De La Cruauté Montaigne

meurtrières. Jean-Paul Sartre, Huis Clos, dénouement. Lectures et activités complémentaires Deux textes pour appréhender le genre de l’essai : Montaigne, Essais, « Sur Démocrite et Héraclite », I, L, (1588 -1592). Paul Valéry, Regards sur le monde actuel (1931), incipit. Une question de corpus : quelle vision de l’autre donnent les textes du corpus ? Montaigne, Essais « Des Cannibales », I, 31, 1580. J. Swift, Voyage de Gulliver, 1726. T. Ben Jelloun, Le racisme expliqué à ma fille, 1998. J-C. Carrière

intelligence et montrer que les Indiens étaient des Hommes. 6) a et b. Bartolomé de Las Casas est celui qui défendait sa thèse avec le plus d'émotion. En effet, il est passé par le sentiment de tristesse, de compatis : (l.238, 239) « J'ai vu des cruautés si grandes qu'on n'oserait pas les imaginer. Aucune langue, aucun récit ne peut dire ce que j'ai vu. » dit-il sur un ton très ému. On nous l'indique dans les didascalies présentes juste au-dessus de cette dernière réplique. Il est également passé

répondre à ce double questionnement, cette séquence propose un parcours à travers les époques, depuis le XVIe siècle, époque de l’humanisme, jusqu’au XXe siècle. Les textes proposés en lecture analytique appartiennent chacun à un siècle différent. Montaigne intervient avec ses Essais à la fin du XVIe siècle, et exprime une position critique sur la façon dont les Européens de son temps considèrent les indigènes d’Amérique. Dans Les cannibales, chapitre des Essais réservé à cette question, il examine

plus souvent une écriture personnelle à travers laquelle l’auteur livre une réflexion, voire ses impressions. Les sujets traités sont essentiellement d’ordre philosophique, moral, politique, artistique et parfois religieux. On considère que c’est Montaigne (1533-1592) qui crée le genre en intitulant son œuvre Essais. Dans cette œuvre répartie en trois livres, il analyse notamment les faiblesses de la nature humaine et ses imperfections ; il confronte les civilisations et réfléchit sur la notion de

l’autre. Mais c’est aussi rester fidèle à une certaine idée de l’humanité et de soi. La première question évidente qui nous vient à l’esprit est : « Y a-t-il donc autant de morale que d’individu ? » Bien sûr que non, mais quand je m’interdis la cruauté, le racisme ou le meurtre, je sais que ce n’est pas seulement une question de préférence qui dépendrait du goût de chacun. Ce qui nous plonge au cœur de la morale et nous fait nous demander que se passerait-il si tout le monde faisait comme toi.

afin de révéler au plus grand nombre l'horreur dont de nombreuses personnes ont été victimes à cause, principalement, de cet homme. Il y introduit aussi des personnages tirés de son imagination, dont la plupart sont faibles, afin d'accentuer la cruauté de ce personnage. Son but principal étant de choquer et de faire réagir le lecteur, il utilise l'argumentation directe et un registre très violent. Ensuite, à travers la fiction, le lecteur assiste à une histoire, la plupart du temps, saisissante

nombreux écrits ont utilisé des animaux pour décrire des traits de caractère humains. Dans Le Prince, Machiavel explique qu’un homme politique doit à la fois se comporter comme un lion et comme un renard. Le lion est le symbole de la force et de la cruauté, c’est le roi de la jungle. Le renard est lui l’animal qui symbolise l’intelligence et la malice. Un bon prince doit savoir être intraitable et malin pour conserver le pouvoir. Si tu t’intéresses à ces questions, tu peux consulter le livre du philosophe

font l’apologie de la paix et de la liberté. Ainsi, alors que les humanistes sont très optimistes à la fin du XVème siècle où ils trouvent l’homme naturellement bon, ils le sont beaucoup moins au milieu du XVIème, où l’homme se révèle d’une grande cruauté par exemple lors du massacre de la Saint Barthélémy en 1572. c) Les moyens adoptés pour transmettre leurs idées Pour diffuser leurs principes, les Humanistes bénéficient d’une aide alors récente : l’impression en 1454. Grâce à elle, ils publient

qui soulève des "questions". A/ Opposition Mathématicien / Voyageur : 1. Mathématicien : homme d'étude, jeune, vie stable et méditative, univers clos, condition retirée : érudit, savant : Le philosophe selon conception du XVIème siècle (cf. Montaigne : homme de cabinet et livres). 2. Voyageur : homme d'action, vie errante, active, dynamique, sociale, utile, univers vaste: Le philosophe selon conception XVIIIème siècle (cf. Dumarsais : activité concrète et sociale). Conclusion : - pas d'unité

fond de soi ce que l'on est, on acquiert un savoir sur autrui. En méditant sur soi, on comprend les autres. Cela est une fliation vraiment importante que Socrate initie. Elle relie ensemble des philosophes comme Platon et Socrate, Saint-Augustin, Montaigne, Rousseau, Nietzsche. Le désir de ne rien cacher et de se peindre complètement. La méthode socratique Socrate s'est fait beaucoup d'ennemis parce qu'il allait vers les gens et les interrogeait sur ce qu'ils étaient censé le mieux connaître. Exemple