Ddhc Et Les Femmes

PréambulePréambule olympe de gouges Problématique En quoi le préambule et les 7 premiers articles de la DDFC participent-ils au combat pour le droit des femmes ? Je vais procéder à la lecture de l’extrait. Annonce du plan linéaire Dans la première phrase du préambule, Olympe de Gouges appelle les femmes à se constituer en Assemblée nationale. Puis, dans une deuxième partie, de « Considérant que l’ignorance » à « et au bonheur de tous », elle explique pourquoi une constitution égalitaire

GAZZOLA Aurane 1G07 Dissertation de Français SUJET : Quelles différentes formes prennent les combats d'Olympe de Gouges en faveur de l’égalité entre femmes et hommes dans sa Déclaration des Droits de la Femme et de la Citoyenne ? En France, le XVIIIe siècle est marqué par les combats des Lumières et l’obtention de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen. Cela entraine une révolte du sexe féminin, dont les droits et devoirs sont omis au sein de la déclaration. Le XVIIIe siècle français

nouvelles valeurs et de nouveaux principes apparaissent : la liberté et l’égalité. Dans cet élan révolutionnaire, les femmes sont tenues à l’écart, délaissées et négligées. Femme de lettre puis femme politique, Olympe de Gouges prend la plume dans la Déclaration des droits de la femme et la citoyenne (DDFC) en 1791 afin de revendiquer le droit des femmes et d’acheminer la société vers davantage d’égalité, notamment vers l’égalité de genre. En quoi la Déclaration

des femmes par rapport aux hommes, qui a été rédigé dans le but d’être présenté à l’Assemblée législative le 28 octobre 1791 pour y être adopteepastiche critiqueOlympe de Gouges y défend avec une ironie dirigée à l’encontre des préjugés masculins, la cause des femmes, écrivant ainsi que « la femme naît libre et demeure égale à l’homme en droits texte juridiquePostambule : Elle met en exergue les droits dont les femmes doivent bénéficier au même titre que les hommes. elle apostrophe les femmes en s’adressant

prit la plume pour diffuser ses idées révolutionnaires. En 1791, alors que le roi s’apprête à ratifier la constitution, olympe de Gouges réécrit la DDHC, avec une revendication claire : réintroduire les femmes comme les égales des hommes dans l’ordre social que la nouvelle constitution établit. Particularité éventuelle du texte Fait penser à la DDHC (pastiche critique car De Gouges considère qu’elle est incomplète) 3. Lecture de l’extrait Points de vigilance (diérèses, mots difficiles…) -Légitimité=

entre les femmes + affirme l’existence d’une union féminine. ODG s’inclut dans cette énumération et apparaît comme leur porte-parole.NB – différences avec l’hypotexte en féminisant la première phrase « Les représentants du peuple français » >présente les femmes comme des citoyennes à part entière du peuple français >souligne que les femmes ont-elles aussi des requêtes. L’utilisation du présent montre que cette déclaration exige une lecture immédiate.>exprime la revendication des femmes à jouer

articles.Mouvement 1● Ouverture du texte par énumération ternaire qui produit un effet rhétorique dans les textes révolutionnaire● Les femmes sont désignées par périphrase. Cela montre la solidarité des femmes et qu’elles sont une seule et même famille.● Mise en apposition entre le biologique (mère, femme) et le politique (représentante de la Nation). Cela montre que les femmes peuvent représenter la Nation.● Gradation qui caractérise la politique (ignorance, oubli, mépris)● Après avoir exposée la problématique

DDFC = sert à donner les intentions d’un discours, justifie la nécessité juridique: convoque des lois etc - 17 articles: ressemble à une loi, élargit la DDHC aux femmes, convoquée comme argument d’autorité (cohérence): les femmes devraient être incluses alors qu’elles ne le sont pas, ils sont comme dans un écrin rhétorique - Postambul: incite les femmes à recommander leurs droits, les responsabilise, les invite à prendre acte de ce texte et réagir “La forme du contrat social de l’homme et de la femme”:

beauté comme en courage, dans les souffrances maternelles » l.13. Cette périphrase a pour but dénoncer la supériorité masculine d’époque avec ironie, en inversant la situation d’infériorité. L’auteur universalise sa parole pour défendre toutes les femmes, on a donc l’emploi du singulier à plusieurs reprises : « le sexe supérieur » l.13, « reconnaît et déclare » l. 14. Olympe de Gouges annonce par la suite les Droits de la femme et de la citoyenne faisant évidemment référence à la Déclaration de l’Homme

femme n'est exceptée ; elle est accusée, arrêtée, et détenue dans les cas déterminés par la loi : les femmes obéissent comme les hommes à cette loi rigoureuse. Article 8 – La Loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une Loi établie et promulguée antérieurement au délit et légalement appliquée aux femmes. Article 9 – Toute femme étant déclarée coupable, toute rigueur est exercée par la