De La Cour La Bruyère

pendant plus de 20 ans. 6) a. D'après le plan du document numéro 3 page 33, le palais se situe entre « l'espace des hommes » et « l'espace des dieux ». b. La chambre du roi se situe au centre du palais entre « la galerie des glaces » et « la cour de marbre » qui sont des lieux de hautes richesses. La position centrale de la chambre du roi montre que le pouvoir royal est la monarchie absolue portée à son apogée dominant par le luxe et la richesse. Le roi soleil brille de pouvoirs sur la noblesse

des règles imitées de l’antiquité (par exemple celle de la bienséance) dans un humanisme moral tourné vers un rigueur et l’éternité de l’œuvre. De l’autre, des poètes galants, ou des esprits nouveaux, critique de la génération des classiques de la cour, s’appuyant sur les goûts du public parisien. Le déroulement de la Querelle: Perrault déclencha les hostilités (conflits) le 27 janvier 1687, lorsqu’il présenta, à l’occasion d’une guérison de Louis XIV, à l’Académie française son poème Le siècle

vices de leur temps. Cette fonction de la littérature remonte à l’Antiquité : le « romancier » latin Pétrone fait dans Le Satiricon la satire des affranchis sous les traits de son personnage Trimalcion. Au xviie siècle, La Bruyère dans ses Caractères souligne les travers de la Cour. Molière veut « attaquer par des peintures ridicules les vices de ce siècle », La Fontaine, dans ses Fables, ridiculise les défauts de son époque ainsi que « Les Animaux malades de la peste »]. Montesquieu dénonce la vanité

Rambouillet,ou Mme de Rambouillet recevait ses invités triés sur le volet--ou bourgeois,tel le salon de Mlle de Scudery.Cette société précieuse,éprise de conversations raffinées et de moeurs galantes,a trouvé refuge dans les salons pour fuir la vie de cour,devenue tres grossière sous Henri IV.Les mondains improvisent des vers dans une poésie éclectique ou se ressent l'influence de Malherbe dans la recherche d'une langue pure,et qui célèbre leur petite société et non plus les Grands du royaume.Le style

FICHE BAC : Les Caractères La Bruyère | INTRODUCTION: Avec la lecture des Caractères, on arrive facilement à cerner le pessimisme de l’auteur face à la nature humaine. nous étudierons dans un premier temps comment fait-il une description de leur mœurs. Afin d'étudier dans un second temps la morale de cette remarque. PLAN DETAILLE: I- Une société décadente 1°) Un regard naïf énonciation société française : la cour de Louis XIV L'indéfini ==> 3eme personne du pluriel

tout indiffèrent » le texte de La Bruyère est un texte en prose qui comporte des anaphores « Jamais vus assi, jamais fixes et arrêtés ». Des parallélismes de construction  «  Attelés tous deux aux char de la fortune et tous deux éloignés de s’y voir assis ». Des interrogations rhétoriques « le dirai-je ». des accumulations « l’empressement, l’inquiétude, la curiosité, l’activité » 3. L’humour des deux textes repose sur la satire de la cour. On distingue le registre comique et épique

l’on est capable de prévenir. - Fin XVIIIe siècle : la vaccination apparait + baisse des épidémies 2) Les malles d’Helvétius - XVIIIe siècle : malles d’Helvétius. Helvétius est un médecin hollandais qui officie en France à proximité de la cour, il va vulgariser de nouveaux remèdes. L’ancienne médecine est en perte de vitesse. Les remèdes sont efficaces et intéressent de plus en plus la monarchie. 1710 : on envoie des malles (dans les généralités) à destination de la population en cas d’épidémie

s’agit d’évoquer la vie de la cour à Babylone, on s’aperçoit de troublantes similitudes avec la cour que connaît Voltaire dans la France du XVIIIème siècle : « On était étonné de voir qu'avec beaucoup d'esprit il n'insultât jamais par des railleries à ces propos si vagues, si rompus, si tumultueux, à ces médisances téméraires, à ces décisions ignorantes, à ces turlupinades grossières, à ce vain bruit de paroles, qu'on appelait conversation dans Babylone ». Critique de la cour de France. L'Orient n’est

s’agit d’évoquer la vie de la cour à Babylone, on s’aperçoit de troublantes similitudes avec la cour que connaît Voltaire dans la France du XVIIIème siècle : « On était étonné de voir qu'avec beaucoup d'esprit il n'insultât jamais par des railleries à ces propos si vagues, si rompus, si tumultueux, à ces médisances téméraires, à ces décisions ignorantes, à ces turlupinades grossières, à ce vain bruit de paroles, qu'on appelait conversation dans Babylone ». Critique de la cour de France. L'Orient n’est

l’Édit de Nantes 1685 -Œuvres/auteurs : La Bruyère ( très chrétien ) a une vision assez pécimiste de la société. Il propose une peinture de son époque dans les caractères : => exemples concrets ( anecdotes). => diversité de formes ( plaire et instruire ) -> portraits, maximes, dialogues. -But : montrer les vices et les vertus en action . Questionnements possibles: .Comment à travers un portrait l'auteur fait-il la satyre de la cour ? .Comment l'auteur fait-il éclater le ridicule