations et réfléchit sur la notion de

immeubles détruits, représentés par des formes géométriques chaotiques et sombres. Les corps peints sont désarticulés pour insistés sur les personnes détruites, ou mortes suite à ce bombardement. Le taureau, en arrière plan à gauche représente la cruauté et la force brutale. Il y a cependant un tout petit signe d’espoir dans ce tableau : une main tient une toute petite fleur. Les représentations ne sont pas réalistes, par les lignes droites, les forts contrastes de tons, le chaos régnant le peintre

vocabulaire courant jugé trop familier, par le mélange des genres comiques et tragiques. Victor Hugo souligne ainsi qu’il se montre plus audacieux que ces peuples, dont il se moque en les qualifiant de « toutous », alors qu’ils étaient célèbres pour leur cruauté.· Le poète fait preuve d’humour dans le jeu d’amplification épique car il se donne des pouvoirs magiques : il provoque une tempête.· Le « cercle » mentionné au vers 20 est celui des règles poétiques, dans lequel la majorité des poètes restent, afin