De La Cour La Bruyère

exclure tout ce qui peut choquer les conceptions morales du public raffiné, de la cour en particulier (propos indécents, spectacles sanglants…) ex : Bossuet (1627-1704) : Oraisons funèbres Molière ( 1622-1673) : Le Misanthrope La Fontaine ( 1621-1699) : les Fables La Rochefoucault (1613-1680) : Maximes Pascal (1623-1662): Pensées Boileau (1636-1711) : l’Art poétique Racine (1639-1699) : Phèdre, Andromaque La Bruyère ( 1647-1696) : Les Caractères Mme de Sévigné ( 1629-1696) : Lettres Idéal classique

châteaux français. Il est symétrique et comporte un corps central avec trois avant-corps pour la façade Nord et une pièce en rotonde pour la façade côté jardin. Il y a quatre pavillons, deux de forme rectangulaire côté jardin et deux de forme carrée côté cour. Les ailes n’existent presque pas dans ce type d’architecture. III- Littérature Le classicisme a aussi inspiré beaucoup d’auteurs dans le domaine du théâtre, du roman, de la poésie, ainsi que les moralistes de l’époque. 1) Le théâtre « Qu'en

Quelle est la cible commune visée dans les deux textes ? Quelles sont les critiques formulées par les deux auteurs ? (2 points) Ce sont les courtisans qui sont visés respectivementpar La Fontaine et La Bruyère : ils sont désignés par les termes « Messieurs les Courtisans » (v.16), « la cour » (v.17), mais aussi par les impersonnels « chacun » et « on » dans la fable « Lesobsèques de la lionne », et par les phrases « Ils ne sont pas les Satellites1 de Jupiter, je veux dire ceux qui pressent et

Introduction Ecrivain du XVIIème siècle, représentatif du classicisme. On le range parmi les moralistes. Son œuvre, Les Caractères, constituée d'observations sur la société de l’époque, est en fait une satire de la cour, de la noblesse, du clergé, et même du roi. On notera la forme concise de ces observations contenues généralement dans un texte ramassé se réduisant à quelques phrases. On pense à des maximes ou des aphorismes. Les cinq extraits proposés sont issus de différents chapitres des

scène permet d’exprimer la « magnificence », premier mot du roman. I. La magnificence : la cour comme théâtre du paraître A. Le cadre de la nouvelle historique Les grds événements de la cour comme repère de l’intrigue : célébration d’un mariage et formation d’un couple amoureux. Le cadre historique qui sert à la vraisemblance, car il justifie le retour de M. de Nemours à la cour. B. La cour, comme théâtre du paraître On joue ds un cérémonie réglée comme une représentation. La

ainsi que d’un article tiré des Caractères de La Bruyère, « Du Souverain » et enfin d’un extrait d’Antigone, de Jean Anouilh. À partir de ces trois extraits, les deux premiers datant du XVII° siècle et le dernier du XX°, la question se pose de savoir qu’elle conception du pouvoir y est décrite. Dans les trois exemples, on remarque une description du pouvoir absolu, pouvoir représenté métaphoriquement en ce qui concerne La Fontaine et La Bruyère, de manière directe en ce qui concerne Anouilh

écrit de très nombreuses pièces de théâtre relevant de divers registres. Présentant ses pièces à la Cour du Roi Louis XIV, il a parfois été soumis à la censure, c'est le cas de « Tartuffe ». Montaigne, écrivain humaniste du 16ème siècle Camus, écrivain du 20ème siècle, a inventé le mouvement de l'Absurde La Fontaine, fabuliste fortement inspiré par les écrivains grecs et latins de l'Antiquité La Bruyère, essayiste du 17ème siècle Voltaire, écrivain extrêmement talentueux du siècle des Lumières Racine

[pic] Né à Florence le 28 novembre 1632, Giovanni Battista Lulli gagne la France à l’âge de quatorze ans. Il est alors rattaché à la maison de la duchesse de Montpensier. Entrant dans la cour de Louis XIV, Lully sait mettre en valeur ses talents de musicien, ce qui lui permet en 1653 d’être nommé compositeur de la musique instrumentale du roi. Excellent musicien et danseur, Lully est aussi très bon courtisan. Son ambition est de créer un style proprement français. Sachant gagner

tant de haine à son égard et tant d’agitation, Molière écrira pendant moins de quinze ans presqu’une trentaine de pièces parmi lesquelles plusieurs sont des chefs-d’oeuvre. Et grâce aux commandes royales, il va concevoir des divertissements pour la cour sous forme des comédies-ballets. La danse, le chant, les feux d’artifice, entre autres, se mêlent à l’action théâtrale pour en faire un spectacle. Le Malade imaginaire exploite à merveille ces techniques spectaculaires. 2.6 L’action dramatique

partie satirique : critique de Rome de la cour et des courtisans * Troisième partie élogieuse : il fait l’éloge de grandes personnalités de l’époque (Le roi) Autres livres : Les antiquités de Rome ; Défense et illustration de la langue française 2) Ronsard ( 1524-1585) Il suit lui aussi les cours de Dorat ; crée la Pléiade et en est le chef de file. Il publie Odes et Amours qui sont de grands succès et devient le poète officiel de la cour du roi Henri II. Ses poésies sont lyriques